Je vous le redis: "Il n'y a pas de crise linguistique"...
«Vous tenez des propos antisémites inadmissibles» - G. Bouchard. "Stigmatiser" un individu pour une opinion contestant une certaine pratique commerciale. Même le B'Nai Brith ne va pas aussi loin... dans la bêtise. Quelle pitié !
La commission se défend d'avoir accusé TVA d'antisémitisme
Que cela vous plaise ou non, la séparation de l'État et de l'Église, de l'école et de la religion, sont fondatrices de la société qu'une majorité de Québécois souhaitent aujourd'hui
Plusieurs prisonniers passent des mains des Canadiens aux services secrets, puis directement à la prison de Sarpoza. Sans juge, sans procès ni avocat.
On se demande jusqu'où Jean Charest, que l'on croyait libéral au vrai sens du terme, est prêt à aller pour suivre le vent.
La codification surnaturelle (1) Le sens politique (2) La vérité (3)
Charest veut discuter dans « le respect et la raison »
Quelques membres des Jeunes Patriotes du Québec ont perturbé hier une réunion d'Affiliation Québec, un parti politique québécois en devenir et qui prône, entre autres, la partition du Québec.
il a créé un nouveau mot - truthiness - qui décrit assez bien les années sous la présidence de George W. Bush.
«Le slogan "Maîtres chez nous" résume tellement bien la situation. C'est ça que l'on veut être. C'est curieux qu'à cette époque, tous fédéralistes, on ne se créait pas de problème avec le mot "nous".»
Méchante blatte
Madame Marois veut que son projet de loi soit débattu. Voici donc, dans un esprit de service public, les amendements que je suggère.
Le "bon pas" de Pratte
On ne prive pas une minorité de ses droits pour satisfaire les fantasmes de militants déçus, ni même pour calmer la paranoïa de la majorité.
Comme l'a fait le gouvernement fédéral, celui du Québec déposera à son tour un projet de loi pour contraindre les électeurs à voter le «visage découvert» et non voilé.
Le B'nai Brith est d'une virulence déshonorante dans bien des interventions publiques. Sa sortie d'hier est dans la même veine.
La Commission des droits de la personne juge que des dispositions de son projet de loi sur l’identité violent la Charte québécoise des droits et libertés.