Réponse au vidéo de Jean-Jacques Nantel 

Projet d’Institut de recherche sur l’indépendance du Québec

Tribune libre

Désolé Monsieur Nantel, mais je ne suis pas d’accord, ni de votre avis concernant la tenu du référendum rapidement dans la première année d’un premier mandat de l’élection du PQ et de Pierre-Karl Péladeau. Je crois même que c’est justement pour cette raison que nous avons perdu le référendum de 1995. Comprenez moi bien je n’essaye pas de vous nuire, j’adore vos idées et vos vidéos, je suis un admirateur de la première heure et suis vos travaux depuis déjà un moment . Mais je suis aussi jeune et j’ai ma propre idée sur le sujet, laissez-moi vous expliquer mon raisonnement.

D’abord, je crois en effet que de tenir un référendum dans la première année ne pourrait fonctionner qu’a un seul niveau, c’est à dire à celui des déjà convaincus, ceux qui croient déjà, comme vous et moi, que se serait bon pour le Québec qu’il devienne un pays. Je vous explique, selon moi il y trois archétypes de gens qui votent, premièrement ceux qui votent avec leur intelligence, celui des déjà convaincus, c’est-à-dire le quarante pour cent ferme de Québécois qui croient déjà que le Québec devrait être indépendant et que se serait bon pour lui.

Deuxièmement, 40 pour cent des gens qui votent avec leur portefeuilles, c’est à dire les Québécois qui ont peur de perdre économiquement si le Québec devient un pays, la plupart des fédéralistes qui votent pour le parti libéral ou des caquistes non convaincus.

Troisièmement, ceux à qui nous devons nous attaquer, le derniers vingt pour cent, les gens qui votent avec leurs émotions, ceux qui ont besoin d’être rassurés et d’être accompagnés pour gagner leur confiance. Voyez-vous, je vois l’indépendance comme un mariage, jamais vous n’iriez demander en mariage la main d’une personne que vous connaissez à peine. Pour que la relation de confiance s’instaure, cela prend du temps.

Pour moi, le PQ devra d’abord gagner cette confiance en gouvernant adroitement dans un premier mandat et en proposant des projets porteurs qui rassembleront et donneront confiance en ce gouvernement. Quand je parle de projet porteur, je parle de revenir aux bases de ce qui fait la force et la différence du Québec, l’eau, l’économie verte et durable, l’éducation. En effet, je pense sincèrement qu’en renforçant le Québec pendant les 4 premières années avec des projets orientés, comme vous le dites si bien vous-même, dans l’environnement pour plaire aux jeunes, dans l’éducation et dans l’économie verte. Le Québec ne pourra que dire Oui à la fin d’un tel mandat.

Pour moi, l’argument de dire qu’il ne faut pas gouverner longtemps pour ne pas se faire haïr ne fait aucun sens, pour deux raisons et je terminerai là-dessus. Premièrement, il na pas eu de bon gouvernement péquiste depuis vingt ans, tout le monde à oublié ce qu’est un « bon » gouvernement, un gouvernement qui à de l’ambition, de l’audace et visionnaire comme fut celui de René-Lévesque. C’est justement ce dont le Québec à besoin présentement.

Deuxièmement, croyez-vous sincèrement que si Jacques Parizeau n’avait pas tenu de référendum dans la première année de son premier mandat et qu’il avait passé 3 années à continuer de façonner le Québec à grands coups de projet porteur comme fut la caisse de dépôt, Hydro Québec, les caisses de retraite, tout en continuant à parler d’indépendance, à promouvoir le projet de société distincte, en écrivant une constitution et en la montrant au Québécois, qu’à la fin des ces 4 années de mandat il aurait perdu son référendum? Non Monsieur, je pense que nous savons tous qu’il aurait gagné holà main et ce avec plus de 55 pour cent des voies, ce dont je suis totalement convaincue.

C'est pour ces raisons, que je pense sincèrement que pour gagner, il nous faut retrouver ce chemin, c’est à dire celui de projet porteur qui nous différencie du reste du Canada et qui fait de nous cette force. La réponse positive à l’indépendance sera forte une fois la confiance retrouvée. Je vous remercie de prendre en considération mon point de vue de jeune militant et patriote.


Laissez un commentaire



25 commentaires

  • Pierre Cloutier Répondre

    26 décembre 2015

    Message à Luc Fortin
    Pourquoi me parler des conditions actuelles en lien avec un échec alors qu'on a 3 longues années à se préparer? Un référendum cela se prépare longtemps d'avance et le laissez-faire ne nous fera pas avancer d'un seul pouce.
    1 - Créer l'Institut de recherche sur l'indépendance;
    2 - Faire l'unité des forces indépendantistes ;
    3 - Créer des comités du OUI dans tous les comtés ;
    4 - Faire la défense et l'illustration du pays ;
    5 - Entreprendre la Grande Tournée du OUI ou du Pays (2016-2018)
    6 - Rendre publique la question référendaire.
    Le reste, la petite politique professionnelle provinciale de merde et tout ce qui grouille, grenouille, scribouille, n'a pas vraiment d'importance.

