Faut-il nier les statistiques criminelles lorsqu'il s'agit de Noirs ou d'autochtones?
12 juin 2023
Trop violent pour être libéré: un proxénète récidiviste qualifié de «parasite» devra purger la totalité de sa peine de détention.
Un violent proxénète récidiviste étranger de race noire du nom de Marty «Fata» Antoine, déjà qualifié de «parasite» pour avoir drogué des filles afin qu’elles se prostituent jour et nuit devra rester derrière les barreaux jusqu’à la fin de sa sentence.
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Depuis sa détention, le proxénète étranger de race noire du nom de Marty «Fata» Antoine a fait peu d’efforts pour se réhabiliter et préconise toujours des comportements violents. Même s'il a déjà purgé le 2/3 de sa peine, l'étranger de race noire du nom de Marty «Fata» Antoine ne pourra ainsi pas bénéficier de sa libération d’office puisque la CLCC est convaincue qu’il commettra une «infraction causant la mort ou un dommage grave à une autre personne» s’il sort de détention.
L'étranger de race noire du nom de Marty «Fata» Antoine collectionne en effet les infractions: propos injurieux envers le personnel, possession de drogue ou des bagarres, dont il est souvent l’instigateur.
En mars 2022, l'étranger de race noire du nom de Marty «Fata» Antoine a en effet menacé de mort une agente correctionnelle, qui tentait de contenir des détenus qui faisaient du grabuge. Elle avait dû déployer un irritant chimique pour les contrôler.
«Fait attention je vais te retrouver, je sors bientôt, je vais te trouver, je vais te tuer», lui avait lancé l'étranger de race noire du nom de Marty «Fata» Antoine.
L'étranger de race noire du nom de Marty «Fata» Antoine avait déjà passé cinq ans à l’ombre pour avoir utilisé des adolescentes blanches de 13, 14 et 16 ans comme esclaves sexuelles. Il avait aussi été contraint à purger sa peine au complet à l’époque.
Cet être primitif, le mal incarné, l'étranger de race noire du nom de Marty «Fata» Antoine n'aurait jamais dû être admis au pays. Comment a-t-on pu le laisser entrer? Un test de violence et d'impulsivité l'aurait facilement détecté et écarté, évitant qu'il fasse autant de mal autour de lui.
Il faut se débarrasser de l'étranger de race noire du nom de Marty «Fata» Antoine dès sa sortie de prison. E-X-P-U-L-S-I-O-N
Source: Trop violent pour être libéré: l'étranger de race noire du nom de Marty «Fata» Antoine