Una mattina mi son svegliato O bella ciao, bella ciao, bella ciao, ciao, ciao Una mattina mi son svegliato e~ho trovato l'invasore. Oh partigiano, porta mi via O bella ciao, bella ciao bella ciao, ciao, ciao Oh partigiano, porta mi via che mi sento di morire E se io muoio da partigiano O bella ciao, bella ciao bella ciao, ciao, ciao E se io moio da partigiano Tu mi devi seppellir E seppellire lassu~in montagna O bella ciao, bella ciao bella ciao, ciao, ciao E seppellire lassu~in montagna Sotto l'ombra di~un bel fior. E tutti quelli che passerano O bella ciao,bella ciao bella ciao, ciao, ciao E tutti quelli che passerano Te diranno: che bel fior. E questè~il fiore del partigiano O bella ciao, bella ciao bella ciao, ciao, ciao E questo il fiore del partigiano Morto per la libertà | Une matinée, je me suis levé O bella ciao, bella ciao, bella ciao ciao ciao Une matinée, je me suis levé Et l'ennemi était là Oh partisan emmène-moi O bella ciao, bella ciao bella ciao, ciao, ciao Oh partisan emmène-moi Je me sens prêt à mourir Et si je meurs en partisan O bella ciao, bella ciao bella ciao, ciao, ciao Et si je meurs en partisan Tu devras m'ensevelir M'ensevelir dans la montagne O bella ciao, bella ciao bella ciao, ciao, ciao M'enterrer dans la montagne Sous l'ombre d'une belle fleur Comme ça les gens qui passeront O bella ciao, bella ciao bella ciao, ciao, ciao Comme ça les gens qui passeront Diront quelle belle fleur C'est là la fleur du partisan O bella ciao, bella ciao bella ciao, ciao, ciao C'est là la fleur du partisan Tombé pour la liberté source http://diato.pagesperso-orange.fr/paroles/bellaciao.htm |
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La commune est en lutte
Finale du film « Le juge et l’assassin » de Bertrand Tavernier
Texte de Jean-Roger Caussimon
Musique de Philippe Sarde
Chanté par Isabelle Huppert
Paroles :
La Commune est en lutte
Sans doute, mon amour,
on n’a pas eu de chance
Il y avait la guerre
Et nous avions vingt ans
L’hiver de 70
fut hiver de souffrance
Et pire est la misère
En ce nouveau printemps...
Les lilas vont fleurir
les hauteurs de Belleville
Les versants de la Butte
Et le Bois de Meudon...
Nous irons les cueillir
en des temps plus faciles...
La Commune est en lutte
Et demain, nous vaincrons...
Nous avons entendu
la voix des camarades :
« Les Versaillais infâmes
Approchent de Paris... »
Tu m’as dit : « Avec toi,
je vais aux barricades
La place d’une femme
Est près de son mari... »
Quand le premier de nous
est tombé sur les pierres
En dernière culbute
Une balle en plein front
Sur lui, tu t’es penchée
pour fermer ses paupières...
La Commune est en lutte
Et demain, nous vaincrons...
Ouvriers, paysans,
unissons nos colères
Malheur à qui nous vole
En nous avilissant...
Nous voulons le respect
et de justes salaires
Et le seuil des écoles
Ouvert à nos enfants...
Nos parents ne savaient
ni lire ni écrire
On les traitait de brutes
Ils acceptaient l’affront...
L’Égalité, la vraie,
est à qui la désire...
La Commune est en lutte
Et demain, nous vaincrons...
Les valets des tyrans
étaient en plus grand nombre
Il a fallu nous rendre
On va nous fusiller
Mais notre cri d’espoir
qui va jaillir de l’ombre
Le monde va l’entendre
Et ne plus l’oublier...
Soldats, obéissez
aux ordres de vos maîtres
Que l’on nous exécute
En nous visant au cœur
De notre sang versé,
la Liberté va naître...
La Commune est en lutte
Et nous sommes vainqueurs...
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