  • Archives de Vigile Répondre

    26 décembre 2015

    À Monsieur Pierre Cloutier,
    Avant de juger mes propos ridicules, Monsieur Cloutier, vous devriez les lire correctement. En aucun moment je n'ai préconisé de tenir un référendum maintenant. Votre soliloque vous égare et je ne relèverai pas votre délirante tentative de m'associer à Pierre-Marc Johnson, Lucien Bouchard ou André Boisclair.
    Je dis seulement que les conditions actuelles me laissent prévoir un échec lamentable si rien n'est fait pour éveiller les consciences et le désir d'indépendance, particulièrement chez tous les jeunes qui ont acquis le droit de vote depuis 1995. L'essentiel de mon commentaire tient à ceci : comment voulez-vous que les jeunes sachent où va le Québec si personne ne leur en parle jamais?
    Les bonnes années du PQ ont été celles où les choses étaient fondées et claires, celles où la population lui accordait sa confiance. Souvenez-vous combien il fut facile aux libéraux de 2014 de jouer de la peur d'un référendum pour mieux dissimuler leurs véritables intentions et leurs « vraies affaires » et combien l'opinion publique semble être tombée dans le panneau. La peur n'a d'emprise que par l'ignorance.
    Or l'incapacité de défendre le projet souverainiste n'est pas passée inaperçue à ce moment-là et c'est ce qu'il faut éviter en s'y attaquant tout de suite. Les fédéralistes ont très bien compris que la peur et l'ignorance sont notre pire ennemi et ça leur a très bien servi.
    Sondez un peu les opinions des jeunes et vous y trouverez beaucoup de lieux communs et d'ignorance de la réalité politique québécoise et de son histoire. Il est grand temps qu'un institut de recherche sur l'indépendance du Québec prenne son envol en s'adressant à l'intelligence des gens, en rétablissant les faits et en désamorçant les peurs.
    Quoi qu'on en pense, l'indépendance du Québec ne se fera pas malgré les Québécois et il est plus que temps d'engager un dialogue franc et ouvert avec eux. Un référendum ne pourra se gagner que lorsque la population y sera disposée, que ça nous plaise ou non, et cela ne viendra pas parce qu'on a décidé qu'il doive se tenir dans la première ou la troisième année d'un premier ou d'un deuxième mandat, avec un plan A ou un plan B. Les choses se mettront en place naturellement dès lors que les Québécois s'engageront dans leur avenir et qu'ils choisiront d'en être les maîtres. Une bonne stratégie doit pouvoir être flexible. Il n'y a pas d'autre voie et il est temps d'en parler maintenant sans oublier de tirer les leçons des erreurs du passé...
    histoire de ne pas les répéter.

  • Pierre Cloutier Répondre

    25 décembre 2015

    Message à Pierre Fortin,
    Ce que vous dites est ridicule. Qui vous parle de tenir un référendum maintenant alors que les libéraux sont au pouvoir? Nous voudrions que nous ne le pourrions pas. Soyez sérieux. Il reste 3 ans avant les prochaines élections, 3 longues années à unir les forces, à mettre sur pied l'Institut de recherche sur l'indépendance, à développer un argumentaire solide et crédible portant sur les axes géopolitiques, moraux et économiques, comme le mentionne Jean-Jacques Nantel, faire l'union des forces indépendantistes, créer des comité du OUI dans tous les comtés, faire la défense et l'illustration du pays, entreprendre la grande tournée du OUI qui pourrait durer 3 ans (Montréal 2016, avec comme thèmes : indépendance, jeunesse, immigration et économie Québec, 2017 avec comme thème Indépendance et Québec capitale internationale et régions 2018 avec comme thème Indépendance et décentralisation de l'État québécois.
    Ce que nous propose M. Dagenais, c'est un plan B. C'est une veille soupe à l'ancienne servie à la moderne, qui est la même boulechite que l'affirmation nationale de Pierre-Marc Johnson, le beau risque de René Lévesque, les conditions gagnantes de Lucien Bouchard, la feuille de route provinciale d"André Boisclair et la gouvernance souverainiste de Pauline Marois. C'est la stratégie de ceux qui fuckaillent avec le puck avant d'aller s'écraser sur la bande et partir à la retraite avec un fond de pension bien garni comme ministre ou député. On a assez donné. Merci.
    Aujourd'hui on nous ressort le vieux disque usé sous la forme du renforcement de l'État alors que l'indépendance a précisément pour but de renforcer l'État et que cela ne peut pas se faire sans la permission de la population.
    C'est complètement nul. Un pays et rien d'autre. Le matin, le midi, le soir, la semaine et la fin de semaine.

