La vidéo tronquée montrant un jeune pro-Trump face à un Amérindien lors d’une manifestation à Washington s’est avérée un exemple ahurissant de fake news. Les médias ont affublé le jeune de 15 ans des pires épithètes, mais ont présenté l’Amérindien comme un héros. Or, la vidéo complète a prouvé que l’adolescent n’a été ni irrespectueux, ni moqueur, ni violent. Il a plutôt résisté à la provocation avec un sang-froid exemplaire.
Haine
Que les propagandistes anti-Trump usent de mauvaise foi et de subterfuges pour justifier leur haine viscérale et obsessive du président américain est maintenant chose usuelle. Ce qui est toutefois pathétique dans ce énième détournement de vérité, c’est cet acharnement de la gauche à associer la droite à la violence et au racisme, voire au nazisme.
Pourtant, c’est la gauche démocrate qui, historiquement, était favorable à l’esclavage et à la ségrégation. C’est un démocrate qui a fondé le Ku Klux Klan. Aujourd’hui, ce sont les mouvements gauchistes comme Antifa qui usent à répétition de violence tant verbale que physique. Et c’est la gauche qui pratique allègrement le terrorisme intellectuel pour assassiner la liberté d’expression et censurer les idées hérétiques.
Quant au parallèle avec le nazisme, c’est oublier qu’il désigne l’idéologie du Parti National-socialiste. Oui, socialiste ! Hitler défendait d’ailleurs l’idée d’un État-providence et de syndicats puissants pour éradiquer le capitalisme. Et s’il vivait encore, c’est de la gauche qu’il se revendiquerait. Idem pour Mussolini dont la devise était « Tout pour l’État, tout par l’État, rien en dehors de l’État ».
Projection
Les dérives sanglantes de l’idéologie collectiviste sont bien connues. Curieusement, la gauche ne voit la violence que chez la droite. Elle lui attribue des comportements et des sentiments qui lui sont propres. Freud aurait affirmé qu’il s’agit de l’œuvre de cerveaux perturbés faisant de la projection pour se déculpabiliser et faire diversion. Et Freud aurait certainement eu raison !