Pour en finir avec l’indépendance
12 octobre 2012
Ca va faire plus mal qu'actuellement, monsieur Côté ?
Quand "té mort ca fait pu mal" me disait-on dernièrement en réponse à ma crainte de voir l'empire achever ce qui reste du Québec.
Je n'ai pas aimé lire ce que vous avez écrit, et pourtant, faudra bien qu'on se réveille à un moment donné et, en effet, appeler un "chat" un "chat" est une étape nécessaire.
Y a de l'eau dans l'essence, et quand ca arrive, il faut "saigner" le moteur...
On est à terre et si on ne se relève pas, et on ne réfléchit pas aux moyens intelligents à prendre pour en sortir plus fort, c'est pas compliqué, on sera cuit, voire carbonisé.
Des "cuisses grenouilles" au menu, peut on entendre dans les coulisses de l'establishment...