  • Archives de Vigile Répondre

    24 décembre 2015

    Excellent texte Monsieur Dagenais. Enfin un peu d'air frais dans un débat enlisé. Je partage vos idées et votre appel à l'intelligence.
    Je crois que les Québécois ont bien répondu à un référendum quand ils ont senti qu'un chef savait où il allait; et ils en étaient conscients parce que le chef avait fondé clairement et intelligemment sa pensée et ses intentions précises. Mais on n'a pas vu ça depuis la démission de Jacques Parizeau. Or que voient les Québécois de la défense de l'idée d'indépendance qui devrait être portée haut et alimentée conséquemment?
    Un référendum tenu dans les conditions actuelles serait un échec honteux. Il est primordial de sonner d'abord le réveil des consciences, de raviver le sens de la politique québécoise intelligente et progressiste que nous avons connue.
    Comment voulez-vous que les jeunes qui ne connaissent d'autre PQ que celui que Lucien Bouchard a déglingué croient au projet d'indépendance?
    Quand à leur connaissance de l'histoire, il ne faudrait pas oublier qu'un certain gouvernement a coupé diligemment de ses programmes d'études secondaires l'essentiel de notre histoire ancienne et contemporaine. Comment voulez-vous qu'ils sachent où va le Québec si personne ne leur en parle jamais?
    « L'ignorance est la pire des servitudes, celle qui permet toutes les autres »
    — Condorcet

  • Pierre Cloutier Répondre

    24 décembre 2015

    Message è Jean-Paul St-Cyr,
    Le gros problème que l'on rencontre avec certaines personnes c'est leur absence de référence historique. On est dans l'instantané et un événement chasse l'autre ce qui les empêche d'avoir un regard lucide sur les choses.
    Quant j'ai écrit ce livre, j'ai été très discipliné. J'ai analysé attentivement tous les programmes du Parti Québécois en ce qui concerne l'accession à l'indépendance et j'ai comparé ce qui avait été voté en congrès par les membres de la base et sur ce qui s'est produit ensuite. Et je suis arrivé à la conclusion que ce ne sont pas les militants du PQ qui sont durs avec leurs chefs, mais les chefs qui ont trahi les militants. Je fais 2 exceptions : Jacques Parizeau lors du référendum de 1995 et Bernard Landry avec le "projet de pays" de 2005.
    Donc, pas de références historiques qui les empêchent de voir souvent que le "passé est garant de l'avenir".
    Autre constat : les jeunes générations ont tendance à se croire plus intelligentes et souvent supérieures que celles qui les ont précédées, mais elles ne se rendent pas compte qu'elles font exactement les mêmes erreurs. Comme les saisons, c'est l'éternel retour du même, comme disait Nietzsche.

  • Archives de Vigile Répondre

    23 décembre 2015

    Monsieur Dagenais,
    Je vous remercie pour votre article. Vos propos provoquent une saine discussion.
    Afin de bien comprendre l'essentiel de l'argumentaire de Me Cloutier, permettez-moi de suggérer la lecture de «Indépendance - Le PQ a trahi ses militants», un bouquin que tous les souverainistes québécois devraient lire pour bien comprendre le sens du mot trahison.

  • Pierre Cloutier Répondre

    23 décembre 2015

    Réponse à Peter Benoit
    1 - Où avez-vous acheté votre boule de cristal pour ainsi prédire l'avenir? Chez Canadian Tire? Vous ne savez même pas la température qu'il fera la semaine prochaine. Alors, lâchez-nous la grappe avec vos prédictions.
    2 - Alors tant mieux.
    3 - Pas besoin d'un livre blanc à l'écossaise qui prendra le bord des tablettes après avoir été qualifié de propagande par les fédés. Pas besoin d'une constitution non plus.
    L'IRIQ, oui avec des rapports réguliers pour maintenir l'intérêt dans la population.
    4 - Arrêtez de vous casser la tête pour rien. À trop anticiper l'avenir, on ne fait rien. Mais je suis dans le réel. Ici et maintenant. Il nous faut l'IRIQ + l'union des forces indépendantistes + des comités du OUI dans chaque comté + Défense et illustration du pays + Grande tournée du Pays (2016-2018).
    5 - Il faut que le mouvement indépendantiste se mette en mode référendaire. Et le plus tôt possible sera le mieux.

