La propagande annule l'intelligence et dissout les valeurs humaines
12 mars 2013
@Gilles Jean : Si vous voulez que le dialogue n’en soit pas un de sourds, il faut que vous preniez le temps de lire certaines des références que je porte à votre attention. Déjà, je vous ai référé à un article qui m’apparait des plus crédibles qui ne semble pas avoir frappé votre intelligence d’homme soucieux de la vérité. Pour être certain que vous en ayez une idée, je vais en extraire quelques citations que vous pourrez compléter en lisant l’article au complet.
http://www.alterinfo.net/Une-Maree-Humaine-pour-Hugo-CHAVEZ_a87703.html
Sous la gouvernance des régimes de droite avant l’élection de Chavez :
« Pendant cette décennie - qui couvre les présidences de Carlos Andrés Pérez puis de ses fugaces successeurs Octavio Lepage, Ramón José Velásquez et Rafael Caldera, et qui s'achève par l'accession au pouvoir d'Hugo Chávez le 2 février 1999 -, le pourcentage de pauvres au Venezuela bondit de 40,0 % de l'ensemble de la population à... 49,4 %, et cela alors même que le pays est assis sur des réserves faramineuses d'hydrocarbures. »
« Au même moment, le nombre "d'indigents" - c'est-à-dire de personnes vivant dans la rue ou dans des bidonvilles avec moins de 1 $ par jour de revenu - explosa : de 1990 à 1999, leur pourcentage passa de 14,6 % à 21,7 % de la population générale, ce qui - compte tenu de l'accroissement démographique entretemps - représente une hausse vertigineuse de quelque + 80 %. »
Ce sont des données fondamentales à garder à l'esprit. Lorsque Hugo Chávez accéda au pouvoir :
• 1 Vénézuélien sur 2 vivait dans la pauvreté,
• plus d'1 Vénézuélien sur 5 vivait dans l'extrême misère,
et une toute petite oligarchie vivait dans un luxe insolent, parce que, parfaite "collabo" de la puissance américaine, elle avait monnayé ce train de vie contre la cession de l'essentiel de la rente pétrolière vénézuélienne aux grandes compagnies américaines.
À suivre