Affaire «Archambault/McCartney»

La dérive médiatique de désinformation a toujours cours à la Presse canadienne

Québec 2008 - l'art de détourner le sens la Fête

MM les députés du PQ, Curzi, Lemay et Turp, ainsi que moi, Luc Archambault, cité par les médias,
NOUS N’AVONS JAMAIS FAIT « DE PÉTITION S’INSURGEANT CONTRE LA VENUE DE Sir PAUL »
comme le prétend encore la Presse canadienne aujourd'hui 2008 08 04, tel que repris par Le Soleil, le JdQ-Journal de Québec
et Le Devoir d'aujourd'hui dans trois articles consacrés à Madame Marois qui « passe l'éponge » sur la « controverse » McCartney.
Quelle controverse? celle construite faussement et artificiellement par les médias... ou plutôt sans controverse... le « Mot de bienvenue » d'origine, pris à l'exact contraire de son contenu? Contrairement à ce que l'on le prétend encore aujourd'hui dans les médias du Québec, il n'a jamais été question de s'insurger, voire s'opposer à la venue de Sir Paul dans ce texte.
www.luc-archambault.qc.ca
Voir aussi dans le Forum l'édifiant retour de vague engendré par la fausse nouvelle ayant provoqué une dérive médiatique qui a toujours cours aujourd'hui, ± 20 jours plus tard.
Forum Luc A. Paul McCartney


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6 commentaires

  • Luc Archambault Répondre

    5 août 2012

    Mot de bienvenue à Sir Paul
    Le Conseil de presse donne raison à Luc Archambault
    L'information publiée par les mis-en-cause est « inexacte et exagérée » selon le Conseil de presse en dernière instance.
    Depuis, on en entend plus parler... M. Curzi n'est plus constamment blâmé.

  • Luc Archambault Répondre

    13 août 2008

    @ Gébé Tremblay
    J’ai dit : Madame Marois a raison, les députés du PQ doivent désormais l’informer avant d’endosser un texte, ou prendre position. Si cela avait été déjà une règle, elle aurait été informé de la teneur du message transmis à Sir Paul et ce, directement, et non pas par le truchement de tierces personnes via les médias ou Internet.(Luc Archambault)
    Vous dites : Il est évident que Messieurs Curzi, Turp et autres ne bénéficiaient toujours pas, en 2008, d’une telle logistique de communication au sein du PQ qui leur aurait permis de faire part de votre initiative à Mme Marois, instantanément.
    De son côté, Mme Marois qui n’a rien fait, depuis qu’elle est en poste, pour corriger ce terrible handicap, n’avait non-plus aucun moyen de prendre connaissance de votre communiqué avant de se prononcer comme elle l’a fait en se désistant par ignorance et présomption. Pourtant, le courriel est bien québécois !
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    Je réponds : Je ne sais pas si MM Curzi, Lemay et Turp ont informé ou non leur cheffe, Madame Marois. Elle était en vacances. Personne n’a prévu que ce mot de bienvenue serait la proie d’une telle dérive médiatique qui en a fait en quelques heures, contre toute attente, un mouvement d’opposition à la venue de Sir Paul. À la faveur d’Internet, tout s’est passé très vite entre le 16 juillet et le 17 juillet. Le 16, le lendemain de la transmission de mon texte aux médias, Stéphane Laporte publiait dans La Presse une chronique à l’intention des « opposants » à la venue de Sir Paul. Cela accréditait la thèse qu’un « mouvement d’opposition » était bel et bien actif. Il ne nommait cependant personne. Cependant le même jour, un article du Journal de Montréal, nommait pêle-mêle MM Pierre Falardeau, Normand Brathwaite, Pierre Curzi et un obscur artiste de Québec initiateur d’une pétition contre la venue de Sir Paul.
    L’amalgame est ici évident... en nommant Pierre Falardeau, extrémiste officiel de la presse fédéraliste, on pouvait s’attendre à ce qu’il s’oppose à la venue de Sir Paul... ( Or, à ce jour, je ne sais toujours pas s’il y était opposé ou pas ) M. Brathwaite a fait une déclaration relayée dans les médias affirmant ne jamais y avoir été opposé, et tançant ceux qui l’étaient, dont... nous... qui n’y avons jamais été opposé... Comme quoi, la communication déficiente dont je parle n’affligeait pas seulement le PQ... mais bien l’ensemble des ténors souverainistes... Dans ce contexte, madame Marois et le PQ, n’est pas à blâmer... De fait, l’heure n’est pas aux blâmes...
    Il importe d’abord de comprendre dans le détail ce qui s’est passé. Nous avons toutes et tous été emportés par une dérive médiatique sans précédent. Sans précédent parce que cette fois, elle a fait le tour du monde, en moins de 48 heures. 170 millions de personnes dans le monde de Londres à Beijing en passant par Paris, on été en contact avec la nouvelle qui parlait à tort d’un mouvement d’opposition.
    Pour répliquer, à temps, avant que la machine s’emballe, il aurait fallu beaucoup plus que de la communication. Oui, il y a eu récupération, mais pas que cela. Je travaille à temps perdu à colliger toutes les informations utiles à la documentation du phénomène afin d’être en mesure d’en tirer les leçons. Avant de distribuer les blâmes, si tant est que cela soit approprié, il faut d’abord analyser dans le détail, ce qui s’est réellement passé pour que nous arrivions là... à vue de nez il me semble que si vos observations ne sont pas à rejeter, elles ne me semblent pas en mesure d’expliquer toutes les causes qui ont provoqué cette dérive médiatique, démocratique et politique sans précédent. Il me semble important de faire un post-mortem rigoureux afin que plus jamais nous soyons à nouveau incapable de nous prémunir à temps contre de tels errements.
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    Vous dites : Le parti, seul, se réserve les initiatives, en vase clos.
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    Je réponds : Le PQ et sa direction bien sûr, doivent aussi se pencher sur la question et en tirer les leçons utiles. Madame Marois n’est à mon humble avis pas seulement la cheffe du PQ, elle est aussi la cheffe des souverainistes. À ce titre elle me semble devoir jouer un rôle central dans la coordination de toutes les forces en présence, notamment, celles qui oeuvrent comme vous et moi, en dehors du Parti Québécois. Beaucoup de travail reste à faire à tous égards. Le pire des moyens pour y parvenir me semble être, l’hostilité, la distribution des blâmes. La solidarité, la synergie, la communication, le partage, dans la rigueur et le respect me semblent être les meilleurs atouts.
    Au plaisir, Luc A.