  • Peter Benoit Répondre

    23 décembre 2015

    @ Pierre Cloutier
    Vous êtes vite sur la gâchette et je m'explique:
    1) La démarche référendaire tel que vous préconisez est la voie royale pour un échec cuisant, durable et pérenne; c'est ce que les fédéralistes souhaitent... Il n'y a aucun engouement en ce moment et aucune possibilité concrète d'union des forces souverainistes pour la simple et bonne raison que tant que les QS, CAQ et autres partis seront "en croissance" dans le vote populaire, ils n'auront aucun intérêt à se rapprocher d'un parti qui perd "des parts de marché".
    Je suis cependant convaincu que ces partis ont fait le plein de votes et qu'ils sont mûrs pour une "correction" qui viendrait de PKP. Uniquement dans ces conditions, le rapprochement va se faire...
    2) Je suis d'accord avec vous que toute démarche mollassonne, tel que décrite par vous, n'est pas la solution non plus.
    3) Comme l'a dit PKP, il faut exécuter le "plan d'affaires" avant de le dévoiler aux compétiteurs. Je pense qu'il faut innover et proposer une démarche simple, inédite et porteuse qui comprendrait les éléments suivants: Livre blanc à l'Écossaise modifié à la sauce québécoise, nouvelle constitution, Institut sur l'indépendance qui serait interactif et exhaustif...
    4) La question à 1 million de $$$: Comment allons-nous faire respecter le résultat d'un référendum par Ottawa ? Devons-nous négocier au préalable la démarche ? Allons-nous demander un avis à la Cour suprême ? Devons-nous faire intervenir des observateurs internationaux durant la campagne et le vote ?
    Je répète qu'il nous faut innover et reprendre les mêmes formules va donner les mêmes résultats.

  • Archives de Vigile Répondre

    23 décembre 2015

    Môsieur Cloutier,
    Je vous l'ai écrit par le passé, je le redis ici. Je vous prèfère dans mon camps que de l'autre côté.
    Il est temps que nous nous rencontrions.

  • Pierre Cloutier Répondre

    23 décembre 2015

    Réponse à Marcel Haché
    Je ne me souviens pas vous avoir déjà croisé au Parti Québécois ni lors du référendum de 1980, alors que j'étais coordonnateur de la commission juridique nationale au Regroupement national pour le OUI, ni lorsque je faisais partie de cette même commission lors du référendum de 1992 et de celui de 1995, ni dans les congrès, les conseils nationaux, les conseils exécutifs de comté, ni nulle part ailleurs. Où étiez-vous monsieur Haché?

  • Pierre Cloutier Répondre

    23 décembre 2015

    Brilland, (J'emploie la même formule que vous en oubliant le Monsieur),
    Qui vous dit que Monsieur Dagenais n'a pas le droit d'exprimer son point de vue? Il l'a donné. Je lui réponds. Je ne suis pas obligé de prendre des gants blancs quand j'entends les mêmes inepties depuis 35 ans. Si M.Dagenais ou d'autres ne sont pas contents, ils n'ont qu'à voter non au prochain référendum. Mais travailler pour l'empêcher, saper le moral des militants et saboter le mouvement en l'envoyant encore une fois sur une voie de garage, est une position contre laquelle je vais m'opposer tout le temps. J'en ai trop vu au PQ des petits carriéristes, arrivistes, opportunistes et électoralistes - et je ne dit pas que M.Dagenais l'est - que je suis méfiant. Chat échaudé craint l'eau froide. On a eu "l'affirmation nationale" de Pierre-Marc Johnson, on a eu le "beau risque" de René Lévesque, on a eu les "conditions gagnantes" de Lucien Bouchard, on a eu la "feuille de route provinciale" d'André Boisclair et on a eu la "gouvernance dite souverainiste" de Pauline Marois. Là, on essaie de nous passer la même poutine avec un nouveau vocable, soit "le renforcement de l'État", un genre de soupe indigeste, incolore, inodore et sans saveur, prétendument servie à la moderne. Assez, c'est assez. Un peuple, une nation, un territoire, des institutions publiques, une question claire, un référendum = un pays. Le reste, tout ce qui grouille, grenouille, scribouille n'a pas vraiment d'importance, y compris la petite politique provinciale professionnelle de merde.

  • Marcel Haché Répondre

    23 décembre 2015

    @ Pierre Cloutier.
    « Ce n’est pas avec des gens comme vous qu’on va faire un pays. » Pierre Cloutier.
    Depuis le temps que vous tenez pareil bla-bla, si vous aviez réellement prise avec le réel du mouvement indépendantiste, peut-être auriez-vous réalisé que c’est avec des gens comme vous qu’on a jamais réussi à faire le Pays.

  • Pierre Cloutier Répondre

    22 décembre 2015

    Le gros problème avec le mouvement indépendantiste, c'est qu'on est obligé de se battre non seulement contre les fédéralistes, mais également contre tous les chouverainistes ronronnants et mollassons qui squattent le Parti Québécois depuis des années. Tous ces petites arrivistes, opportunistes, carriéristes et électoralistes qui s'incrustent dans ce parti comme les moules sur la coque d'un navire pour servir leurs petits intérêts personnels et projeter leur peur de vivre.
    Vous ne pouvez même pas vous imaginer comme on a en plein le .....de vos jérémiades et des vos angoisses existentielles. Vous nous pourrissez la vie et vous nuisez au peuple québécois. Si vous ne voulez pas vous battre, dégagez. Faites de l'air. Ce n'est pas avec des gens comme vous qu'on va faire un pays.

