BELLA CIAO - Le chant des partisans - La Commune est en lutte

Ouvriers, paysans, unissons nos colères





Una mattina

mi son svegliato

O bella ciao, bella ciao,

bella ciao, ciao, ciao

Una mattina

mi son svegliato

e~ho trovato l'invasore.
Oh partigiano,

porta mi via

O bella ciao, bella ciao

bella ciao, ciao, ciao

Oh partigiano,

porta mi via

che mi sento di morire
E se io muoio

da partigiano

O bella ciao, bella ciao

bella ciao, ciao, ciao

E se io moio

da partigiano

Tu mi devi seppellir
E seppellire

lassu~in montagna

O bella ciao, bella ciao

bella ciao, ciao, ciao

E seppellire

lassu~in montagna

Sotto l'ombra
di~un bel fior.
E tutti quelli

che passerano

O bella ciao,bella ciao

bella ciao, ciao, ciao

E tutti quelli

che passerano

Te diranno:
che bel fior.
E questè~il fiore

del partigiano

O bella ciao, bella ciao

bella ciao, ciao, ciao

E questo
il fiore del partigiano

Morto
per la libertà

Une matinée,
je me suis levé

O bella ciao, bella ciao, bella ciao ciao ciao

Une matinée,
je me suis levé

Et l'ennemi était là
Oh partisan
emmène-moi

O bella ciao, bella ciao

bella ciao, ciao, ciao

Oh partisan
emmène-moi

Je me sens prêt à mourir
Et si je meurs
en partisan

O bella ciao, bella ciao

bella ciao, ciao, ciao

Et si je meurs
en partisan

Tu devras m'ensevelir
M'ensevelir
dans la montagne

O bella ciao, bella ciao

bella ciao, ciao, ciao

M'enterrer
dans la montagne

Sous l'ombre
d'une belle fleur
Comme ça
les gens qui passeront

O bella ciao, bella ciao

bella ciao, ciao, ciao

Comme ça
les gens qui passeront

Diront
quelle belle fleur
C'est là
la fleur du partisan

O bella ciao, bella ciao

bella ciao, ciao, ciao

C'est là
la fleur du partisan

Tombé
pour la liberté
source http://diato.pagesperso-orange.fr/paroles/bellaciao.htm

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La commune est en lutte
Finale du film « Le juge et l’assassin » de Bertrand Tavernier
Texte de Jean-Roger Caussimon
Musique de Philippe Sarde
Chanté par Isabelle Huppert
Paroles :
La Commune est en lutte
Sans doute, mon amour,

on n’a pas eu de chance

Il y avait la guerre

Et nous avions vingt ans

L’hiver de 70

fut hiver de souffrance

Et pire est la misère

En ce nouveau printemps...

Les lilas vont fleurir

les hauteurs de Belleville

Les versants de la Butte

Et le Bois de Meudon...

Nous irons les cueillir

en des temps plus faciles...
La Commune est en lutte

Et demain, nous vaincrons...
Nous avons entendu

la voix des camarades :

« Les Versaillais infâmes

Approchent de Paris... »

Tu m’as dit : « Avec toi,

je vais aux barricades

La place d’une femme

Est près de son mari... »

Quand le premier de nous

est tombé sur les pierres

En dernière culbute

Une balle en plein front

Sur lui, tu t’es penchée

pour fermer ses paupières...
La Commune est en lutte

Et demain, nous vaincrons...
Ouvriers, paysans,

unissons nos colères

Malheur à qui nous vole

En nous avilissant...

Nous voulons le respect

et de justes salaires

Et le seuil des écoles

Ouvert à nos enfants...

Nos parents ne savaient

ni lire ni écrire

On les traitait de brutes

Ils acceptaient l’affront...

L’Égalité, la vraie,

est à qui la désire...
La Commune est en lutte

Et demain, nous vaincrons...
Les valets des tyrans

étaient en plus grand nombre

Il a fallu nous rendre

On va nous fusiller

Mais notre cri d’espoir

qui va jaillir de l’ombre

Le monde va l’entendre

Et ne plus l’oublier...

Soldats, obéissez

aux ordres de vos maîtres

Que l’on nous exécute

En nous visant au cœur

De notre sang versé,

la Liberté va naître...
La Commune est en lutte
Et nous sommes vainqueurs...


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