En page A-7 du Devoir d'hier, le 26 septembre, messieurs Marc Laviolette et Pierre Dubuc avançaient l'idée de faire de la Cour suprême du Canada un des sujets à examiner lors d'éventuels États généraux. Enfin!
Il s'agit en effet d'un chantier qui devrait être ouvert à cette occasion. Il faudrait y joindre la tâche corollaire de faire la lumière sur l'instrumentalisation de la Cour par un certain pouvoir fédéral.
Un autre chantier devrait cependant être ouvert lors des États et c'est celui des politiques économiques du Canada. Celles-ci sont généralement élaborées en l'absence du Québec et lui sont la plupart du temps défavorables. De ce fait, le Québec se voit condamné à vivre de péréquation. Ensuite, on lui reproche, au Canada anglais, d'être un «quémandeux» de péréquation peu reconnaissant. Et, cela aussi devrait être examiné lors des États généraux.
En fait, il faudrait éventuellement poursuivre l'exercice dans le cadre de commissions parlementaires spéciales à l'Assemblée nationale. Après tout, ces questions ne valent-elles pas l'amphithéâtre de monsieur Labeaume?
Le mandat des États généraux
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