À défaut de l’indépendance, déclarons le Québec État autonome dès maintenant
6 octobre 2023
Génial! Mais le génie est proche de la folie. Que faire? S'abstenir.
François Champoux, Trois-Rivières
Le ministre Éric Girard fait une erreur grave
Le 4e pouvoir
Papiers s"il vous plaît!
Sans titre, qui êtes-vous?
"Que la paix soit avec vous" !
Israël-Palestine, Ukraine-Russie, etc...
Est-ce que la "faim" justifie les moyens?
Le Mouvement Desjardins et l'Institut de Recherche en Économie Contemporaine (IREC) (automne 2022)
Qu'est devenu l'oeuvre de Dorimène et Alphonse Desjardins?
Lettre à l'IREC (Institut de Recherche en Économie Contemporaine)
Un dangereux déraisonnement!
Promotion de la loi 21
Bernard Drainville dit Oh là!
Caisses Desjardins: Assemblées générales annuelles
La CAQ fait les lois
Le ministre Dubé fait "SHAKER"
Grave dérive à éclaircir
6 octobre 2023
Génial! Mais le génie est proche de la folie. Que faire? S'abstenir.
François Champoux, Trois-Rivières
16 septembre 2023
Bonjour M. Henri Marineau,
Quand je lis vos suggestions, je pense à ces «Émilie Pronovost» qui enseignaient à différents niveaux dans leur école de rang. Peut-on rêver à un retour à la simplicité? J’en doute comme vous; est-ce possible de penser la simplicité au lieu de la complexité? Peut-être…
Oui, je suis d’accord avec vos vertus, mais je pense aussi que nous récoltons par notre manque de responsabilité collective un Québec qui s’en va à la déroute par sa faute, par sa grande faute, et par celle de ce géant américain qui ne cesse de nous écraser de ses valeurs à douter.
Le doute nous manque.
Il faut effectivement maintenant investir dans notre avenir plus que jamais, mais la tâche sera gargantuesque, car les influences qui viennent des différents médias de communication (télévision et Internet surtout) viennent étouffer les vertus que nous souhaitons inculquer aux jeunes à faire pousser le plus droit possible. L’argent qu’il faudra investir sera-t-il suffisant pour contrecarrer celui des industries des communications monstrueuses et richissimes dont leurs moyens financiers semblent infinis?
Nous avons trop cru à la vie facile; il est primordial de revenir à la nécessité de l’effort de tout un chacun pour avancer vers une «réussite» qui demeurera toujours aléatoire et imparfaite.
28 août 2023
Bonjour M. Nantel,
La crédibilité de vos propos ne tient maintenant qu’à l’effondrement du système; en avez-vous pris conscience?
Doit-on espérer que vous soyez un prophète qui l’avait prédit? Un sauveur du monde?
Vous n’avez pas répondu à ma dernière question : où placez-vous votre argent actuellement?
François Champoux, Trois-Rivières
28 août 2023
À vous lire tout un chacun, je pense sincèrement que ce sont les juristes qui font les pays, alors que ça devrait être les peuples. C’est pour cela que les guerres arrivent et déchirent tout, afin de tout recommencer! Un trop souvent éternel recommencement…
Le peuple du Québec n’est plus au diapason de se faire un pays francophone et laïc; le gouvernement de la CAQ fait tout en son pouvoir (intransigeante loi 21 et la loi 96) pour éteindre les dernières espérances de certaines personnes qui croient et rêvent que le Québec devienne bientôt un pays de plus sur la planète Terre, laquelle se meurt de plus en plus.
Pour passer du rêve à la réalité, ça prend des moyens que le Québec n’a plus depuis les plaines d’Abraham; c’est là une réalité triste, mais vraie.
La seule réalité qu’il nous reste est celle de nous débattre avec nos juristes qui connaissent bien les lois et l’histoire afin de mettre le pain sur la table, en paix avec nos voisins.
Les discours à la Jean Chrétien et autres tenants de l’ordre et de la loi à la François Legault (lois 21 et 96) cesseront un jour, mais leur silence ne transformera pas un rêve d’indépendance en réalité; l’indépendance exige une autonomie, une capacité de l’être; la réalité est la vérité, et celle-ci est que nous avons perdu nos moyens et notre pari d’antan, il y a quelques siècles : nous avons perdu notre capacité d’être indépendants et de mettre le pain sur la table. Nous pensions qu’après avoir tenu en respect les Premières Nations, nous avions tout réglé! D’autres avaient vu plus juste en termes de conquête! Et les Français de France sont allés voir ailleurs, avant de revenir, mais trop tard!
