À Bernard Frappier...

Tribune libre

En ce début d'année 2013, une noble pensée à Bernard Frappier sans qui il ne nous serait pas permis d'écrire, même en vain...
André Meloche


Laissez un commentaire



3 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    4 janvier 2013

    A mon avis, il conviendrait d'honorer la mémoire de Bernard Frappier en donnant son nom à l'autoroute 30 laquelle se nomme actuellement l'autoroute de l'acier mais qui n'a plus rien de bien métalique depuis l'affaiblissement des chantiers navals de Sorel. De plus, en créant VIGILE.Net, Bernars Frappier (qui, je crois, demeurait à Beauharnois sur le nouveau tronçon de l'A30) n'a-t-il pas ouvert la voie à la liberté de la presse et pavé le chemin qui nous mènera à l'indépendance du Québec? Bien entendu, le nom de Bernard Frappier n'est pas très connu des Québécois mais le nom de "autoroute de l'Acier" non plus. En nommant la A30 "Autoroute Bernard-Frappier", les Québécois auront l'occasion de découvrir à la fois la voie à suivre et ce qu'est la liberté de la parole.

  • Marcel Haché Répondre

    3 janvier 2013


    Une pensée pour Bernard Frappier. Un air de musique. Un jour, une rue pour lui. Certainement un Jour.
    S’il était parmi nous, il sourirait. Une rue ? Lui, c’était la rue, pas une rue, ni la sienne, ni la tienne, ou la mienne non plus, qui n’a jamais dépassé le 3966.
    Mais là ou il est, Bernard n’a plus voix au chapitre. Je persiste. Comme il était modeste, un petit bout de rue quelque part sur l’île de Montréal serait bien suffisant pour lui rendre justice. Ce serait bien qu’un de ces jours auxquels il a tant rêvé, ce serait bien que la continuité à l’ouest du Boul. René Lévesque soit enfin rebaptisé à nos couleurs et à son nom.
    Tout l’ancien boul. Dorchester témoignerait dorénavant pour Nous. Une boucle, ô combien magistrale… serait bouclée.


  • Serge Charbonneau Répondre

    2 janvier 2013

    Je partage totalement votre opinion, M. Meloche.
    Bernard Frappier accomplissait dans l'ombre un travail colossal.
    Une assiduité digne d'un moine.
    Un dévouement total pour nous permettre de nous exprimer.
    Il n'est pas facile à remplacer.
    Bravo à l'équipe qui a pris la relève, entre autres, bravo à Richard Le Hir.
    Serge Charbonneau
    Québec