Le peuple québécois a de quoi se réjouir avec l'adoption récente de la nouvelle loi 21 sur l'interdiction du port de certains signes religieux au gouvernement dans une optique de neutralité de l'État. Il y a de quoi être vraiment fier.
C'est une loi progressiste et positive qui sera bénéfique à l'évolution de la nation, comme des lois similaires adoptées dans plusieurs pays d'Europe l'ont déjà démontré avec grand succès. C'est une tendance générale qui devrait aller en s'accélérant dans tout l'occident.
Cette loi sur la laïcité tant attendue répondait aux aspirations expresses de la population, ce qui a permis à la Coalition Avenir Québec (CAQ) de prendre le pouvoir l'automne dernier, à la grande satisfaction de tous les Québécois de souche. La CAQ a tenu sa promesse, adoptant par la même occasion une autre loi importante sur l'immigration.
En toute logique, la loi 21 devrait pouvoir servir par extension de modèle, de caution, de justification et de référence dans l'entreprise privée et dans la gestion de l'espace public en général.
De cette façon, nous pourrons étendre notre conception d'une société moderne et évoluée au monde du travail dans tous les domaines et professions du secteur privé, ainsi que dans toutes les sphères d'activités auxquelles participe la population.
En se basant sur cette loi visant la neutralité et en se référant à son contenu explicite, les employeurs de l'entreprise privée y trouveront la justification pour refuser à leurs employés de porter des signes religieux ostentatoires dans l'exercice de leurs fonctions: hidjab, burqa, kippa, kirpan, turban, etc. en se basant sur les dispositions qui ont force de loi dans le secteur public.
Bien entendu, il conviendrait que nos signes religieux à nous continuent à être acceptés et respectés, puisque que nous y sommes habitués depuis toujours, qu'ils font partie de notre patrimoine, et que personne même ne les remarque plus.
Gardons à l'esprit que nous n'avons jamais à reculer en rien sur quoi que ce soit qui fait partie de nos traditions ou de notre mode de vie. Ce sont aux autres, aux étrangers du tiers-monde sous-développé, de s'adapter à nos mœurs, jamais l'inverse.
Ces gens en comparaison moins civilisés doivent tenter de progresser en suivant notre exemple, et non pas en s'entêtant à vouloir continuer à vivre comme dans leurs pays de misère.
Pour les employeurs privés, le raisonnement juste et approprié consistera à dire: si la loi 21 est bonne et utile pour les employés du gouvernement, elle le sera très certainement pour tous nos employés aussi.
De leur côté, les municipalités pourraient établir une réglementation basées sur cette loi en vue d'assainir l'espace public en le rendant à l'image des valeurs québécoises qui refusent tout signe visible d'infériorisation de la femme comme le sont tous les divers voiles islamiques, du plus discret jusqu'à l'offensante tenue intégrale.
Tous les endroits publics (établissements scolaires, bibliothèques, parcs, musées, centres de loisir, centres sportifs, places publiques, marchés, salles de spectacles, arénas, centres commerciaux, lieux de spectacles extérieurs) gagneraient à observer la même réglementation bannissant le port de signes religieux avilissants comme le voile islamique.
Car si tel est le désir de la population québécoise, eh bien alors, que sa volonté soit faite. C'est le grand principe de la majorité démocratique qui décide des règles du jeu. Et c'est précisément ce qu'elle a obtenu en demandant en masse cette loi bienfaisante et en en faisant un enjeu électoral victorieux. Soulignons que de telles règles s'appliquent déjà avec tout l'assentiment populaire voulu dans de plus en plus de pays.
Le pourcentage d'immigrés qui refusent obstinément de se plier à nos codes n'auront qu'à aller travailler ailleurs au Canada ou dans le pays de leur choix. Nous n'avons aucun besoin de cette sorte de récalcitrants-là qui s'entêtent à ne pas vouloir évoluer dans le bon sens et dans le respect des règles établies de la société d'accueil, et qui refusent d'adopter un mode de vie plus évolué que celui qu'ils devraient pourtant être heureux d'avoir quitté.
C'est tous ensemble que nous mettrons fin à la pitoyable dictature des minorités.
Il n'en tient qu'à nous de continuer à défendre le type de société qui nous reflète le mieux, celle que nous voulons à notre image.
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