En introduction à la question posée ici-bas, il faut saisir pleinement les conséquences de destruction nationale et de dérive sociétale de la plupart des pays << démocratiques >> en Occident :
Qui croit aujourd’hui à cet énoncé de séparation des Pouvoirs (Législatif, Exécutif et Judiciaire)?
La séparation des pouvoirs législatif, exécutif, judiciaire est un principe fondamental des démocraties représentatives. Au contraire, les régimes despotiques et dictatoriaux pratiquent une concentration des pouvoirs. Ces pouvoirs sont influencés par des contre-pouvoirs (associatifs, syndicats professionnels, lobbies, presses, opinion publique, etc.). L'indépendance et la séparation de ces pouvoirs est un idéal délicat quand bien même la bonne volonté est à l'œuvre. Dans sa constitution les grandes lignes de la séparation des pouvoirs sont définies répartissant les fonctions ou missions de l'État, en confiant leur exercice exclusif à différents corps ou élus, spécifiant les règles de leurs indépendances, et les moyens de protection des pressions.
Le cas de la France : décadence, corruption institutionalisée, fragmentation sociale, endettement public abyssal, terrorisme récurrent, mercenariat politico-médiatique(1)…, est un exemple dont ces trois pouvoirs énoncés sont dilués et confabulés entre eux afin de mieux les contourner en bénéfice exclusif de la néo-aristocratie et ses fonctionnaires vassaux en alternance partisane au Pouvoir depuis la proclamation de la Vème République (1958-202?) :
Certaines instances consultatives d'état, plus ou moins indépendantes, par exemple en France le Conseil d’État, le médiateur de la République, le Défenseur des droits, la Cour des comptes ou l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee), ont aussi pour rôle de tempérer préventivement ou curativement, rechercher des solutions à des problèmes précis, donner de la hauteur aux dialogues entre parties, élaborer des quantifications, préparer des évolutions des règles. La séparation des pouvoirs ne concerne donc pas que l'État au sens strict, mais d'une manière générale tout organe chargé de trancher entre plusieurs parties, afin d'éviter les collusions et les conflits d'intérêts, et qui doit donc rechercher l'impartialité dans ses décisions.(2)
En effet, comme le souligne Guillaume Delaloy, dans le préambule de son livre, intitulé Le Pouvoir judiciaire :
La Justice a toujours occupé en France une place seconde au sein de l''État. Elle n''est pas reconnue comme un véritable « pouvoir », mais comme une simple « autorité ». Pourtant, elle bénéficie depuis quelques années d''une véritable réhabilitation d''ordre politique, favorisée par une demande sociale nouvelle et l''évolution des pratiques judiciaires. L''aboutissement logique de ce processus, devrait être une reconnaissance appropriée. Si diverses réformes récentes touchant à l''indépendance ou la responsabilité du juge tendent à y contribuer, seule une véritable consécration constitutionnelle permettrait de rendre à la Justice la place qu''elle mérite dans un État de droit.
Cet état et contexte d’une << Justice apprivoisée >> par le Pouvoir Politique est celle dont la néo-aristocratie mondialiste s’est arrogé afin de se doter des privilèges exclusifs ainsi qu’éviter d’être poursuivie et condamnée en rapport à ses actes criminels et antidémocratiques. C’est-à-dire, cette néo-aristocratie évoluant dans un système de démocratie << absolutiste >> conditionne un processus systémique d’impunité et d’enrichissement dont elle jouit depuis la fin de la 2ème Guerre Mondiale au détriment de la paupérisation constante de la classe moyenne, la vraie pourvoyeuse des ressources fiscales gouvernementales provenant des taxes et impôts qu’elle se fait dérober en toute impunité.
Autres exemples de << Justice apprivoisée >> sont ceux concernant l’imposteur-criminel George Soros dédié à corrompre la classe politique, le corps judiciaire et la hiérarchie dans l’Administration publique depuis son coup spéculatif milliardaire sur la livre sterling en 1992(3). En ce sens, la néo-aristocratie mondialiste gouvernante participe de manière active à faciliter à cet imposteur condamné la << mainmise >> sur le Pouvoir de l’État(4).