  • Archives de Vigile Répondre

    22 décembre 2015

    Cloutier,
    Respirez par le nez et calmez-vous un peu le pompon!
    M. Dagenais a le droit de présenter son point de vue, qui par ailleurs, fait bien du sens.
    Arrêtez de tirer partout, vous vous essoufflez pour rien.
    Je suis d’accord avec vous. L’indépendance on la met sur la table, on en parle partout et on l’affirme.
    Mais voyez-vous, une bonne pédagogie consiste à rassurer celui dont nous désirons son écoute. Ce n’est pas en lui tapant dessus que vous réussirez à réduire ses peurs et ses incompréhensions. Commencez donc à vous pratiquer ici sur cette tribune avec le monde qui est déjà de vot' bord !
    Si je ne vous connaissais pas (à travers vos centaines de textes sur Vigile) et lisait vos derniers commentaires adressés à Dagenais ou Massé, je me dirais : « Qu’ou donc c’est quoi son problème celui-là, y fait exprès ou quoi »?
    On le sait que vous la voulez l’indépendance. Nous aussi, autant que vous. Je préfèrerais qu’on le fasse autour d’une bière/café/tisane qu’autour de poings fermés.
    Votre approche éloigne le monde... pas toujours, mais trop souvent.
    ____
    Monsieur Nantel, certes le fédéral va tout faire pour nuire à un gouvernement indépendantiste. Raison de plus pour révéler leur stratagème aux Québécois pendant la préparation à la prise de pouvoir.
    La prise de pouvoir passe par la libération des libéraux aux différentes institutions (ménage à faire aussi des indépendantistes « manqués » comme Bouchard, Johnson, Sylvain Simard (SAQ), etc. Et ça prendra une année juste pour faire le ménage aux premiers échelons.
    Vous écrivez en commentaire : « D’autres parts, les dirigeants du gouvernement péquiste, q ui seront pris au quotidien avec tous les problèmes de gestion d’un État constamment saboté par le fédéral n’auront pratiquement pas de temps à consacrer à la promotion de l’indépendance. Or, les mêmes députés, qui ne foutent pratiquement rien pendant les années passées dans l’opposition, ont tout au contraire tout leur temps pour faire le tour des Cégeps, des universités, etc. » .
    Vous avez raison sur le dernier point, c’est le temps de faire la promotion de l’indépendance pendant que le PQ est à l’opposition, MAIS LA MEILLEURE FAÇON DE FAIRE LA PROMOTION DE L’INDÉPENDANCE, C’EST DE LA F-A-I-R-E! (voir mon premier commentaire)
    Le Bloc voulait parler QC. Regardez où ça nous a menés. C’est un changement radical dans la façon de faire, que nous appelons. Ce n’est pas parce que les routards de l’indépendance sont habitués depuis 40 ans à cogner aux portes et faire des réunions de cuisine, que cette approche saura nous amener dans le camp gagnant dans 4 ans ! Cette approche est nécessaire, mais absolument insuffisante pour gagner.
    Je vous rappelle ci-après, quelques questions à garder en tête lors de l’élaboration de notre stratégie pour accéder à l’indépendance.
    Les libéraux ont-ils respecté les règles du jeu en 80 lors de la nuit des longs couteaux ?
    Les libéraux ont-ils respecté les règles du jeu en 95 avec le référendum ?
    Les libéraux respectent-ils les règles du jeu maintenant alors qu’ils sont toujours au cœur d’une vaste opération de corruption et de démantèlement de nos institutions?

    N-O-N!!!! Et il ne le feront pas plus tard. Ces voleurs sont dans la chaumière, et croyez-moi, après nous avoir volé et violé par tous les trous possibles, ces enc..... nous enverrons la facture.
    Arrêtez de gaspiller votre énergie sur le référendum, ça donne des foutues munitions à nos opposants. Nous n’en sommes pas là. On déclarera l’arrivée d’un référendum, mais en prenant les fédérastres de court, les culottes baissées. Quand ça fera 4-5 ans que l’on a reviré tous les meubles possibles du Québec pour faire passer notre « met sage"... ce référendum sera le dernier coup d’échec, et il sera gagnant. Nous aurons en même temps oeuvré à la réalisation d'un nombre significatif de petites victoires (et si importantes pour nous habituer à la grande).
    Nous avons besoin d’agir en tenant compte de ceci :
    1. Les médias sont contrôlés par les libérastres;
    2. Les forces indépendantistes sont fragmentées;
    3. Le PQ manque cruellement de vision pour l’indépendance du Québec, et ne sait pas comment inspirer les Québécois, qui, je vous le rappelle, aiment les gagnants;
    4. Les projets terrains inspirants peuvent faire la différence au niveau de l’ouverture des Québécois, toutes origines confondues.
    ...j’arrête ici.
    PS: Si j’avais un milliard de dollars disponibles dans mes coffres, je vous assure que j’en libérerais une tite partie pour me payer les meilleurs analystes, Webmaster, managers la mise en œuvre de projets porteurs, etc. Certains parmis nous ont les moyens... moi j’ai les bras, l’huile à bras, pi encore de bonnes neurones... que ceux qui ont des oreilles pour entendre...