Et notre jeunesse d’aujourd’hui, trop américanisée aux valeurs des États-Unis, rêve de richesses personnelles beaucoup plus qu’un pays pour nous tous, en paix avec ses voisins.
Il fallait réussir nos référendums, dans la paix, et nous avons échoué; qui veut maintenant la guerre?
Que la paix soit maintenant avec nous tous, et débattons-nous sans la guerre et sans pays. La vie est plus importante que les juristes et l’histoire.
François Champoux, Trois-Rivières
13 août 2023
Un pays; une constitution identitaire
Lisons Nathalie Heinich, sociologue; «Ce que n’est pas l’identité» Éditions Gallimard, 2018, p. 79 - 80;
«L’absence d’autoperception et, plus généralement, de “sentiment d’identité” d’une entité abstraite (comme un pays) n’implique pas pour autant que cette entité ne puisse pas être en crise; mais c’est, alors, une crise qui affecte non l’objet lui-même, mais les sujets qui s’y réfèrent, parce qu’ils perçoivent des incohérences entre l’image qu’ils s’en font et la façon dont elle est considérée par d’autres, ou encore son état actuel et son passé. C’est ainsi qu’est montée en puissance dans l’espace public, au cours des années 2010, une référence récurrente à l’identité de la France, en forme d’inquiétude, de malaise, de sentiment de perte. N’en donnons pour exemple que cette remarque du philosophe Alain Finkielkraut: “L’immigration qui contribue et contribuera toujours davantage au peuplement du Vieux Monde renvoie les nations européennes et l’Europe elle-même à la question de leur identité. Les individus cosmopolites que nous étions spontanément font, sous le choc de l’altérité, la découverte de leur être.” (A. Finkielkraut, “L’Identité malheureuse”, 4e de couverture) En d’autres termes, la rencontre avec “l’autre” (ici l’immigré) suscite chez les autochtones une forme de réflexivité qui les amène à recentrer leur sentiment d’identité autour de leur identité nationale (et non plus de “citoyen du monde”), que ce soit dans la revendication de sa grandeur ou dans la déploration de son déclin - voire les deux à la fois.»
Si un pays est une constitution identitaire, il faut d’ores et déjà se conscientiser au fait que notre identité sera dynamique et inconstante, qu’elle sera multiple et plurielle et que seul le changement demeurera permanent.
Il va sans dire qu’un pays se construit: il y a donc des étapes qui doivent s’exécuter afin d’aboutir prioritairement à ses fondations pour éventuellement voir apparaître une structure viable dans laquelle les citoyens co-logeront.
Une constitution pourrait donc être les plans de la fondation sur laquelle reposera la structure viable selon le coin de la planète où celle-ci sera érigée.
Mais comme toute construction, les fondateurs n’auront pas tout prévu et avec le temps qui passera et qui changera, il y aura des parties à rénover et d’autres à ajouter. Les plans devront au moins avoir prévu des ajouts éventuels et des parties à rénover, comme les ouvertures et la toiture. Rien n’est permanent et croire qu’une constitution ne sera jamais amendée, c’est vouer celle-ci à son effondrement.
Souplesse, flexibilité, accueil; voilà quelques-unes des qualités que toutes les maisons, les constitutions, les pays devraient posséder à la base afin d’assurer ses citoyens la vie belle que chaque créature recherche et mérite du fait même d’exister, de vivre.
Devra-t-il y avoir des maîtres de la maison, des domestiques, des locataires? Voilà des questions que trop souvent les héritiers laissent à l’aventure; mais n’est-ce pas là le principal fondement de tout pays? Qui signera les plans? Quelle identité prendront ses fondations et sa structure? Seront-elles héritières des plus viles dictatures ou de la plus noble des Lumières démocratiques? Une digne «vigile» devra s’exercer par la maîtresse de l’humain: sa mystérieuse pensée qui ne sait jamais! Aucun pays ne se voit, ne se dit, ne se prétend être à jamais: seule la misère d’être, doit guider tout un chacun.
