Les indiens: la réconciliation, pour quoi faire?

Le nouveau tabou: interdiction formelle de critiquer les indiens

Le politiquement correct appliqué aux autochtones: 11 situations

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Tribune libre

Les autochtones pris en tant que sujet d'observation sont actuellement les chouchous de la bien-pensance vertueuse fortement biaisée en leur faveur. Tout le poids des faits, toute leur réalité indigente se voient déformés, amenuisés ou tout simplement camouflés pour les faire bien paraître.



On a même déniché un mot pour s'assurer que personne n'ose leur adresser le moindre reproche: réconciliation. Et on s'aperçoit que cette vaste opération de « réconciliation » savamment orchestrée sert d’abord et avant tout à museler toute critique justifiée envers les indiens, un peu comme les islamistes s'y prennent pour museler toute critique justifiée de l’islam en brandissant le mot qui fait taire: « islamophobie ». L'usage répété de ces 2 mots devient une forme de censure, une entrave à la liberté d'opinion et celle de l'exprimer.



Voici donc le nouveau tabou: interdiction formelle de critiquer les indiens.


En effet, dès qu'il est question des indiens dans les médias, les reportages, il faut absolument qu'ils soient présentés positivement pour satisfaire aux règles préétablies du politiquement correct qui dans leur cas s'appliquent comme suit:


1- Les indiens se présentent eux-mêmes ou sont toujours présentés par les médias de leur bord comme de pauvres lésés, des victimes impuissantes, des exploités, des maltraités, et rien de ce qui leur arrive n'est jamais de leur faute. Ils n'ont absolument rien à se reprocher. Ils n'ont jamais rien fait pour en arriver là où ils en sont.


2- On leur doit entière réparation, demandes renouvelées de pardon, compensations financières substantielles et récurrentes, hommages et excuses officielles sans fin. L'homme blanc doit être systématiquement culpabilisé. C'est là la recette parfaite pour lui soutirer toutes sortes d'avantages et de privilèges indus.


3- Les torts allégués qui ont pu être faits à leurs ancêtres à une autre époque deviennent l'héritage des Blancs contemporains; nous en sommes les nouveaux coupables et responsables des maux du passé par transmission automatique jusqu'à la fin des temps.


4- Tout le marasme actuel dans lequel ils vivent enlisés n'est dû en aucune façon à eux-mêmes. C'est toujours la faute des autres, aux conditions extérieures. On tente de faire accroire que si nous n'étions pas là pour s'en prendre à eux si méchamment et avec acharnement, ils feraient fonctionner une société aussi moderne, dynamique et évoluée que la nôtre.


5- Il est de bon ton pour la bien-pensance d'affirmer que les indigènes sont détenteurs d'une sagesse immémoriale dont on aurait intérêt à tirer parti. Les Chrétiens ont la Bible, les indiens se targuent de posséder le savoir des shamans et des sorciers qui ont réponse à tout. On perpétue le mythe du Bon Sauvage, cet être soi-disant non corrompu par la civilisation, sans malice et en parfait accord avec la nature, par opposition à l'homme blanc moderne, ce rouleau-compresseur fourbe, conquérant et sans pitié. On va même jusqu'à présenter le Bon Sauvage comme le premier environnementaliste.


À lire: Le mythe du Bon Sauvage


6- On ne doit jamais leur reprocher quoi que ce soit ouvertement, ni donner l’impression de vouloir les critiquer. Même les autorités sont terrorisées rien à l'idée d'intervenir dans leurs lucratives activités de trafic d'armes, de drogue, de passeurs de migrants, de casinos louches dans les réserves frontalières. Nul n'ose agir face aux bandes d'itinérants autochtones qui errent dans les villes qui devraient être confinés à leur réserve. Les deux gouvernements détournent le regard. Et les indiens continuent de plus belle...


7- Lorsque des crimes sont commis par des autochtones, les médias feront tout pour taire les origines des coupables. Délibérément, on ne nommera pas les noms à consonnance indienne, on ne montrera pas de photo des criminels, on ne dira pas que ce sont des autochtones, ni si ce sont des récidivistes (généralement oui), ou le nom de leur tribu ou réserve.


À lire : Des actes de sauvagerie qui ne sont jamais commis par des sauvages


8- Il faut désormais exhiber les indiens partout dans les médias. Un talk-show ouvertement diversitaire comme On va se le dire en invite tout le temps. On en a même parachuté un au quiz scientifique Génial. Le réseau Global présente un reportage sur les indiens tous les soirs sans exception. La CBC et Radio-Canada ne sont pas loin derrière.


9- On ne peut plus faire le moindre reproche aux indiens, car cela risquerait de faire dérailler le spectacle à grand déploiement de la réconciliation nationale qu'il faut à tout prix réussir.


10- On accorde des postes élevés aux indiens, juste parce que ce sont des indiens, sans tenir compte des compétences requises, selon les principes wokes avec leur programme médiocrisant Équité, diversité, inclusion. On est même allé jusqu'à nommer une gouverneure-générale du Canada autochtone incapable d'apprendre un seul mot de français. C'est plus important de favoriser les indiens que de respecter le peuple fondateur francophone.


11- Si les indiens refusent de payer leur facture d'électricité à Hydro-Québec comme tous les citoyens, c'est à nous de se confondre en excuses, genou en terre.


