Quand on laisse les forces du marché évoluer à leur guise comme le demande la politique économique classique du laissez-faire, on peut voir ce qui arrive en regardant la Ligue nationale de hockey (LNH). Le club de Montréal, nos Canadiens si symboliques, n'ont plus qu'un seul joueur francophone.
Cela n'est pas dû au hasard comme le remarquait Réjean Tremblay. En haut lieu, on a opté pour le laissez-faire dans la LNH tout en sachant très bien les conséquences d'une telle option : ça allait noyer les francophones dans la masse à force de dilution.
C'est pourquoi, nous Québécois, qui avons toujours refusé l'ignominie du suicide collectif, devons utiliser notre État comme levier pour résister et vivre. Et vivre en abondance. D'ailleurs, tous les pays qui réussissent mettent les leviers de l'État au service de leurs citoyens.
Seuls les Canadiens les plus fanatiques, ces fédéralistes extrémistes, refusent cette option aux Québécois.
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3 commentaires
Fernand Lachaine Répondre
11 septembre 2010Je viens de ré-écouter les Francs-Tireurs avec monsieur Pierre Curzy et ce qu'il a dit concernant le Canadien c'est ce que je pense depuis longtemps: les francophones ne sont pas bienvenus. Dommage car c'est avec les francophones en majorité que ce club a gagné des coupes de Lord Stanley.
Fernand Lachaine
Archives de Vigile Répondre
11 septembre 2010Le député Curzi du PQ a tord.
http://www.cyberpresse.ca/chroniqueurs/yves-boisvert/201009/10/01-4314586-la-denationalisation-du-canadien.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B40_chroniqueurs_373561_accueil_POS1
Archives de Vigile Répondre
10 septembre 2010Avez-vous écouté Curzi aux Francs-Tireurs?
Sinon surveillez la reprise.
Curzi parle de complot.