Aux amateurs de "vraie confédération canadienne"...
De toute manière, le Québec n'a rien à gagner d'une confédération avec un État qui aurait trois fois son poids
Il y a quelque chose d’étrange dans le débat actuel sur la place de la religion dans la société québécoise
Mais jusqu'où ce parti ira-t-il pour faire croire qu'il veut faire ce qu'il ne veut plus faire ?
Le 60ème anniversaire du drapeau fleurdelysé commémoré à Paris, au bar « l’Envol Québécois », rue Lacépède
Devant l’Histoire et ses anniversaires, il ne faut faire aucun complexe
Les médias sont l’un des résultats de cette désacralisation du paysage
(commentaire) Dénoncer la malhonnêteté anti-démocratique des fédéraux ?
Comment accepter le principe d’une armée qui fonctionne en français alors que le Canada n’accepte même pas que le Québec fonctionne en français?
Dites-nous, M. Samson, si P. Marois est coupable de chouennage, sont coupables de quoi les mercenaires, y compris vous-même, qui battent du tambour sans relâcher depuis ce temps?
Chouenner est un vieux mot de Charlevoix qui signifie parler pour rien, faire du verbiage. Mme Marois veut faire chouenner tout le Québec.
L'éditeur et M. Philpot tiennent à féliciter Bernard Desgagné pour avoir déposé une plainte comportant une excellente documentation
Lettre ouverte aux médias - Réforme du mode de scrutin
Il est en effet impossible que les trois partis représentés en chambre aient des intérêts convergents sur cette question, politiquement très sensible puisque les intérêts des uns vont systématiquement à l’encontre des intérêts des autres.
En marge de l'article de Louis Bernard
Ce qu'il y a au bout de ces gestes c'est de la déception et un sentiment d'impuissance accru, contribuant une fois de plus à la fatigue politique nationale
Un peu plus de cohérence de la part des ténors indépendantistes ne serait pas superflue. Une gouvernance nationale n’est possible qu’à la condition que le Québec devienne un État indépendant de langue française.