Encore une fois, la crise politique à Ottawa démontre le clivage qui sépare le Québec du Canada
Justin et les deux solitudes
On verra l’impact qu’aura l’opération de contrôle des dégâts lancée hier par l’entourage de Justin Trudeau.
Encore une fois, la crise politique à Ottawa démontre le clivage qui sépare le Québec du Canada
On verra l’impact qu’aura l’opération de contrôle des dégâts lancée hier par l’entourage de Justin Trudeau.
« Le Doc Mailloux devrait s'inviter au Parti libéral du Canada pour une séance extraordinaire... »
Gerald Butts, le bon copain de Justin Trudeau, a répondu aux questions des parlementaires fédéraux pour enfumer encore un peu plus l’affaire SNC-Lavalin...
Les Québécois devront pourtant arrêter de soutenir cet imbécile de Trudeau
À force de te faire dire que tu es capable de marcher sur l’eau, j’imagine que tu finis par y croire. C’est probablement ce qui est arrivé à Justin Trudeau.
Andrew Scheer profite de la dégringolade libérale
La crise politique qui secoue le gouvernement de Justin Trudeau profite aux conservateurs, qui pour la première fois sont crédités de près de 10 points d’avance dans les intentions de vote, selon un sondage Global News-Ipsos publié mardi.
Une entreprise de relation publique qui vire au cauchemar
Des manifestants ont fait passer un mauvais quart d'heure au premier ministre lors d'un rassemblement libéral sur le climat.
La gestion libérale de SNC-Lavalin se transforme en véritable catastrophe politique
Justin Trudeau devra donc procéder à un autre remaniement.
Sun Tzu : « Voir un ennemi tomber par la flèche d'un autre »
Le premier ministre Justin Trudeau doit faire preuve d’humilité dans l’affaire SNC-Lavalin en admettant avoir mis trop de pression sur Jody Wilson-Raybould, s’il espère sortir de la crise politique qui plombe son gouvernement.
Butts témoignera aujourd'hui dans une ambiance de défiance envers le gouvernement
Le plus fidèle conseiller et meilleur ami de Justin Trudeau, Gerald Butts, doit carrément lui sauver les fesses.
La sous-ministe Drouin attaque la version de Wilson-Raybould
Le Tout-Ottawa retient une fois de plus son souffle alors que l’ancien secrétaire principal de Justin Trudeau, Gerald Butts, livrera mercredi matin en comité parlementaire sa version des faits dans l’affaire SNC-Lavalin et que le premier ministre songe à faire de même sous peu.
C'est la fin des haricots pour Pee Wee Trudeau
Pour Emmanuelle Latraverse, Justin Trudeau «a encore été à côté de la plaque», lundi soir, alors qu’il réagissait à la démission de Jane Philpott, un pilier de son gouvernement, dans un rassemblement partisan à Toronto.
Le Canada anglais en colère contre PET junior
Le magazine canadien-anglais Maclean’s n’y va pas de main morte dans sa critique de la gestion de Justin Trudeau, publiant une photo du premier ministre à la une de son édition d’avril avec la mention, en grosses lettres, «L’imposteur», «The Imposter», en anglais.
Rififi au pays des licornes
Le Premier ministre canadien Justin Trudeau est foutu. Un scandale qui mijote depuis longtemps le rattrape.
« Pourquoi la DPP a-t-elle rejeté toute entente de réparation ? »
Lorsqu’on n’est plus cru, on est cuit. Cette vieille maxime, Justin Trudeau aurait dû la méditer bien avant le témoignage-choc de son ex-ministre de la Justice et procureure générale, Jody Wilson-Raybould. En cumulant les déclarations changeantes depuis le début de l’« affaire » SNC-Lavalin, le premier ministre a plombé sa propre crédibilité.
« Dans la Belle province, on regarde le plancher. »
Trudeau dans l'astral libéral...
La motivation de Trudeau envers SNC-Lavalin est purement électorale
Il a beau se dire féministe, de gauche, ouvert, compatissant, humaniste, généreux, cool, altruiste, charitable, humain, sensible, progressiste, etc., Justin Trudeau se fout du système de justice comme de sa première paire de babouches.
Un témoignage attendu
La ministre démissionnaire Jody Wilson-Raybould sera en mesure de livrer sa version des faits dans l’affaire SNC-Lavalin lors de son témoignage cette semaine devant le comité de la justice, a annoncé Justin Trudeau en Chambre, lundi.
SNC-Lavalin : la tête de Butts contre le silence de Wilson-Raybould ?
To quote the late William Goldman, nobody knows anything. The last twenty-four hours are proof enough of that. Whatever is going on behind the scenes between Jody Wilson-Raybould, Justin Trudeau and Gerald Butts is a riddle, wrapped in a mystery, inside a clown car.
Pee Wee Trudeau pris la main dans le sac : il a fait personnellement pression sur Wilson-Raybould
La directrice des poursuites pénales (DPP) Kathleen Roussel avait déjà formellement écarté l'option de négocier un accord de réparation avec SNC-Lavalin lorsque le premier ministre Justin Trudeau a rencontré l'ancienne ministre de la Justice Jody Wilson-Raybould l'automne dernier.
