La reconnaissance hâtive des diplômes étrangers, surtout ceux du tiers-monde, ne doit pas aller de soi. Il y a trop d'irrégularités, de documents douteux, de faux diplômes, de diplômes falsifiés, trop de facilité à en obtenir un frauduleusement, même par internet, moyennant quelques $$$. Rien pour inspirer la confiance.
Il y a de la pression de la part des employeurs pour faire accepter les diplômes étrangers sans trop de vérifications, soi-disant dans le but de réduire la pénurie de main-d'oeuvre dans certains domaines, mais c'est une fausse solution qui risque de nous coûter cher.
Si vous me présentez un arracheur de dents de phacochères qui en fait des colliers pour les membres de sa tribu, venu du fin fond de la brousse africaine du Kénya pour me refaire une couronne au cabinet de dentiste, je vais laisser passer mon tour. Peu importe le prétendu diplôme qu'il arborera, ou comment il a pu l'obtenir, rien au monde ne saurait me convaincre.
De plus, un diplôme n'est jamais garanti de correspondre à nos valeurs. Le cas le plus patent est le scandale de l'école Bedford (et autres écoles) de Montréal où une clique d'enseignants musulmans dominants prosélytes ont abusé de leur position pour mésenseigner sciemment selon leurs croyances islamiques obscurantistes et leur mentalité rétrograde et inégalitaire.
À lire: La mentalité islamique, tout aussi condamnable que la religion islamique
Si un immigré détenteur de diplôme quelconque est soumis à une doctrine, religion ou idéologie contraire à notre système de valeurs, il devient alors déconseillé, voire même dangereux de lui permettre d'accéder à cette fonction. Il doit en être écarté de manière préventive. Aucune confiance ne pourra jamais lui être accordée, et encore moins d'attestation d'équivalence.
Par exemple, un avocat étranger d'origine musulmane établi ici défendra des islamistes, des imams vociféreurs possédés pour contourner nos règles et nos lois, ce qui ne sera jamais une bonne chose. On ne voit que trop souvent des criminels multiethniques défendus en cour par d'autres multiethniques qui se liguent en bloc contre notre système judiciaire pour profiter de toutes les échappatoires. Il est alors facile pour les coupables de s’en tirer avec des sentences bonbons en alléguant du racisme face aux racisés, de l'islamophobie face aux intégristes religieux.
À lire: Les torts et travers de l'islam en 40 reproches fondés
Autre exemple: dans l'affaire du scandale islamiste des clans d'enseignants dominants musulmans à l'école Bedford, ces individus avaient beau posséder un brevet en bonne et due forme, ils ne s'en sont servis que pour répandre l'islam coercitif. Une mentalité défectueuse ne se corrige pas lorsqu'on est endoctriné à ce point depuis l'enfance.
Si je monte dans un avion Airbus A380-800 de 560 tonnes avec 550 passagers, et qu'on annonce que le pilote sera une recrue pakistanaise ou du Bangla Desh, je vais débarquer de l'avion et m'enfuir à toutes jambes.
Tout ne s'équivaut pas, loin de là. Il est rare qu'une formation d'ailleurs au tiers-monde soit de même niveau que les formations occidentales. Et si cette même recrue se croit apte à piloter ne serait-ce qu'un vieux coucou brinquebalant au-dessus de Bombay, qu'il le fasse, mais sans moi dedans.
Il y a très peu de chances qu'un diplôme obtenu dans le tiers-monde éminemment corruptible soit fiable et authentique, vraiment très peu.
Pour donner une idée des pays douteux qu'il est préférable d'écarter de l'immigration pour toutes les raisons précédentes, consultez ici la liste des pays classés par ordre de corruption: Priorité: écarter les immigrants issus des pays les plus corrompus
Devant un tel état de choses, il devient impérieux que tous les immigrés étrangers soient tenus de reprendre leur formation complète selon nos normes strictes, à leurs frais bien entendu. Cela aidera à séparer le bon grain de l'ivraie et à sécuriser le marché du travail.
Et ceux qui échoueront seront renvoyés chez eux. Des millions d'autres pourront toujours les remplacer avantageusement si besoin est.
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1 commentaire
Réjean Labrie Répondre
29 avril 2025Le journaliste sérieux Loïc Tassé écrit dans le même sens que ce que j'avance dans mon article.
Je le cite:
Le Canada pourrait recevoir cette année un nombre extrêmement élevé de réfugiés et d’immigrants qui, plutôt que de se diriger vers les États-Unis, pourraient tenter de s’établir ici.
Rappelons que nous ne sommes pas obligés de recevoir des réfugiés. Nos gouvernements pourraient dénoncer le traité par lequel ils acceptent de les accueillir.
Périodiquement, des voix s’élèvent pour réclamer une plus grande reconnaissance des diplômes étrangers.
À première vue, cette demande paraît juste.
Mais elle ne l’est pas, tout au moins dans le domaine des diplômes universitaires.
En d’autres termes, nos universités sont parmi les 2% meilleures au monde. Par-conséquent, il est très difficile pour la majorité des diplômés étrangers de compétitionner avec nos diplômés.
Pire, de nombreuses universités étrangères paient mal leurs professeurs. Il est donc souvent facile pour les étudiants de corrompre ces derniers et ainsi de décrocher ainsi des diplômes de complaisance.
Rien de simple
C’est que rien n’est simple au royaume des équivalences de diplômes.
Mais avec les années, les universités et les employeurs ont fini par mettre au point des pratiques d’équivalence qui le plus souvent reflètent bien la valeur des diplômes étrangers.
Cette situation peut être frustrante pour certains immigrants qui ne veulent pas accepter que leur diplôme universitaire étranger ne vaut finalement pas grand-chose.
Cependant, augmenter la reconnaissance de diplômes étrangers au-delà de ce qui existe déjà reviendrait à dévaloriser les diplômes québécois et à désavantager indûment ceux qui ont fait l’effort de se faire former ici.
(fin de la citation de l'article de Loïc Tassé)
Source : L’immigration et la foire des diplômes étrangers plus que douteux
Tout est corrompu dans le tiers-monde.
À lire: Priorité: écarter les immigrants issus des pays les plus corrompus