Un pays pour chaque nation, une seule nation par pays

La constitution québécoise devrait inclure le rejet officiel du multiculturalisme

Affirmons l'exclusivité de notre appartenance foncière

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Tribune libre

La constitution québécoise devrait inclure le rejet officiel et catégorique du multiculturalisme canadien, que le gouvernement fédéral cherche à nous imposer de force, et ce, malgré le fait que la grande majorité du peuple québécois n'en veuille pas.



Le résultat net et destructeur de l'application de l'idéologie muliculturaliste dans une nation de petite dimension est l'amoindrissement graduel de la nation fondatrice, de son identité collective, de sa culture propre, provoquant sa minorisation puis sa disparition.



Chaque groupe ethnique qui s'y installe et s'y répand en tant qu'entité s'enferme dans son communautarisme, l'une des nombreuses plaies de l'immigration de masse de type tiersmondiste. On ne condamnera jamais assez ce mode de vie établi volontairement en marge de la société, qui permet à des groupes d'étrangers de continuer à vivre exactement comme chez eux au lieu de s'adapter et de s'intégrer comme c'est leur devoir et leur engagement.



Dans les faits, le communautarisme permet à ces étrangers de continuer à vivre dans leur langue, leur religion revendicatrice inappropriée et souvent diamétralement opposée à nos valeurs, de se vêtir à l'ethnique, de manger à l'ethnique, de rester entre eux refermés sur eux-mêmes en minimisant autant que possible les contacts avec les natifs, d'avoir des antennes satellites orientées vers leur pays, de ne vivre que dans leur culture et aucunement dans la nôtre, de ne rien changer à leur mentalité régrograde qu'ils cherchent à répandre comme un virus maléfique, d'élever leurs enfants en non-Québécois.



Que le gouvernement québécois se fasse confirmer par référendum si nécessaire que la population québécoise de souche ne veut rien savoir de l'idéologie pernicieuse du multiculturalisme et qu'il fasse enchâsser officiellement dans notre constitution ce rejet catégorique, au nom du peuple et de sa volonté qui doit avoir primauté en tout et partout.



En démocratie, c'est la majorité qui doit avoir le dernier mot, dans ce cas-ci, celle du peuple fondateur.



Les minorités de tout acabit qui nous font l'affront de contester en cour les lois voulues et approuvées par le peuple ne méritent tout simplement pas de vivre ici. Un système efficace de renvoi au pays d'origine ou de déplacement ailleurs au Canada doit être mis en place pour s'en débarrasser pour de bon.



Un pays pour chaque nation, une seule nation par pays, c'est simple comme bonjour.



Note: l'Image d'en-tête prise par l'auteur représente l'Hôtel du Parlement du Québec... en blocs Lego!


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Réjean Labrie880 articles

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Réjean Labrie est natif de Québec. Il a fait une partie de sa carrière dans la fonction publique provinciale.

Il tire la plus grande fierté d’être un enraciné de la 11ème génération en sol natal. Son élan nationaliste se porte sur la valorisation de la culture québécoise et sur la préservation de l'identité culturelle québécoise et de sa démographie historique.

Il se considère comme un simple citoyen libre-penseur sans ligne de parti à suivre ni carcan idéologique dont il se méfie comme des beaux parleurs de la bien-pensance officielle.

L'auteur se donne pour mission de pourfendre les tenants de la pensée unique, du politiquement correct, de la bien-pensance vertueuse, toutes ces petites cliques élitistes qui méprisent le bon peuple.

Près de 900 articles publiés en ligne ont été lus un million et demi de fois par tous ceux qui ont voulu partager une réflexion s'étendant sur une période dépassant 15 ans. À preuve que l'intérêt pour une identité nationale québécoise affirmée ne se dément pas, quoi qu'on en dise.





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