2012 - Crise au PQ - leadership

Lettre ouverte à Bernard Drainville

Avons-nous perdu le cap?

Le slogan des "conditions gagnantes" a servi d'alibi à tous les abandons... Il fallait surtout ÊTRE UN BON GOUVERNEMENT...


Alors, quand des élections s'en viennent, pour attirer les bulletins de vote, on attise de nouveau ces vieilles braises du PAYS À CONSTRUIRE... et les vieux nationalistes, dont je suis, s'y laissent prendre...

La racine du mal

Dans la lettre ouverte qu’il publie aujourd’hui même dans Le Devoir, Bernard Landry cite toujours la « gouvernance souverainiste » comme la principale source de division.


Si Pauline Marois avait été en mesure de torpiller les projets de Gilles Duceppe, elle l'aurait sans doute fait depuis longtemps. Il faudra chercher ailleurs l'auteur de la fuite qui a révélé l'utilisation irrégulière des fonds de la Chambre des communes par le Bloc québécois. Il est cependant bien difficile de croire que Mme Marois est sincèrement «désolée» des malheurs de son rival, même si la faute qui lui e...

Crise au Parti québécois

Landry déplore la «gouvernance souverainiste»



Québec — L'élément «toxique» à la racine des problèmes du Parti québécois de Pauline Marois, c'est la «gouvernance souverainiste», estime Bernard Landry. L'ancien premier ministre l'explique dans une lettre ouverte publiée ce matin en nos pages, missive ponctuée par un «l'heure du réveil a sonné». Soutenant ne pas vouloir «personnaliser le débat», M. Landry n'y nomme pas Pauline Marois — ni tout autre nom d'ailleurs...

If the PQ disappeared, would Quebecers care?



By all appearances, Bernard Drainville was verging on emotional meltdown in a session with Le Devoi...

Marois-Duceppe - Tirer la ligne



Il faudra alors que se posent les vraies questions, celles que les militants ne se posent pas aujourd'hui de peur sans doute de la réponse à laquelle ils arriveraient. Débattre des qualités et des défauts du chef est plus rassurant que d'admettre que leur parti est devenu un vieux parti.

Le duel



À en croire les sondages, M. Duceppe pourrait ramener le PQ au pouvoir, mais les impatients qui le croient plus empressé de tenir un référendum que Mme Marois risquent de déchanter. Quand elle avait exposé sa thèse de la «gouvernance souverainiste», basée sur la réclamation de nouveaux pouvoirs, il avait déclaré que c'était «la bonne stratégie» pour le camp souverainiste. (...) Que ferait-il de la «nouvelle loi 101» promise par le PQ? En matière de langue, l'ancien chef du Bloc n'est pas précisément un faucon. L'idée d'interdire l'accès au cégep anglais aux allophones et aux francophones ne lui sourit pas du tout. Pas plus d'ailleurs que la laïcité intégrale.

Duel décisif entre Marois et Duceppe

La chef péquiste essuiera la semaine prochaine plusieurs attaques de syndicalistes pro-Duceppe


Québec — Alors qu'elle poursuivra demain sa contre-attaque avec l'annonce d'une autre candidature, Pauline Marois sera la cible de nombreux tirs dans les prochains jours. D...

L'«Hiver de force» : impasse politique ... et agonie nationale ?

il importe non pas de conforter Mme Marois dans sa dérive autoritaire, mais de tenter d’entrouvrir une porte vers un peu d’avenir et d’espoir, en organisant une coalition des forces d’opposition animée par Gilles Duceppe


À trop personnaliser la crise d’orientation, de structure, et d’identité, qui agite le PQ, en questionnant surtout le leadership de Madame Marois, on risque de perdre de vue la question essentielle : le système démocratique québécois et les acteurs organisationnels qui y sont implantés sont-ils en mesure de promouvoir et défendre adéquatement les intérêts de la grande majorité des citoyens ? Dans l’état actuel de no...

Pauline Marois attaque ses alliés

Cette Dame de FER est dangereuse pour le Qc

Les fédés PRO-Marois élargissent leurs attaques Duceppe et...


Les preuves sont faites, ce matin Radio-Cadenas et Gesca / La Presse / Clan Desmarais attaquent maintenant Duceppe afin de tenter de le discréditer devant les partisans indépendantistes… Ils attaqueront aussi Drainville et tout autre candidat possible à aider le PQ et les forces indépendantistes. Ces fédérasses veulent à tout prix Pauline comme chef, pour eux, elle est une proie facile, un jeu d’enfant à tasser avec se...