Dans son préambule sur la corruption mondiale institutionnalisée, Transparency.org(5) synthétise, entre autres moyens de corruptions, celui du phénomène politico-judiciaire mafieux ainsi :
La corruption judiciaire concerne toute influence inappropriée sur l'impartialité du processus judiciaire et des décisions de justice et peut s'étendre au fait de soudoyer un juge pour obtenir une décision favorable, ou une absence de décision
Pourtant, lorsque l’on regarde à nouveau en direction de la situation de l’actuel contexte politico-judiciaire en Occident, l’on ne peut que constater le cynisme institutionnalisé en légiférant des lois qui seront détournées au gré des intérêts spécifiques en jeu :
La CNUCC et la corruption judiciaire : Conditions et pistes de réforme
L’efficacité de la mise en œuvre de la Convention des Nations unies contre la corruption (CNUCC) repose à la fois sur l’indépendance et l’impartialité des systèmes judiciaires. Là où l’appareil judiciaire ne répond pas à ces conditions, les procureurs, juges et fonctionnaires de justice malléables seront enclins à fermer les yeux sur les actes de corruption dont ils sont témoins ou à délibérément refuser de les considérer. La partialité des nominations, promotions et procédures disciplinaires contribue à diluer les compétences du personnel judiciaire, lequel ne s’en trouve que plus démuni face à certains dossiers complexes, y compris face aux affaires de corruption. Les dispositions uniques de la CNUCC régissant la coopération internationale en matière de justice sont assujetties à l’intégrité et à l’efficacité du système judiciaire des États parties.
Nombre de mesures anti‑corruption prévues par la CNUCC relèvent du pouvoir judiciaire. Les États parties et les bailleurs de fonds devraient donc veiller en priorité à donner au personnel de justice les moyens de s’acquitter de sa tâche. L’Article 11 de la CNUCC stipule d’ailleurs en ce sens que chaque État partie doit « prendre des mesures pour renforcer l’intégrité [des magistrats] et prévenir les possibilités de les corrompre. » Nous analyserons ici les clés d’une mise en œuvre efficace de l’Article 11 de la Convention et proposerons quelques pistes de réflexion sur la question.
La mafia Soros : les 4 liens exposés ici-bas, parmi tant d’autres, révèlent une constante de l’imposture-criminelle de George Soros et ses complices politico-judiciaires au service de la néo-aristocratie mondialiste monopolisant, en alternance, le Pouvoir étatique :
- https://articles.epresse.fr/article/comment-soros-et-la-cedh-ont-tout-fait-pour-etouffer-l-affaire/1190627/4508/3078/16281
- https://www.parlament.ch/fr/ratsbetrieb/suche-curia-vista/geschaeft?AffairId=20203025
- https://www.youtube.com/watch?v=w2XixFhukDA
- https://libnanews.com/la-cour-penale-internationale-est-concue-pour-lafrique-et-non-pour-loccident/
En effet, au 2ème mandat (2013-2016) de l’imposteur-président-apostat Barack Hussein Obama, le Parti Démocrate s’insère dans la mouvance mondialiste socialo-communiste embrassant l’expansionnisme ethno-politique en Occident contraire aux intérêts nationaux des pays composant cette entité supranationale dont les États-Unis, comme 1ère puissance mondiale, se voit envahie par une immigration des millions d’illégaux en symbiose avec le projet de la Fondation Open Society de l’imposteur-criminel et financier-prédateur George Soros(4) :
(…).
Le Parti démocrate est issu de la scission du Parti républicain-démocrate fondé par Thomas Jefferson en 179217. Doyen des partis américains et mondiaux, il est à l'origine un parti anti-fédéraliste défendant la liberté des États face au pouvoir fédéral, et celle des propriétaires individuels face aux intérêts bancaires et industriels. À l'époque de la guerre de Sécession, il défend également l'esclavage face au Parti républicain de Lincoln, abolitionniste. Il évolue nationalement vers une vision moins conservatrice18 et moins méfiante du pouvoir fédéral dès les années 1890, et plus nettement dans les années 1930 avec le président Franklin Delano Roosevelt, en valorisant le rôle de l'État dans la protection des minorités. Dans les années 1960 et 1970, il s'inscrit à gauche sous l'impulsion des sénateurs Hubert Humphrey, George McGovern ou Edward Moore Kennedy, puis se place vers le centre sous les mandats de Jimmy Carter et Bill Clinton avant de se réorienter à gauche sous la présidence de Barack Obama avec l'influence de Bernie Sanders, Elizabeth Warren, Jesse Jackson, Keith Ellison et Nancy Pelosi. Le 46e président des États-Unis Joe Biden, élu en 2020, et sa vice-présidente Kamala Harris, première femme à occuper cette fonction, sont issus du parti démocrate.
