Why le Canadien is not a great team anymore

Ce qui a fait du Canadien, une équipe spéciale, c’est justement la fierté de porter ce chandail, de travailler pour cette organisation. Cette fierté là, ce sont les francophones qui la ressentent le plus, c’est plate pour le rapport Bouchard-Taylor, mais c’est ça.

Tension linguistique - JJC trahit la nation!



Je voudrais répondre à tous ceux qui disent que c’est pas grave si l’instructeur du Canadien ne parle pas français parce que l’important c’est qu’on gagne.
BEN JUSTEMENT, ON NE GAGNE PAS !
Depuis que le Canadien a été dénaturé, a été défranconisé, on ne gagne plus. C’est devenu une petite équipe ordinaire.
Le coach parle juste anglais, le capitaine parle juste anglais, les vedettes parlent juste anglais.
Le Canadien et les Leafs, même combat.
Durant des années, cette équipe a dominé la ligne à cause de son identité, c’était les Flying Frenchmen.
Le public s’identifiait aux joueurs ET les joueurs s’identifiaient au public. Un symbiose totale rarement vue dans le monde du sport.
J’entends déjà certains répliquer; c’était une autre époque, dans ce temps là, le Canadien avait accès aux 2 meilleurs joueurs du Québec.
Sachez que ce privilège a cessé en 1970, quand les Sabres de Buffalo ont fait de Gilbert Perreault leur premier choix.
Ce qui n’a pas empêché la direction de l’équipe, pendant les 20 années suivantes, de continuer à privilégier, plus souvent qu’autrement, le talent de chez nous, en allant chercher les Lafleur, Lambert, Tremblay, Larouche, Carbonneau, Roy, Lemieux, Richer, Brisebois, Desjardins, Damphousse, Savard…
Entre 1970 et 1993, le CH a gagné 8 Coupes Stanley.
Depuis que le CH ne trouve plus important le fait français parce que l’important, c’est qu’on gagne: zéro Coupe Stanley. Zero. C’est facile à comprendre, c’est un mot bilingue.
Un peu de fierté!
Ce qui a fait du Canadien, une équipe spéciale, c’est justement la fierté de porter ce chandail, de travailler pour cette organisation.
Cette fierté là, ce sont les francophones qui la ressentent le plus, c’est plate pour le rapport Bouchard-Taylor, mais c’est ça.
Quand Leblanc a compté son premier but, la foule lui a accordé une ovation de fous. Une ovation de champion capable de crinquer n’importe quel être humain.
On ne saura jamais comment cette ovation aurait pu le pousser à en donner encore plus, parce que Martin l’a laissé sur le banc le reste du match.
Partisans francophones qui ne croyez pas à la valeur des francophones avec le Canadien, vous êtes pas tannés de compter dans votre but!?
Il faut redonner au Canadien son identité glorieuse.
La relance de cette équipe passe par là.


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