Trudeau sacrifie son bras droit pour sauver sa tête
Après avoir écarté cette possibilité, le comité de la justice de la Chambre des communes a voté en faveur d'un témoignage public de l'ex-ministre de la Justice Jody Wilson-Raybould. Cette dernière, qui a démissionné dans la foulée de l'affaire SNC-Lavalin, a créé la surprise mardi en participant à une rencontre du Cabinet.
« Remarquez qu’on attend rien d’autre d’un prof de théâtre; il donne un show depuis 2015, ici comme à Delhi. »
On voudrait mais on ne peut pas détourner les yeux du roman-feuilleton mettant en vedette Justin Trudeau, Gerry Butts et Jody Wilson-Raybould, la fugace démissionnaire par qui est venu un scandale d’une telle amplitude que des fonctionnaires souffrent maintenant d’insomnie diurne...
Il est impératif d'ouvrir les yeux des Québécois qui sont encore amourachés de Pee Wee Trudeau
Loin d’apaiser la crise provoquée par l’« affaire » SNC-Lavalin, la démission de Gerald Butts vient la nourrir. Le premier ministre Justin Trudeau en sort blessé, politiquement et personnellement. Pis encore, le départ de son principal conseiller et alter ego annonce une guerre sans merci entre M. Butts et l’ex-ministre de la Justice Jody Wilson-Raybould.
Même les féministes du Devoir lâchent Trudeau : c'est pour dire !
La saga de l’autodestruction de Justin Trudeau se poursuit. Alors qu’il est déjà amoché sur la question de l’environnement, voici que ses deux autres grands chevaux de bataille, la question des femmes et celle de la réconciliation autochtone, se dérobent sous lui dans la tourmente de l’affaire SNC-Lavalin.
Bravo madame : « Je ne suis pas raciste, je suis nationaliste, jure-t-elle. C'est de la diffamation. Trudeau a nui à ma dignité, mon honneur ! »
(Québec) Accusée de « racisme » et « d'intolérance » par Justin Trudeau lors d'un rassemblement public l'été dernier, Diane Blain juge qu'elle a été diffamée, stigmatisée et associée à l'extrême droite. La femme a donc décidé de poursuivre le premier ministre pour près de 100 000 $.
L'homme derrière Justin a démissionné : c'est la chute pour Pee Wee Trudeau !
Les têtes continuent de rouler dans la foulée de l’affaire de la firme SNC-Lavalin
Pourquoi la ministre a-t-elle refusé d'intervenir en faveur de SNC-Lavalin ?
La ministre Jody Wilson-Raybould devrait répondre à quelques questions afin de mieux comprendre si les conseillers de Trudeau ont exercé des pressions indues et inacceptables pour aider SNC-Lavalin, ou si la ministre manquait de jugement politique et méritait sa rétrogradation en janvier, affirme Alec Castonguay.
C'est le Québec qui veut un arrangement pour SNC-Lavalin
Justin Trudeau a soutenu vendredi avoir précisé à Jody Wilson-Raybould que la décision de permettre à SNC-Lavalin de signer un accord de poursuite suspendue (APS) ne relevait que d’elle-même — et cela parce qu’elle lui aurait posé la question. Mme Wilson-Raybould serait toujours en poste si Scott Brison n’avait pas démissionné, a ajouté le premier ministre.
Gerald Butts, l'homme derrière Trudeau
Pendant que des Québécois se frottent les mains de joie de voir Justin Trudeau empêtré dans un scandale révélé par le Globe and Mail, que nous appellerons ironiquement SNC-Lavalingate, des membres de son propre gouvernement rêvent de voir cette affaire emporter deux de ses plus proches conseillers.
« Si l'hiver n'était pas si rude, le pays aurait un parfum de banane... »
Au fait, Mélanie Joly n’avait pas besoin de s’énerver à l’antenne de son ancien employeur : on a tous compris que le cabinet du premier ministre du Canada, ce carrousel de têtes chercheuses, rigodon de futurs ambassadeurs, caniches de Gerald Butts, on sait bien qu’il a demandé à l’ex-ministre de la Justice de ne pas traîner SNC-Lavalin devant les tribunaux.
C'est le Canada anglais qui va reprocher à Trudeau son ingérence en faveur de SNC-Lavalin
La démission de la ministre fédérale Jody Wilson-Raybould n’est que le plus récent épisode d’une bombe à fragmentation politique pour Justin Trudeau. Tant que la lumière ne sera pas faite sur cette affaire, cette bombe nommée SNC-Lavalin continuera de provoquer des dégâts pour son gouvernement — et peut-être même après.
« This is a disaster. »
Ministerial resignations are very rare so, when they happen, it’s a big deal. Veterans affairs minister Jody Wilson-Raybould resigned from cabinet just days after The Globe reported that the Prime Minister’s Office put pressure on her, when she was minister of justice and attorney-general, to help SNC-Lavalin avoid criminal prosecution.