  • François Ricard Répondre

    22 décembre 2015

    Il y a quelques semaines j'écrivais ceci sur Vigile:
    Le Parti Québécois doit promettre un référendum lors de la prochaine campagne électorale. S’il ne le fait pas, les autres partis le feront pour lui.
    Mais cette fois-ci, il doit placer les Québécois devant un véritable choix: demeurer dans le Canada ou devenir indépendant. Accepter la constitution de 1982 ou se donner une république démocratique.
    Bien sûr, un tel choix obligera le Parti Québécois à donner une certaine définition du pays à devenir, à au moins ébaucher les contours de ce pays à naître, à esquisser, dans ses grandes lignes, un projet de constitution. Il devra identifier tous les principaux avantages que le Québec retirera de l’indépendance. Et ce, dans tous les domaines.
    Par ailleurs, ce choix forcera les fédéralistes a justifié l’appartenance du Québec à la pseudo-fédération canadienne. Depuis le statut de Westminster, et c’est encore plus vrai depuis 1982, le Canada n’est une fédération que de nom. Ce choix nous permettra de dénoncer la politique du multiculturalisme canadien qui réduit la minorité québécoise francophone à un groupe ethnique parmi d’autres. Ce faisant, elle nie carrément le fondement même de l’adoption du régime fédératif de 1867, soit la coexistence, dans un même état, de deux nations différentes, de deux cultures différentes, de deux peuples distincts.
    Et je crois que le tout est toujours pertinent.

  • Marcel Haché Répondre

    22 décembre 2015

    @ J.J. Nantel
    « Personnellement, prendre le pouvoir sans faire l’indépendance, ça m’indiffère. Pire, ça me donne la nausée. Ce n’est pas pour ça que je me bats. En fait, c’est l’inverse ; c’est contre ça que je me bats. » J.J. Nantel
    Continuez votre noble combat, m.Nantel. C’est bien votre droit. Si en plus vous croyez que c’est votre devoir, allez-y. Mais sachez cependant que c’est précisément ce type de combat qui plombe l’action du P.Q., pris en otage par cette furieuse péquisterie.
    Car ce fondamentalisme sans aucune perspective pratique place le P.Q. hors du champ d’intérêt de l’électorat. Mais c’est l’électorat, et non pas seuls amis de Vigile, qui va décider du sort du P.Q. et, au-delà, de l’Indépendance.
    Juste comme ça, en terminant : tout l’électorat si déterminant du 450, là où Nous sommes (encore) en si grand nombre, ce n’est pas précisément un électorat auquel on peut s’adresser comme à un électorat du tiers-monde. Toutes vos imprécations à l’effet qu’avec la souveraineté et l’Indépendance, Nous ferions « beaucoup de fric », une véritable passe, pareille assertion n’aurait que peu de résonnance auprès du 450. Et je ne parle même pas du 514, un véritable désert pour le P.Q.
    Voyez-vous, mais je sais que vous ne voyez pas davantage que Pierre Cloutier, c’est au Pouvoir que les indépendantistes pourraient freiner l’expansion du désert… On jase.

  • Pierre Cloutier Répondre

    22 décembre 2015

    J'ajoute ceci :
    1 - On ne fait pas l'indépendance d'un pays par la porte en arrière, comme des hypocrites.
    2 - L'indépendance mène automatiquement au renforcement de l'État, mais l'inverse n'est pas nécessairement vrai. On l'a vu, particulièrement avec Lucien Bouchard et Pauline Marois.
    3 - On ne fera pas l'indépendance sans avoir la permission du peuple québécois exprimée clairement en réponse à une question claire.
    4 - Le référendum est le meilleur outil pour exprimer la souveraineté du peuple.
    5 - Le reste, tout ce qui grouille, grenouille, scribouille n'a pas vraiment d'importance dans l'histoire d'un peuple.
    6 - Il y a la petite politique provinciale professionnelle de merde et la grande politique, c'est de la libération d'un peuple. Pas pareil. Pas pareil du tout. Ceux qui ne comprennent pas cela manquent carrément d'ambition et nous font perdre du temps.

