Une woke toxique fait tomber des têtes (blanches) au Musée d'Ottawa
21 juin 2024
La Ville de Montréal est très forte sur les nominations wokes qui finissent toutes par se retourner contre elle et nous coûter cher.
L'une de ces malheureuses nominations wokes a été de nommer comme numéro 2 de la ville après Valérie Plante la femme haïtienne de race noire Dominique Ollivier. Pour se soumettre aux diktats du wokisme, il était souhaitable que ce soit une femme, et en plus une femme de race noire, et en plus une non-née ici. 3 critères wokes pour le prix d'un!
Face à un rapport dévastateur de la vérificatrice générale sur Mme Ollivier, cette dernière ne remet toutefois pas en cause le rapport en lui-même et reconnaît que la vérificatrice a révélé certaines lacunes dans sa gestion de l’OCPM, avec des dépenses de plusieurs milliers de dollars pour s'accorder un train de vie royal et luxueux dont elle profitait à plein régime sans jamais avoir à rendre compte de ses dépenses.
On a révélé plusieurs dépenses en restaurants et voyages en novembre dernier. Dans les jours suivants, Dominique Ollivier avait renoncé à son poste de numéro 2 de l’administration de Valérie Plante.
Dans la foulée, la VG a fait un audit qui a mené au rapport déposé au conseil municipal. En conférence de presse mardi après-midi, la vérificatrice a répété certains des éléments qu’elle a soulevés dans son rapport. Elle a notamment parlé de l’indépendance de l’OCPM qui bénéficiait d’une très grande liberté d’action.
«En sus d’une indépendance opérationnelle liée à sa mission, l’OCPM s’est octroyé une indépendance administrative par rapport à la Ville, et non remise en question par cette dernière».
Source: Une nomination woke qui coûte cher aux contribuables
On a vu ici que les postes doivent être accordés selons les qualifications, le mérite, les compétences, l'expérience, jamais pour répondre à la folle idéologie woke qui n'entraîne que médiocrité et échec.