Ministre des relations internationales, de la francophonie et du commerce extérieur.
Il fut pendant 5 ans conseiller des premiers ministres québécois Jacques Parizeau et Lucien Bouchard et un des architectes de la stratégie référendaire qui mena le Québ...
Ministre des relations internationales, de la francophonie et du commerce extérieur.
Il fut pendant 5 ans conseiller des premiers ministres québécois Jacques Parizeau et Lucien Bouchard et un des architectes de la stratégie référendaire qui mena le Québec à moins de 1% de la souveraineté en 1995. Il a écrit plusieurs livres sur la politique québécoise, dont Le Tricheur, sur Robert Bourassa et Dans l’œil de l’aigle, sur la politique américaine face au mouvement indépendantiste, qui lui valut la plus haute distinction littéraire canadienne. En 2000, il publiait Sortie de secours – comment échapper au déclin du Québec qui provoqua un important débat sur la situation et l’avenir politique du Québec. Pendant près de 20 ans il fut journaliste, correspondant à Paris et à Washington pour des médias québécois et français.
Mais il ne faut pas se penser faible là où on est fort. Il ne faut pas se laisser assommer par les sophismes de droite. Il faut les mettre K.O.
Pour choisir ce second scénario, il aurait fallu deux choses. Être un joueur d’équipe. Patienter 18 mois.
La simple tenue de discussion avec QS attiserait aussi la volonté de rassemblement ailleurs. On voit mal un Pierre Curzi ou une Louise Beaudoin rester à l’écart, lorsque d’autres souverainistes se rassemblent.
Oui, tu pourras te dire souverainiste. Je n’en doute pas. Mais tu ne pourras pas agir en souverainiste.
Ce qu’il faut, au Québec, c’est la loi 101 pour tous. Rien de moins.
Boisclair
Gilles Duceppe s’est levé ce dimanche matin avec un monstre à sa porte. Le monstre du succès. S’il devenait chef du PQ, affirme le sondage, il pourrait non seulement sortir le parti de sa crise, mais le porter au pouvoir.
Tout cela pour dire qu’il est difficile de renverser un chef qui a autant de cran que Pauline Marois. C’est encore plus difficile lorsqu’on ne sait pas très bien par qui la remplacer.
Le NPD tient à saluer la décision du gouvernement de Jean Charest de mener une commission d’enquête publique sur la corruption et la collusion dans ce secteur.