Québec, 28ième région française?
18 juin 2014
Oh boy! Cela va vous prendre plusieurs décennies pour convaincre les québécois hypercolonisés déjà par l'empire britanniqque. Bonne chance.
Pierre Cloutier
Chemin Roxham
Le fédéral doit rendre des comptes
Audition prévue le 6 mars 2023 devant un juge de paix de la Cour du Québec au palais de justice de Montréal — les explications
Affaire Michaud
Il est temps que justice soit faite
Québec c. Canada
Commentaire sur le jugement de la Cour d'appel du Québec
Hommage à mon ami Bernard Landry
18 juin 2014
Oh boy! Cela va vous prendre plusieurs décennies pour convaincre les québécois hypercolonisés déjà par l'empire britanniqque. Bonne chance.
Pierre Cloutier
16 juin 2014
Je ne vous connais pas, mais je me retiens à 2 mains pour vous exprimer tout mon dégout pour ce genre de raisonnement. Les chouverainistes ronronnants et mollassons de Bouchard à Duceppe ont tué ce parti et vous venez nous écoeurer avec la présence d'un premier chef indépendantiste qui est élu parce que les militants en ont marre de se faire baiser par des arrivistes et carriéristes qui se sont remplis les poches avec l'argent public des québécois pour péter de la broue à Ottawa.
Si le Québec n'est pas encore un pays, c'est de votre faute et celle de vos semblables. Dégagez, faites de l'air et foutez-nous la paix. Le pays, on va l'avoir malgré vous. On n'a pas besoin de vous et de vos semblables dans le mouvement indépendantiste. Vous nuisez plus que vous n'aidez. C'est sans doute voulu.
Pierre Cloutier
Pierre Cloutier
30 mai 2014
Attaque mesquine et gratuite indigne de Vigile.
Pierre Cloutier
29 mai 2014
Voici ce que j'ai écrit en mai 2013 concernant PKP et je n'ai pas changé d'avis. Voir ici :http://www.vigile.net/Pierre-Karl-Peladeau-a-la-tete-du
Je ne souhaite pas une longue carrière politique provinciale à PKP. Je lui souhaite tout simplement d'être un libérateur de peuple et de mettre le cap sur l'indépendance.
S'il démontre autant de caractère comme chef du PQ qu'il en démontre actuellement à la suite de son accident de vélo, nous chances d'accéder à l'indépendance sont excellentes.
PKP ce n'est pas une picouille provinciale. C'est un vrai pur sang indépendantiste.
Regardez-le bien aller. Vive l'indépendance de la patrie.
Pierre Cloutier
28 mai 2014
Et que penser des liens entre McGill et l'Arabie Saoudite? Demandez à Couillard, il va vous le dire...
Pierre Cloutier
28 mai 2014
La notion de "pays" ne fait pas partie du langage statutaire. Dire que le "pays" est déjà là sous nos pieds, c'est de la littérature. Le Québec, peut être un "pays" dans le coeur des gens et pour Gilles Vigneault, mais au point de vue juridique et statutaire, le Québec ce n'est pas un État. C'est une province de la fédération canadienne et seul le Canada est reconnu comme un État par la communauté internationale.
La reconnaissance par la communauté internationale du Québec comme un État est une question politique. Cette reconnaissance peut être reconnue à la suite d'une déclaration d'indépendance adoptée par une autorité compétente et légitime mais il est préférable qu'elle soit précédée d'une manifestation d'une volonté populaire qui soit non équivoque pour la communauté internationale et qui laisse raisonnablement croire à cette communauté qu'elle émane d'un vaste consensus de la population vivant sur le territoire concerné.
Pour que cela se produise, il faut d'abord faire une proposition d'indépendance nationale à cette population lors d'une élection et si cette proposition reçoit l'assentiment d'une majorité des voix et des sièges, le parti politique qui a fait cette proposition peut alors légitimement faire une déclaration d'indépendance et rechercher la reconnaissance internationale. Si la double majorité - des sièges et des voix - n'est pas acquise, il est préférable alors de rechercher la majorité des voix lors d'une consultation populaire pour faire en sorte que la communauté internationale ait l'assurance que la déclaration d'indépendance est appuyée par la majorité de la population.
Je ne crois pas cependant que la bonne gouvernance de la province de Québec puisse parvenir à cet objectif. Il n'y pas de lien entre la gouvernance de la province de Québec et la déclaration d'indépendance. Autrement dit, ce n'est pas en faisant la promotion et la défense des intérêts du Québec à l'intérieur de la confédération canadienne qu'on va y arriver. C'est en mettant une proposition d'indépendance sur la table et rechercher l'appui de la population pour faire une déclaration d'indépendance et obtenir la reconnaissance internationale.
28 mai 2014
Quoi faire après l'élection du 7 avril 2014? Question simple, réponse simple : Préparer et présenter au peuple québécois une proposition d'indépendance nationale lors de la prochaine élection et réaliser son accession de manière pacifique et démocratique.
Le contenu de la proposition est à déterminer, mais doit mettre l'accent sur l'économie et la protection de l'État envers ses citoyens. Le Québec a surtout besoin d'un programme d'ÉTAT, une loi fondamentale transitoire qui va sécuriser les québécois et assurer le changement de régime en douceur.
Pierre Cloutier
23 mai 2014
La première chose à faire, psychologiquement, Monsieur Nantel, c'est de mettre 2 mots (maux) aux poubelles, deux vielles affaires qui trainent dans le décor politicien depuis trop longtemps : souveraineté et référendum.
Article 1 du programme du PQ : Le Parti Québécois a comme priorité de préparer et de présenter une proposition d'indépendance nationale au peuple québécois lors de la prochaine élection et d'en réaliser l'accession de manière pacifique et démocratique.