François Champoux, Trois-Rivières
10 août 2023
Nations, civilisations, pays, ethnies, identités, et constitution; avons-nous trouvé la solution pour nous gouverner en paix? Il ne semble pas. La monarchie a fait son temps et la démocratie semble être la moins nocive des formes de gouvernance. Dans toutes les façons de faire, il semble nécessaire que le respect de tout un chacun soit en primauté. Il ne faudrait pas chuter dans l’ochlocratie et l’oligarchie du Mouvement Desjardins, car, comme le soulignait une maxime du journal «Le Devoir» : «Toute démocratie se situe entre deux dégénérescences extrêmes : l’oligarchie et l’ochlocratie.» (référence: dictionnaire Antidote: citations).
François Champoux, Trois-Rivières
10 août 2023
Bonjour M. Rodrigue Tremblay,
Il semble que les humains n’aient pas une mémoire très longue sauf quand il s’agit de vengeance; il faut donc vous remercier M. Tremblay, de nous relater ces déclarations qui prouvent notre bêtise et surtout, justement, notre grand esprit de vengeance couvert par des mensonges appropriés : lorsque vient le moment de se venger, les humains trouvent facilement des prétextes pour justifier des passages à l’acte des plus horribles et atroces.
Depuis cette découverte de la puissance de l’énergie nucléaire, les humains n’arrivent que très difficilement à faire oeuvre de retenue dans l’expression de leur envie de puissance sur le monde. Et cette maxime des Romains a pris toute la place en politique des pays belliqueux : “Si vis pacem, para bellum.” (Si tu veux la paix, prépare la guerre) : la stupidité même de l’animal humain soi-disant intelligent.
Savoir mentir devient ainsi la qualité numéro un des politiciens et celle de nos élus en position de pouvoir. La volonté de pouvoir des mâles humains ou des femelles en mal de pouvoir devient cette crête de coq que chacun veut exhiber afin d’être reconnu le maître.
Préparer la paix est une oeuvre qui demande honnêteté intellectuelle et surtout, abstinence d’esprit de guerre. Nos politiciens comme les peuples mal guidés n’approuvent pas ce “spirit” de paix et donc justifient leurs paroles belliqueuses par des mensonges d’envahissement de “l’ennemi”; nous devenons ainsi l’ennemi de l’ennemi et l’escalade des paroles mensongères s’enclenche ad vitam aeternam. On appelle ça un cercle vicieux; tout le contraire d’un cercle vertueux.
Dans le projet d’écriture de la constitution du Québec de M. Marc Labelle, il serait bien, M. Tremblay, que vous proposiez une réflexion sur l’esprit de paix; peut-être seriez-vous la personne toute désignée pour écrire cette constitution rêvée…
François Champoux, Trois-Rivières
8 août 2023
Et alors M. Bélair, on fait quoi? On prépare la guerre ou l’on prépare la paix? On revient à la défaite des plaines d’Abraham ou l’on refait cette guerre jusqu’à perte du méchant? Qui est le bon? Qui est le méchant? Avec de telles questions, on vire en rond ad vitam aeternam, n’est-ce pas?
François Champoux, Trois-Rivières
3 août 2023
Bonjour M. Marineau,
Tripotage des notes, modération statistique des notes, injustice flagrante, démarche de modération; voilà des mots qui portent en eux-mêmes un sérieux questionnement lorsque nous parlons d’éducation et d’instruction envers nos jeunes.
L’esprit de la modération est vieux comme le monde; il souhaite l’absence de trouble, l’absence d’exagération dans les plaisirs de la vie, et par le fait même, la découverte d’une lente progression vers la connaissance. Il semble donc que nos élites de l’Éducation aient perdu le véritable sens de la modération.
Les talents furent distribués inégalement, ce qui n’excuse pas les échecs scolaires. L’effort, le travail doivent être inculqués d’abord par nos maîtres d’école à cette jeunesse inculte et ignorante afin d’acquérir des notions de base, lesquelles permettront à chacune et à chacun le dépassement de soi. Sortir de notre ignorance graduellement exige le respect du rythme de chacun, et donc, la modération, ce que le XXe siècle n’a pas compris : il faut faire vite et de plus en plus vite.