  • Archives de Vigile Répondre

    5 août 2008

    Je suis l'auteur d'un article bien documenté sur ce qui est permis d'appeler: ''L'affaire Archambault.'' Je persiste et signe!
    Et n'ai rien à ajouter, tout a été dit!
    C'est la triste histoire de journalistes complètement inféodés à l'argent des machines de Gesca et Québécor, au service du fédéralisme centralisateur canadian.

  • Archives de Vigile Répondre

    4 août 2008

    Madame Marois a raison, les députés du PQ doivent désormais l’informer avant d’endosser un texte, ou
    prendre position. Si cela avait été déjà une règle, elle aurait été informé de la teneur du message transmis
    à Sir Paul et ce, directement, et non pas par le truchement de tierces personnes via les médias ou Internet.(Luc Archambault)

    Mais çà, M. Archambault, c'est du réchauffé et bien réchauffé.
    Je me souviens de ce genre de critiques stratégiques il y a 20 ans. Un tel avis aujourd'hui, comme si le PQ était une formation naissante, sans expérience, c'est ridicule.
    Il est évident que Messieurs Curzi, Turp et autres ne bénificiaient toujours pas, en 2008, d'une telle logistique de communication au sein du PQ qui leur aurait permis de faire part de votre innitiative à Mme Marois, instantanément.
    De son côté, Mme Marois qui n'a rien fait, depuis qu'elle est en poste, pour corriger ce terrible handicap, n'avait non-plus aucun moyen de prendre connaissance de votre communiqué avant de se prononcer comme elle l'a fait en se désistant par ignorance et présomption. Pourtant, le courriel est bien québécois !
    Or, l'organisation en communication de ce parti vieux de 40 ans est à ce point lamentable qu'un artiste-peintre-sculpteur en fera la démonstration éclatante, bien malgré lui, de par la récupération des médias fédéralistes dont cette même faiblesse du PQ nourrira à son tour elle-même le feu propagandiste en implorerant le pardon ainsi qu'une proposition d'amnésie nationale de cet artiste exceptionel qui aurait soufert d'une malheureuse crise d'innitiative patriotique !
    Le parti, seul, se réserve les innitiatives, en vase clos.
    En 2008, le PQ prit enfin la décision qu'il serait bon qu'une discussion précède toutes signatures de pétitions.
    La procédure sera établie après discussions entre les instances concernées qui seront consultées sur le moment propice aux débats concernant ces discussions sur la procédure à suivre.
    Un petit pas pour le PQ, mais un pas de géant pour la nation Québécoise ! Yeah !

  • Archives de Vigile Répondre

    4 août 2008

    Le premier Ministre Harper a tenu à souligner que la chanson Michelle a été composé par Sir Paul McCarney en souvenir de Michaëlle Jean, la première gouverneur du Canada...

  • Archives de Vigile Répondre

    4 août 2008

    Bonjours M.Archambault. Stephen Harper a pris part au 150e anniversaire de la Colombie-Britannique. M.Harper a affirmé que la création de la colonnie de la Colombie-Britannique en 1858 restera à jamais l'une des dates les plus importantes dans l'histoire du pays puisqu'elle marque la rencontre des quatre jeunes Beatles dans le vent à Liverpool. Quelques manifestants qui se trouvaient près de la scène ont conspué le premier ministre le traitant de "traitre" et critiquant ce qu'ils considèrent comme des liens trop étroits entre le Canada et les États-Unis. http://www.cyberpresse.ca/article/20080804/CPACTUALITES/80804187/1019/CPACTUALITES