Des "8" sur la glace - rappelons à madame Bombardier que l'appui à la souveraineté dépasse très largement l'appui au chef péquiste. Alors écrire que "ce peuple ne répond plus à leurs desiderata", c'est visiblement prendre le champ... La faconde, même cultivée, peut être source d'aveuglement! - Vigile

Mise à mort



Rien n'est plus mouvant, plus insidieux, plus volatil que les votes de confiance en politique. Madame Pauline Marois se souvient-elle encore de la journée où elle a reçu cet appui quasi unanime, 93 % des voix, de son parti lors du dernier congrès du PQ en avril dernier? Depuis, elle n'a cessé d'être pilonnée, bombardée, piégée, agressée, trahie et déconsidérée, avant tout par les péquistes. À quelques jours d'un c...

De conspirations et de sauveurs

Dans ce système, le cheuf incarne la capacité pour un très petit nombre de gens de décider pour la grande majorité, tout en consultant des élites bien placées, opaques, non-imputables.


L’idée qu’on puisse « gouverner », comme c’est le cas dans nos « démocraties » occidentales, avec une base populaire très rétrécie (même pas 30 % dans le cas de Harper et de Charest), cette idée est insensée. Et l’est encore plus l’idée qu’on va continuer avec une petite élite, en reniant ses mandats, en disant une chose puis en en faisant une autre.

"le départ de Pauline Marois coulait évidemment de source" - n'est-ce pas le cas déjà, et il se passe quoi?...

L’impatient

Pour choisir ce second scénario, il aurait fallu deux choses. Être un joueur d’équipe. Patienter 18 mois.


Ce second scénario comportait, implicitement, un second volet capital. Si le bon soldat Duceppe aidait, par sa présence et son action, à la remontée du PQ mais que cela n’était pas suffisant pour que le parti forme le gouvernement, le départ de Pauline Marois coulait évidemment de source, et la candidature de Duceppe à sa succession également.

Pour Daniel Breton, la nouvelle recrue de Mme Marois, 6 jours en politique est une éternité



On dit que 6 mois en politique, c’est une éternité. Dans le sens qu’il peut y avoir des revirements imprévus et imprévisibles. Dans le cas de la nouvelle recrue que Mme Marois présentera demain aux médias, l’environneme...

Marois s'accroche

Très liée au NPD, la nouvelle recrue Daniel Breton s'attire les foudres du SPQ Libre


Québec — Malgré la pression, Pauline Marois indiquera aujourd'hui qu'elle refuse de laisser son poste de chef du Parti québécois. Prenant publiquement la parole ce matin pour la première fois depuis la sortie in...

SOS PQ

La respectabilité médiatique qu'il quête piteusement se paie du prix de son insignifiance idéologique.


Si la tendance se maintient, le Parti québécois disparaîtra. C'est le pronostic de Bernard Drainville. Il a raison. Normal : la souveraineté est la réponse à une question que les Québécois ne se posent plus. C'est tragique. Mais c'est ainsi. Pourtant, une course à trois est possible. Le PQ n'a qu'à gagner quelques points de sondage pour changer la donne. Il devrait se donner un objectif : conserver 15 députés à la p...

La madame



La chef du PQ a beau avaler une couleuvre après l'autre, rien n'y fait: la question du leadership ressurgit inexorablement. L'ancien président du SPQ libre, Marc Laviolette, l'a reformulée avec son inimitable style: «Le peuple ne la veut pas, la madame, il faut qu'elle parte. Duceppe doit venir!»

Duceppe ne fait pas l'unanimité

Des députés péquistes prévoient la démission de Pauline Marois


M. Aussant reviendrait-il au PQ avec M. Duceppe à sa tête? «Tout dépendra du message. Rien pour moi n'est basé sur les personnes.»

Conseil national du PQ

Marois risque un second vote de confiance



Geneviève Lajoie QUÉBEC – La chef du Parti québécois, Pauline Marois, doit se soumettre à un nouveau vote de confiance au conseil na...

Gilles Duceppe s'attaque au leadership de Pauline Marois



Gilles Duceppe et Pauline Marois, lors d'une discussion dans l'autobus de campagne du Bloc québécois, le 30 avril 2011. © PC/Jacques Boissino...