Il semble que c’est plutôt le laxisme qui a pris la place de la modération : n’avons-nous pas confondu les termes? La rigueur dans le travail et l’effort à l’apprentissage ont été remplacés par des machines, par l’informatique et, de plus en plus, par ce qui est faussement appelé "l’intelligence artificielle". Ce n’est pas d’hier que nous faisons fausse route en éducation de notre jeunesse…
La première qualité d’un enseignant doit de nouveau être promue : la patience, celle qui sait faire oeuvre de modération et de discernement dans cette distribution des talents et qui permet alors d’orienter nos jeunes vers l’actualisation de leur capacité intellectuelle respective.
Oui, il faut ralentir, il faut modérer, il faut reprendre contact avec l’intelligence de nos jeunes en herbe et ne pas rater le virage de l’Éducation et celui d’Instruire avec un grand «É» et un grand «I». Il faut réapprendre à placer les priorités à la bonne place sinon nous creusons notre tombe de plus en plus rapidement.
François Champoux, Trois-Rivières
30 juillet 2023
Bonjour M. Rodrigue Tremblay,
Merci de vos lumières sur la CIA. Elles nous apprennent l’histoire du pays d’à côté, histoire devenant de moins en moins grande et belle, de plus en plus outrageuse et aberrante.
Il y a aussi une histoire de plus en plus outrageuse et aberrante qui s’écrit actuellement, ici même au Québec, et dont vous devriez vous pencher : celle du déraillement du Mouvement Desjardins depuis la longue présidence de Claude Béland. En tant que docteur en économie, il serait bien que vous éclairiez les abus d’autorité qu’exerce cette “coopérative” sur les citoyens du Québec avec la complicité de tous les gouvernements de la "Belle province" et de l’AMF. Oserez-vous ou si le temps fera son oeuvre malgré vous?
Si vous avez besoin d'aide, c'est avec empressement que je me prêterai à votre service.
François Champoux, Trois-Rivières
27 juillet 2023
Bonjour M. Marineau,
Je partage votre point de vue (finalement) sur le départ précipité de Mme Joëlle Boutin : une désolante démission qui la déclasse pour un retour au service des citoyens. En cela, elle suit les traces de Sébastien Proulx!
Faire de la politique en étant élu est un noble travail; beaucoup sont appelés, mais peu ont vraiment la vocation! Très peu. Le système est corrompu: ça n'aide pas à bien situer le travail à accomplir...
François Champoux, Trois-Rivières
27 juillet 2023
Rebonjour M. Matte,
Votre déclaration suivante m'interpelle:
«Les militaires agissent pour assurer la paix et prévenir la guerre.»
Je concède votre point de vue dans le sens suivant : depuis tous ces millénaires où les hommes ont cru qu’il fallait préparer la guerre pour faire la paix, alors oui, les militaires nous tiennent en joue pour nous faire obéir. Mais ne trouvez-vous pas que nous nous sommes absolument trompés?
Je rappelais dernièrement que Théodore Monod nous avait enseigné le contraire de cette vieille maxime romaine : «Si vis pacem, para bellum» («si tu veux la paix, prépare la guerre»)!
Les budgets faramineux consacrés aux militaires et à leur armement toujours de plus en plus sophistiqué ne sont certes pas des moyens intelligents pour favoriser la paix, sinon sous cette croyance erronée qu’il faut maintenir cette pression du couteau sous la gorge ou du fusil sur la tempe. C’est d’ailleurs cette forme de menace qui règne même dans les milieux de travail où le rapport de force est toujours du côté du plus fort. Les lois du travail le confirment par l’obligation de loyauté de tout employé à son employeur.
C’est pour cela que je confirmais (à la suite d’un Kant bien docile au système) que nous devons obéir à la Loi : la loi c’est la loi; nul ne peut y contrevenir…, évidemment. Je concède qu’à choisir entre vivre dans un pays comme les États-Unis, ou vivre au Canada et le Québec, il est préférable de choisir le Canada et le Québec. Et ce, malgré les lacunes de notre constitution.
Devrons-nous constituer une armée dans un Québec Libre? Gilles Duceppe le croyait absolument; moi pas. Nous devrons constituer de nouveaux «militaires» désarmés, car, de toute façon, notre armée ne fera jamais le poids.