Le PQ peut-il être mis à contribution ?
1 février 2015
@Marcel Haché et plus amplement aux Roys de service
Et si l’indépendance nationale n’était pas un “deal” syndical mafieux, pour cette fois, la dernière et la Bonne? Tout comme le Référendum volé en fut un!
Fermeté, fermeté, fermeté, saint coliboire M. Haché!… c’est ça l’Ouverture PKP du Vrai! À rassembler tout et n’importe quoi qui se perd en petits pouvoirs personnalisés : on ne se ressemble plus! Les picosseux finissent par tuer ce qu’ils veulent dévorer et l’arbre ne pousse plus ben haut, mais ben croche, ben bas, selon leurs « faims ».
On ne fera pas notre Homelette nationale sans se casser d’eux! Rassembler tout ce qui magouille à faire chanter et giguer sur place dans la trahison politico-économique organisée et mafieuse, jusqu’à baisser ses culottes pour tout ramasser, ça ne ressemble plus à PKP-Louis-Cyr.
PKP n’a pas besoin de se placer en victime, justifier sa gestion de… RÉUSSITE en la renversant démagogiquement en (faux) échec de flatteries pour cadres syndicalistes et petits communistes frustrés.
PKP s’adresse, par sa nature même, à toutes les bases ouvrières directement pour solidariser dur comme fer les travailleurs en un seul Saintdicat : celui de l’Entreprise des entreprises, celle du Pays! Die-funtbaker, c’est les miettes de passage des syndicaleux pense-petit-mainteneurs de pense-petits en flottement utile : les Louis-Cyr, c’est le passage lui-même, un fleuve St-Laurent à tourniquet payant-Pays-Québec d'abord, faisant cracher tout l’Ouest anglo-canadian qui voudra le traverser!
Un fleuve à soi, ça donne sens à tous les bateaux de l’avenir libéré, pour se naviguer soi-même! Un bateau sans ses eaux à soi, ça va pas très loin en placements financiers à long terme. Nez collé sur un p’tit pain-navire-peuple, c’est du clientélisme syndical, pas du PKP-Réussite. Navire AMIRAL* pointé vers le Cap Diamant, pas une gondole servile d’Ottawa à breloques?
Louis Cyr, M. Haché! Pas le p'tit Frère André et les vaticans clientélistes du passé (surrépété) à faux miracles pour incrédules, inconfiants en eux-mêmes et obnubilés! La laïcisation de l’Indépendance, toutes les indépendances à tous les niveaux, c’est nourrir l’autonomie de conscience du peuple, pas ses profiteurs Saintdicaleurs du haut et pour le Haut-Prédatorial à sens unique. Tous les régimes et idéologies visent l'austérité pour le Bas... peuple. Une seule idée, personnalisée dans une réussite ancrée, peut changer le monde. C'est l'ampoule électrique d'Edison : allumons-nous avant de perdre Hydro et le Québec!
Que les syndicats suivent PKP vers Notre réussite, non l’inverse, puisque ce sont eux qui ont pernicieusement agressé non seulement PKP, mais mis au second plan la Cause, priorisant le maintien de leurs « petits » pouvoirs ébranlés (tel le Temple des marchands de papiers-monnaie-virtuelle!). Dévaloriser la Cause à travers PKP, c'est mépriser le peuple à travers lui : avoir le sens des priorités politiques au sein des corporations et syndicats, devient une priorité, tel un ontologisme du penser.
Si la fin est grandiose, l'Indépendance, la création d'un Pays simonak! les moyens doivent s'y ajuster avec finesse et intelligence... parasyndicalement sans partisanerie.
Que les arrogateurs de pouvoirs petits fassent place à la Cause : le pouvoir prioritairement au peuple indivise, levant le poids national d’un seul bloc! Tiens, pourquoi M. Roy ne s’adresse pas à Mario-Bloc, son bateau baigne à plein dans les tournis de vagues fédéralistes stérélisantes d’Ottawa - PKP n’avait pas tort, occupons la chaise musicale certes, mais en sachant reconnaître que cette communauté de Chambre résonne aussi creux qu’un Big Ben d’éléphants vides à breloques royales! Vas-y quand même Mario: comme disait les Beatles devant la Reine, jadis, ceux à "l'avant", pour l'avenir, taper des mains (et poing levé!), les autres, faire seulement sonner vos bijoux... pour la frime démocratique!
Faudrait arrêter de jaser un m’ment d’nné, non?! West Island, c’est pas que les anglos, et inversement pour l'anglicisation radicaliste dépolitisée, c’est une contamination toxique d’esprits dit ben québécois d’icitte aussi, voire intellos zinzinclusés! Y jase pu, y dé-lirent, eux, y s’laissent carrément fourrer! Et y’a pas qu’un QS pour les éteindre, nos p'tites gens ordinaires, mais ben des Vespasiens fédéralistes, Couillardeux cois et Caquêtteux de service! Je jase, moi, là!
Salut à vous, respectueusement, pour la Cause, M. Haché!
Chrystian Lauzon
*Navire amiral ou vaisseau amiral est le terme militaire désignant le navire de l'officier de marine au grade le plus élevé de la flotte, amiral étant le grade le plus élevé. La coutume veut que ce navire batte un pavillon distinctif le rendant aisément reconnaissable de sa flotte.
Ce terme est une désignation provisoire non attachée à un seul et même bateau, cependant, il désigne généralement le bateau le plus imposant ou le plus rapide car c'est souvent celui choisi par l'amiral. Le terme correspondant dans les marines britannique et américaine est flagship qui signifie navire du pavillon car jadis chaque amiral possédait son propre pavillon personnel qu'il faisait hisser sur le navire-amiral.
Par extension, la marine marchande appelle ainsi le navire le plus médiatique ou le plus emblématique d'un armateur.
Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Navire_amiral