  • Jean-Louis Pérez-Martel Répondre

    22 décembre 2015

    À M. Jean Brilland,
    Les deux commentaires que vous avez écrits suite aux arguments sans consistance politico-socioéconomique (en raison de l’urgence de réaliser l’indépendance du Québec) du présent article sont très pertinents, clairement exposés et sans détour.
    Cordialement,
    JLPM

  • Jean-Jacques Nantel Répondre

    22 décembre 2015

    Le pouvoir sans l'indépendance est un piège qui favorise le fédéral puisque, si nous faisons la connerie de gérer une province pendant des années avant de tenir le référendum, les fédéraux utiliseront la moitié de nos propres taxes pour nous mettre des bâtons dans les roues. Et cela ne coûtera rien au Canada anglais.
    D'autre part, les dirigeants du gouvernement péquiste, qui seront pris au quotidien avec tous les problèmes de gestion d'un État constamment saboté par le fédéral n'auront pratiquement pas de temps à consacrer à la promotion de l'indépendance. Or, les mêmes députés, qui ne foutent pratiquement rien pendant les années passées dans l'opposition, ont tout au contraire tout leur temps pour faire le tour des Cégeps, des universités, etc.
    Enfin, comme je l'ai dit dans la vidéo, il faut arrêter de donner à l'adversaire de multiples occasions de nous battre avec deux élections référendaires différentes et un référendum de fin de mandat.
    Quand j'entends quelqu'un dire qu'il faut éviter de tenir un référendum ou qu'il faut le reporter le plus loin possible dans le temps de peur de perdre l'élection, j'en conclus toujours que mon interlocuteur a abandonné le projet ou qu'il n'y croit plus.
    Personnellement, prendre le pouvoir sans faire l'indépendance, ça m'indiffère. Pire, ça me donne la nausée. Ce n'est pas pour ça que je me bats. En fait, c'est l'inverse; c'est contre ça que je me bats.

  • Pierre Cloutier Répondre

    22 décembre 2015

    Message à Marcel Haché
    Vous accusez les indépendantistes d'être des "loosers" mais c'est vous, le "chouverainiste ronronnant et mollasson", le "looser" en répétant comme un perroquet, la peur dans le ventre, ce que les fédéralistes répètent depuis des lunes - que les "québécois ne veulent pas de référendum" - ce qui fait partie de leur stratégie de peur.
    C'est tellement vrai, car il suffisait de voir la terreur dans le visage de Pauline Marois quand PKP a levé le poing en l'air à ses côtés et encore aujourd'hui elle met le référendum comme cause de sa défaite alors que pendant tout le temps où elle a été au pouvoir, elle n'a absolument rien fait pour faire avancer la cause de l'indépendance d'un seul pouce. Elle était même incapable de prononcer le mot. Et vous ne la verrez pas non plus nulle part pour défendre cette cause, comme l'a fait Jacques Parizeau et le fait encore actuellement Bernard Landry.
    Johnson, Bouchard, Boisclair et Marois même combat : celui de la petite politique provinciale professionnelle de merde qui nous a toujours mené dans un cul-de-sac et à faire détester le PQ.
    Et vous, vous faites comme les gens de la cinquième colonne en temps de guerre : vous essayez de miner le moral des indépendantistes en faisant de la diversion et en plus, vous faites le jeu des fédéralistes en répandant ces inepties dans le mouvement indépendantiste parce que vous tremblez de peur devant le West Island.
    En plus, je ne suis même pas sûr que vous avez milité 5 minutes au PQ de toute votre vie. Vous faites partie de cette race de québécois pour qui on se demande pourquoi on se bat pour avoir un pays.
    Avec des amis dans votre genre, on n'a pas besoin d'ennemis. Continuez votre beau travail de sape. Mais cette fois, cela ne fonctionnera pas. On a trop donné.
    Mais en plus, vous n'avez rien inventé. En 1985, Pierre-Marc Johnson appelait cela "l'affirmation nationale". En 1996, Lucien Bouchard appelait cela : les conditions gagnantes". En 2006, André Boisclair appelait cela : "la feuille de route" et en 2008-2014, Pauline Marois appelait cela : "la gouvernance souverainiste". Mais c'est la même boulechite.

  • Archives de Vigile Répondre

    22 décembre 2015


    "Deuxièmement, croyez-vous sincèrement que si Jacques Parizeau n’avait pas tenu de référendum dans la première année de son premier mandat et qu’il avait passé 3 années à continuer de façonner le Québec à grands coups de projet porteur comme fut la caisse de dépôt, Hydro Québec, les caisses de retraite, tout en continuant à parler d’indépendance, à promouvoir le projet de société distincte, en écrivant une constitution et en la montrant au Québécois, qu’à la fin des ces 4 années de mandat il aurait perdu son référendum ? Non Monsieur, je pense que nous savons tous qu’il aurait gagné holà main et ce avec plus de 55 pour cent des voies, ce dont je suis totalement convaincue.."
    Jean Philippe Dagenaie
    Pour une raison qui m'échappe encore, il semble que les bonzes du PQ et de l'indépendance, n'ont pas encore compris l'importance de "faire" cette indépendance, dans le réel, ici et maintenant.
    Le PQ devra sortir de l'asemblée nationale, se connecter au terrain et y oeuvrer pour l'indépendance. Faire du porte à porte est un bon début mais insuffisant...