Revenant au mythe du Bon Indien à la soi-disant sagesse immémoriale, il faut savoir que génétiquement parlant, la science nous apprend que 100% de toutes les espèces d'indiens des 3 Amériques descendent directement et uniquement des Mongols, et que les diverses tribus des 3 Amériques n'en sont que des ramifications. En quoi cela ferait-il des indiens une référence mondiale sur quoi que ce soit, des références de bonne conduite, des exemples à suivre? Je vois mal l'Occident dans son entier prendre pour modèle la vie sur les réserves ou s'inspirant des mœurs prévalentes dans les steppes de la Mongolie il y a 1000 ans...


À lire: Le mythe du Bon Sauvage



Personne n'est en chicane avec les indiens que je sache. Il n'y a aucun besoin de réconciliation, d'acte de contrition, de palabres à n'en plus finir, ni de gestes symboliques ou de cérémonies officielles. La hache de guerre est enterrée depuis longtemps. Il n'y a plus rien à racheter. Les indiens d'aujourd'hui ne sont plus que des Canadiens comme les autres. Ils n'ont droit à rien de plus que le citoyen moyen. Répétons-le: rien du tout de plus. Alors qu'ils paient leurs impôts et leurs taxes comme tout le monde. Et qu'ils cessent de se croire justifiés de recevoir toutes sortes de traitements de faveur, de privilèges, de compensations de toutes sortes, d'argent et d'avantages indus.


PHOTOS] 10 choses à savoir sur la fondation de Québec pour le 412e  anniversaire de la Ville | JDQCi-dessus: dessin de la main de Samuel de Champlain, glorieux fondateur de la ville de Québec


 


Par bonheur, la recherche scientifique nous aide à balayer les faux mythes perpétués par certains idéologues vendus.


À ce propos, lire: Les Québécois de souche n'ont pas de sang indien


La Découverte du Canada Impression dhistoire originale de 1967 jacques cartier, france, passage nord-ouest, roche percée, Québec, Saint-Laurent image 1


Malgré toutes les explications qui précèdent, soumis au politiquement correct de rigueur dans leur domaine, les médias se plient servilement à ces exigences de mésinformation au bénéfice d'une minorité piailleuse en mocassins et au tam-tam sonore. Bien puni serait le journaliste qui oserait présenter les choses sous leur vrai jour et contester ce totalitarisme inobjectif des idées reçues biaisées en faveur des indiens. Qui sera le premier à avoir ce courage?


Fichier:Québec-1608-Champlain-construisant-son-Habitation.jpg — Wikipédia


Répétons-le: cette vaste opération de « réconciliation » savamment orchestrée sert d’abord et avant tout à museler toute critique justifiée envers les indiens, un peu comme les islamistes s'y prennent pour museler toute critique justifiée de l’islam avec leur prétendue « islamophobie ». Mais ne soyons pas dupes de ce stratagème de bas étage. Si on a des choses à reprocher à l’un ou l’autre, qu'on le fasse. Les journalistes devraient être les premiers à dénoncer cette loi du silence à laquelle trop d'entre eux semblent prêts à se soumettre.


À lire: Faut-il nier les statistiques criminelles lorsqu'il s'agit d'autochtones?


Walay magamit nga pagulagway sa hulagway.


En Australie, la population l'a eu ce courage et cette détermination en s'opposant majoritairement et catégoriquement par voie de référendum à accorder plus de pouvoirs politiques aux aborigènes. Faisons pareillement ici. C'est notre pays, cela n'a jamais vraiment été le leur, comme on l'a démontré clairement ici:


Le Québec n'a jamais appartenu aux Indiens


Les voyages de Jacques Cartier - À la découverte du Canada | MAX - La Boite  à Histoire de l'École des Loisirs


Tout le monde ne demande pas mieux que de bien s'entendre avec les indiens, mais c'est à eux qu'il revient de faire ce qu'il faut pour être appréciés.


Et si le terme "réconciliation" ne sert qu'à faire taire toute critique argumentée du monde indien, alors mieux vaudra laisser tomber cette monumentale farce travestie en jeu des apparences.



Le choc des idées doit être mis au service de la vérité afin de faire jaillir lumière et clarté dans la vision des choses et des situations. C'est pourquoi il faut se débarrasser du joug du politiquement correct, de la bien-pensance, de la pensée unique imposée, de toute forme de censure qui brime la liberté d'expression. Esprit pensant, esprit libre.


À lire: Quelles sont les mauvaises idéologies à combattre en 2024?



Note: cliquez sur les termes surlignés en bleu pour approfondir davantage votre réflexion sur le sujet


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Réjean Labrie880 articles

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Réjean Labrie est natif de Québec. Il a fait une partie de sa carrière dans la fonction publique provinciale.

Il tire la plus grande fierté d’être un enraciné de la 11ème génération en sol natal. Son élan nationaliste se porte sur la valorisation de la culture québécoise et sur la préservation de l'identité culturelle québécoise et de sa démographie historique.

Il se considère comme un simple citoyen libre-penseur sans ligne de parti à suivre ni carcan idéologique dont il se méfie comme des beaux parleurs de la bien-pensance officielle.

L'auteur se donne pour mission de pourfendre les tenants de la pensée unique, du politiquement correct, de la bien-pensance vertueuse, toutes ces petites cliques élitistes qui méprisent le bon peuple.

Près de 900 articles publiés en ligne ont été lus un million et demi de fois par tous ceux qui ont voulu partager une réflexion s'étendant sur une période dépassant 15 ans. À preuve que l'intérêt pour une identité nationale québécoise affirmée ne se dément pas, quoi qu'on en dise.





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1 commentaire

  • François Champoux Répondre

    9 novembre 2024

    Bonjour M. Labrie,


    La jalousie est une de nos pires lacunes humaines: bassement animale.


    François Champoux,Trois-Rivières