Quant à nous, catholiques de Montréal, nous devons nous montrer solidaires pour mettre fin à cette politique de bilinguisation de notre Église.
Présentés comme des compromis charitables, ces arrangements laissent transparaître un inquiétant reniement de soi.
Le premier ministre peut faire de l'esbroufe, mais personne ne croit sérieusement que le Québec pourrait faire invalider un engagement contracté par le Canada (...)
Jean Charest, quant à lui, n'oubliera jamais Copenhague. Il aura très certainement des comptes à régler. Deux options au moins s'offrent à lui.