Totalitarisme sanitaire

Le maintien du confinement continue : à quand la fin de cette tyrannie ?

Y à-il un pilote dans l'avion ?

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Tribune libre

Voici un extrait d’un commentaire soumis sur la tribune libre de Vigile Québec le 14 avril 2020  “La population du Québec devrait – doit - intenter dès que possible un procès au criminel contre le gouvernement du Québec pour TERRORISME contre sa population, et de fait, la terreur qu’ils matraquent et alimentent sans cesse avec le concours abject des médias ne mérite rien de moins.”



En attendant les procès, une pétition  devrait circuler auprès des citoyens québécois pour obtenir la démission immédiate de la ministre de la santé, Danielle McCann et celle du directeur de la santé publique, Horacio Arruda, pour incompétence, fraude statistique et les plans irréalistes et très nébuleux qu’ils ont soumis au PM Legault pour la gestion de l’épidémie et je le répète, de type grippale et statistiquement pas plus létale que la grippe saisonnière, qui sévit au Québec comme ailleurs dans le monde. 



Les estimations de ces deux personnages se sont avérés totalement inefficaces, sur-estimés et, dans bien des cas inhumains à plusieurs égards. On est en droit d’attendre mieux de ces responsables du système de la santé au Québec. Quand on voit le désespoir qu’ils ont créer par leur totale incompétence, il est urgent qu’ils quittent leur fonctions et laissent la place à d’autres.



J’accorde au PM le bénéfice du doute pour l’instant et la population pourra, aux prochaines élections, décider du sort de ce personnage qui ne cesse de justifier ses actions en nous rabâchant sans cesse que quand on se compare aux autres pays du monde, on se console. Même si on comprend que les chefs de gouvernements doivent prendre en compte les avis de conseillers qu’on qualifie “d’experts technocrates”, à cet échelon du pouvoir l’utilisation du bon jugement est essentiel pour maintenir la confiance du public. Nous devons tous nous poser les bonnes questions lorsque les résultats sont si peu remarquables.



Encore une fois, j’invite les députés élus à rompre le silence sur la situation, qui continue de s’aggraver, à retrouver leur voix et participer aux débats publiques sur plusieurs enjeux/conséquences et écouter les doléances de tous les citoyens qui leur ont fait confiance lors du dernier scrutin qui les a porté au pouvoir de leur circonscriptions.



En attendant, les lourdes conséquences socio-économiques à venir à cause de l’arrêt presque total de toutes les activités de commerce et d’éducation de l’augmentation aisément prévisible du taux de suicide, de toxicomanie, de sans abris à cause de l’isolation prolongée provoquée par le confinement obligatoire, je le rappelle, décrété unilatéralement et sans consultation de la population.



La suppression des droits et libertés est une chose grave et la population sera pour une très longue période soumise, surtout les enfants,  à une terreur collective, à une peur excessive d’avoir des rapports naturels de bonne socialisation avec autrui et nous allons nous retrouver avec une société disloquée, adverse aux risques minimes associés à toute activité humaine. Je laisse à la collectivité de qualifier et juger toutes les actions qui ont été prises sous le couvert de “nous protéger” ce qui, manifestement, n’a pas été accompli.



Tous les décès, peu importe la maladie, sont vécus par les familles et par les proches aidant, comme une tragédie personnelle. Mais sans vouloir paraître sans coeur, la mort étant une étape de la vie, on ne peut raisonnablement la prévenir pour tous et à jamais. À preuve, des centaines de citoyens demandent l’aide à mourir dans la dignité et la population soutien ce droit individuel comprenant bien que l’issue de la vie naturelle est la mort, peu importe la condition. Les accidents de parcours peuvent difficilement être évités en toute rationalité. Mais où est la “mort dans la dignité” dans les centres d’hébergement aujourd’hui ?



Mais si on veut être honnête, cette situation perdure depuis des années, et comme toutes les administrations qui l’ont précédée celle actuellement en place continue de laisser nos aînés dans la déchéance, que le PM qualifie affectueusement de “nos sages” et le constat est que les conditions de vie dans lesquelles nos sages sont maintenus sont cruelles et inhumaines. Nous nous dirigeons tous vers cette étape de vie inévitable et nous devons tous contribuer aux choix à faire comme société sur le “comment” les individus qui avancent en âge doivent être traités. 



Il est temps d’agir et je suis vraiment tannée de me faire dire “ça va bien aller” slogan cul cul et dépourvu de preuve à l’appui que effectivement les choses vont aller en s’améliorant. Je suis tannée du discours de sourd, des actions aveugles qui prennent place en mon nom en qualité de citoyenne et qui contribue 6 mois de salaire en taxes chaque année pour donner des résultats qui n’arrivent pas. À partir de maintenant les bottines doivent suivre les babines.



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