Explications :
1 - "Souveraineté" est un terme technique qui est ambigu et prête à confusion. Même la province de Québec est souveraine dans ses champs de compétence.
2 - Ce terme a été utilisé à profusion par des petits politiciens professionnels provinciaux qui ont pris le contrôle du PQ et du Bloc pour calmer leur base militante tout en faisant tout pour protéger leur temps de glace sur la patinoire électorale provinciale et fédérale.
3 - Est-ce que le 4 juillet de chaque année, les Américains fêtent la souveraineté des États-Unis ou leur indépendance? Independance Day, cela va dit-il quelque chose?
4 - Est-ce que le Scottish National Party réclame la souveraineté de l'Écosse ou son indépendance? Leur livre blanc s'appelle : White Paper on Independance.
Quant au mot référendum
5 - Ce mot cause vraiment un traumatisme dans la population québécoise et qu'on le veuille ou non a une connotation émotive négative. On l'a vu lors des dernières élections.
6 - Un pays devient indépendant lorsqu'il fait une déclaration d'indépendance et est reconnu par les pays membres de l'ONU.
7 - La reconnaissance par les pays membres de l'ONU de l'indépendance d'une nation est une question essentiellement politique et cette reconnaissance peut varier selon les situations propres à cette nation. On l'a vu dans le cas du Kosovo, par exemple. Il y a des pays qui ont accédé à leur indépendance sans savoir tenu de référendum au préalable.
8 - L'expression d'une volonté populaire peut se faire de diverses manières dépendant des circonstances, même s'il est préférable que cette expression soit manifeste à la suite d'une consultation populaire.
9 - On n'a aucun avantage à préciser maintenant qu'il y aura un référendum. Notre seule obligation morale et politique est de promettre solennellement que l'accession à l'indépendance se fera de manière pacifique et démocratique. Point final.
Notre combat c'est celui de l'indépendance de la patrie. Et pour ce faire, il faut d'abord changer de mentalité et passer d'une stratégie défensive de "chouveraineté mollassonne et ronronnante" en stratégie offensive d'indépendance de la patrie.
Souveraineté et référendum ne font plus partie de mon vocabulaire sauf pour identifier les tenants de ce vocabulaire qui nous ont fait jusqu'à maintenant le plus grand tort.
Vous allez peut-être me dire que c'est un détail. Moi je vous dis que non. C'est une question d'attitude psychologique, de mentalité, d'approche et c'est plus important que l'on pense. Bourgault et Lévesque c'était deux mondes différends.
Pierre Cloutier
22 mai 2014
L'indépendance n'est pas à gauche ni à droite mais en avant comme se plaît à le répéter l'ex-premier ministre Bernard Landry.
Le rôle de PKP s'il devient chef du PQ sera d'amener le peuple québécois à l'indépendance. Pas de s'incruster comme premier ministre de la province de Québec. C'est pourquoi les critiques le désignant comme un homme de droite me laisse complètement indifférent. Au contraire, je ne vois pas comment on peut faire l'indépendance sans la participation active des créateurs, des entrepreneurs et des gens d'affaires.
Commençons par avoir le courage minimal de faire une proposition d'indépendance au peuple québécois lors de la prochaine élection et le reste suivra.
22 mai 2014
Il y a 2 mots (maux) que l'on doit mettre impérativement aux poubelles si on veut faire avancer moindrement la cause nationale et sortir de notre torpeur : "souveraineté et référendum".
L'article 1 du programme du Parti Québécois devrait se lire ainsi : "Le Parti Québécois a comme priorité de préparer et de présenter une proposition d'indépendance nationale au peuple québécois lors de la prochaine élection et d'en réaliser l'accession de manière pacifique et démocratique".
Essayons-le juste pour voir. Le reste c'est juste du bla bla.
Pierre Cloutier
21 mai 2014
J'ai dénoncé le PQBoisclair et le PQMarois autant que j'ai pu ici même sur Vigile et je me suis fait traiter de tous les noms d'oiseaux. Pourtant, j'avais raison : le PQ n'est allé nulle part avec ces gens-là pas plus que le Bloc avec Duceppe. En mettant leur égo avant le parti et le parti avant la cause, ils ont presque tué notre rêve.
Je leur en veux terriblement. Heureusement, il nous reste un espoir en PKP qui semble décidé à mettre le cap sur l'indépendance.....après sa réhabilitation.
Je vais tout faire pour l'aider.
Vive l'indépendance de la patrie et fuck le reste.
Pierre Cloutier
18 mai 2014
Il s'agit bien sûr d'un geste de rupture qui est contraire à l'article 41 de la Loi constitutionnelle du Canada de 1982 :
41. Toute modification de la Constitution du Canada portant sur les questions suivantes se fait par proclamation du gouverneur général sous le grand sceau du Canada, autorisée par des résolutions du Sénat, de la Chambre des communes et de l’assemblée législative de chaque province :
a) la charge de Reine, celle de gouverneur général et celle de lieutenant-gouverneur;
Cela prendrait une dose de courage de la part des leaders péquistes, ce qu'ils n'ont pas eu jusqu'à maintenant.
Est-ce que les Québécois seraient d'accord avec une telle approche au point d'élire le parti qui la présenterait?
Ce serait merveilleux. Mais ce n'est pas parce que les québécois en général sont pour l'abolition du poste de Lieutenant-général qu'ils accepteraient nécessairement de poser un geste de rupture envers le Canada.
Pourquoi ne pas dorer la pilule et proposer comme plate-forme électorale un projet de loi fondamentale de nature transitoire et comportant à la fois des droits individuels et collectifs concrets et alléchants et comportant aussi des clauses de rupture sur lesquelles il y aurait référendum?
Pierre Cloutier