  • Marcel Haché Répondre

    22 décembre 2015

    Vous avez raison Jean Philippe Dagenais.
    En s’engageant à tenir un référendum dès la première année de son mandat, le P.Q. tournerait lui-même l’élection provinciale en élection référendaire. Le temps et la distance entre l’élection et la tenue du référendum seraient trop rapprochés pour que le West Island n’en profite pas pour défoncer cette stratégie de pacotilles, cette stratégie de loosers qui consiste à s’imaginer que l’électorat fait la différence entre une élection référendaire et la tenue d’un référendum.
    Dès lors que l’électorat n’en veut pas de référendum- et c’est une constance depuis 1995 qu’il n’en veut pas- ce serait facile à l’électorat de faire en sorte qu’il n’y en ait pas de référendum en battant tout simplement le P.Q. aux urnes.
    Le référendum est devenu un ballon crevé. Quand bien même les indépendantistes voudraient souffler dedans, si l’électorat ne veut pas souffler dedans, le ballon référendaire ne lèverait jamais pour cette raison tout à fait élémentaire que le P.Q. ne serait pas porté au Pouvoir.

  • Pierre Cloutier Répondre

    22 décembre 2015

    Message à Jean-Philippe Dagenais
    Encore et toujours la même scie musicale avec laquelle on endort les militants depuis au moins 2 générations. Vous êtes jeune et cela paraît, car il vous manque l'expérience et le sens de l'histoire.
    Où avez-vous acheté votre boule de cristal pour croire dur comme fer que si Parizeau avait fait si il aurait pu arriver cela? Chez Canadian Tire? En 1995, on s'est fait battre au fil d'arrivée par l'argent du fédéral. Quel âge aviez-vous? Est-ce que vous vous en souvenez? Avec des si on va à Paris et avec des ça on reste là.
    Moi je sais juste une chose de base : quand on veut un pays, on a le courage minimal de le mettre sur la table, le matin, le midi, le soir, la semaine et la fin de semaine. Et le peuple en dispose. C'est cela un projet de pays. C'est cela faire la défense et l'illustration du pays. On n'en n'a rien à cirer de la petite politique provinciale professionnelle de merde de tous les petits arrivistes, opportunistes et électoralistes qui ont squatté le PQ pendant des décennies et qui s'y incrustent encore comme des moules sur la coquille d'un navire. Quelle race détestable.
    Le problème avec les jeunes générations c'est qu'elles ont toujours la prétention de penser qu'elles vont faire mieux que la génération qui les a précédées.
    Si le PQ prend la direction que vous dites, j'en connais beaucoup qui vont décrocher. Ça suffit les conneries. On a assez donné.

  • Archives de Vigile Répondre

    22 décembre 2015

    Assez.
    On a perdu le premier référendum et on avait le vent dans les voiles.
    On s'est fait volé le deuxième, toujours avec le vent dans le dos.
    Et pi là, on nous propose un troisième... le vent dans la face !???
    Trouvez l'erreur.
    Pour que Québec devienne un pays, nous devons nous le donner dès maintenant.
    A. Ca commence par des victoires symboliques (et le PQ a un gros zéro dans ce domaine):
    1. Les députés refusent de porter allégeance à la reine lors de leur assermentation;
    2. Le Chef du PQ demande à tous les députés du PQ qui n'ont pas présenté leurs excuses à Yves Michaud, de le faire d'ici telle date.
    3. Le PQ lance avec succès (réseaux sociaux, journaux, réseaux terreains) ses consultations pour la création d'une assemblée constituante en parallèle de l'assemblée nationale.
    B. Les partis indépendantistes s'accordent pour identifier, se fédérer et s'organiser pour mettre en oeuvre des projets porteurs du type Trens-Québec;
    C. Une stratégie est lancée par les forces souverainistes pour noyauter avec succès le PLQ.
    D. Le PQ occupe le terrain à travers les citoyens, et ferme avec succès et de facon répétitive les valves de pétrole de Enbridge. Le PQ défend les citoyens devant la cours. Le PQ accepte la désobéissance civile pour des questions de survie comme celle du pétrole de l'Alberta sur notre territoire.
    En bref, Le PQ change de stratégie par rapport au PLQ, il démontre du courage, commence à ruer dans les brancards à l'extérieur de l'Assemblée nationale, et va chercher des victoires sur le terrain.
    Il n'y aura aucune victoire avec l'approche actuelle du PQ. Des hommes et des femmes sans vision, qui ont peur de leur ombre y siègent. Il est grand temps qu'ils s'inspirent de leurs ancêtres...
    "

  • Archives de Vigile Répondre

    22 décembre 2015

    Votre analyse fait totalement abstraction de ce que fera le côté sombre de la force. Quatre ans, c'est plus de temps qu'il ne leur en faut pour mettre le Québec à genoux, le nez dans son caca. Leurs journaleux vont s'assurer de faire savoir aux québécois que leur malheur est totalement dû aux maudits séparatistes.
    Imaginez, même notre Caisse de Dépôts et de Placements est passé du côté sombre de la force.