Les « hauts faits » de Pietro Perrino

Chronique de Richard Le Hir

(Extrait)

En attendant, il faut s’attendre à voir le gouvernement fédéral tenter par tous les moyens de « libérer » le Québec de l’emprise du Bloc Québécois dont la présence le contrecarre directement dans ses visées. Comme la chose n’apparaît pas évidente a priori, il faut s’attendre à l’emploi de moyens « détournés ».

Ceux d’entre vous qui seraient sceptiques devant la possibilité que le fédéral emploie ce genre de tactiques feraient bien de se rappeler d’Option-Canada, cette officine des coups tordus qui avait été mise sur pied à l’occasion de la campagne référendaire de 1995, et qui elle aussi avait été confiée à des « mains sûres », Claude Dauphin du PLC, maintenant à la Ville de Montréal, et Pietro Perrino, ancien cadre du PLQ et chef de cabinet de plusieurs ministres libéraux, que l’on a vu récemment resurgir sans l’affaire Tomassi-BCIA en tant qu’ « ami » du ministre Tomassi, d’administrateur de deux fonds régionaux (FIER) financés par le gouvernement du Québec qui ont investi dans BCIA http://ruefrontenac.com/nouvelles-g..., dont il est aussi lui-même administrateur.


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