La commission B et B, 50 ans après
1 août 2013
La lecture de votre article grandiose, historique, politique, social du pays du Québec me donne des frissons tellement la pente descendante est abrupte.
Je fais un parallèle entre une déclaration récente de Denis Coderre sur les services à offrir en anglais par la Ville de Montréal, je cite: « Moi, je n'ai pas de problème à donner des services en anglais et en français, là où le nombre le justifie » avec un extrait de votre texte, je cite: « Le livre de Bastien aurait pu s’appeler La bataille de Montréal tant le désir de Trudeau d’avoir sa charte était d’abord de permettre aux Anglo-Montréalais d’assimiler les immigrants à leur guise. Ajoutée à la Loi des langues officielles (LLO), la charte a fait la fortune des avocats québécois spécialisés en droits des minorités. Avec les années, charte et LLO ont toutes travaillé à charcuter drastiquement la Loi 101 alors qu’à l’extérieur du Québec, l’assimilation à l’anglais des francophones reste galopante malgré charte et LLO.»
Je crois que Denis Coderre se trompe de ville et semble incapable de comprendre les enjeux linguistiques de Montréal. Quelle culture l'anime? Il ferait mieux de viser la mairie d’Ottawa. Il est déjà une déchéance pour Montréal, un vase vide.