Le cahier des charges du spyware Hadopi fuité en à peine deux jours

Géopolitique — État-nation c. oligarchie mondialiste

par Fabrice Epelboin
Extrait
Le logi­ciel étant prévu pour se mettre à jour auto­ma­tique­ment afin de regar­der de plus en plus pré­ci­sé­ment tout ce qui se trans­met au sein du foyer, on s’approche au plus près du cau­che­mar Orwellien d’un sys­tème de sur­veillance ins­tallé dans chaque foyer.
Comme les res­pon­sables de la Hadopi s’y atten­daient, c’est un grand éclat de rire qui tra­verse en ce moment le monde des spé­cia­listes de la sécu­rité infor­ma­tique et des hackers, dou­blé d’un fris­son d’effroi quant aux inten­tions Orwellienne révé­lées par ce cahier des charge.
Mais c’est égale­ment le départ d’une com­pé­ti­tion inter­na­tio­nale où une gloire mon­diale attend les vainqueurs, car pour reprendre Cory Dotorow, la vision Orwellienne qui se lit dans la poli­tique numé­rique de l’Etat Français se base sur une approche erro­née des technologies.
Orwell per­ce­vait la tech­no­lo­gie comme étant au ser­vice des puis­sants, et sur ce point, il avait fon­da­men­ta­le­ment tort (en même temps, l’ordinateur indi­vi­duel n’était pas même ima­giné à l’époque). Face à cette pré­dic­tion, s’oppose désor­mais une armée de l’ombre, prête à défer­ler sur les wanabe dic­ta­tures, et qui lui oppo­se­ront une résis­tance farouche.
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