À l'échelle internationale, le Parti démocrate est, depuis 2013, membre de l'Alliance progressiste qui regroupe l'ensemble des partis politiques progressistes, sociaux-démocrates et socialistes proche de l'Internationale socialiste. Il est dirigé par le Comité national démocrate.
Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Parti_d%C3%A9mocrate_(%C3%89tats-Unis)
Avant ce fragment exposé ici-haut sur le parcours politique du Parti Démocrate (1792-2013), il faut retenir l’année 2013(5) afin de bien saisir comment à partir de cette date l’influence du spéculateur-prédateur-financier George Soros se fait résolument sur le Parti Démocrate Obama-Biden avec des centaine de millions de dollars finançant ainsi ses mercenaires politico-judiciaires infiltrés dans les cours de Justice des États et Fédérales(5).
De toutes ces enquêtes, conflits d’intérêts, corruptions, collusions, lobbyings illégaux(5), comptabilité créative, financement provenant des paradis fiscaux, spoliation de fonds publics, endettement public comme butin de guerre, ONG’s écrans au service des mafias bureaucratiques institutionnalisées…, il faut retenir un constat de tout cela : La mafia Soros et ses complices dans l’Administration Étasunienne anti-USA-Trump feront tout leur possible afin d’éviter le retour du 45ème président Donald J. Trump à la Maison-Blanche(8) lors de l’élection présidentielle du mois de novembre 2024.
En ce sens, la désinformation est le leitmotiv de la plupart des mass médias écrits et audiovisuels aux États-Unis en symbiose avec la mafia politico-judiciaire du Parti Démocrate Obama-Biden contre le grand patriote-humaniste Donald J. Trump(9).
En exemple, parmi tant d’autres : Après son inculpation, Donald Trump dénonce un procureur sous la coupe du milliardaire George Soros. Ce dernier aurait directement financé sa campagne à la tête du parquet de Manhattan.
Pourtant, l’alliance politico-judiciaire-mass médias évoquée antérieurement nie cette réalité en désinformant de manière éhontée. Il faut rappeler la citation du propagandiste officiel d’Adolphe Hitler, Joseph Goebbels : un mensonge répété mil fois dévient une vérité. C’est cela le leitmotiv de ladite alliance anti-USA-Trump tel que transcrit ici-bas :
Une rumeur infondée, reprise par ses partisans et la complosphère américaine.
La contre-attaque de Donald Trump, visé par des poursuites pénales dans l’affaire Stormy Daniels, ne s’est pas fait attendre. Dans un communiqué officiel, l’ancien président des États-Unis a dénoncé une "persécution politique" après le vote d’un grand jury du tribunal de New-York pour son inculpation, et surtout un procureur sous influence. "Le procureur de Manhattan Alvin Bragg, qui a été trié sur le volet et financé par George Soros, est une honte", a-t-il alors accusé le 31 mars.
Aussitôt, les partisans de Donald Trump ont décidé de cibler la figure d’Alvin Bragg et de reprendre cette rumeur. "Le procureur du district de Manhattan, soutenu par Soros, a constamment enfreint la loi pour déclasser les crimes et excuser les fautes criminelles. Pourtant, maintenant, il étend la loi pour cibler un opposant politique", a déclaré le gouverneur républicain de Floride, Ron DeSantis, dans un tweet.
Et comme à chaque fois que le nom de George Soros est cité, la complosphère américaine s’est réveillée et a dénoncé les liens financiers supposés entre ce dernier et le procureur de Manhattan, qui devrait inculper formellement Donald Trump dans les prochains jours. Ce milliardaire américain et d’origine juive hongroise est régulièrement la cible d’attaques conspirationnistes, sur fond d’antisémitisme. Côté français, Florian Philippot s’est aussi emparé de l’information, selon laquelle "Soros a financé à hauteur de 500 000 dollars" l’élection d’Alvin Bragg. Aux États-Unis, il est de coutume que des procureurs et juges soient élus et non pas nommés.(10)
Pourtant cette << complosphère >> devenue mondialiste ne fait que révéler la réalité des connivences entre Barack Hussein Obama, << ce natif “d’Hawaï” >>, et ses financiers-prédateurs misant toujours sur les candidats politiques à tous les niveaux gouvernementaux qui pourraient légiférer, exécuter et leur assurer une Justice apprivoisée par des nominations << ad hoc >> afin de mener à bien leurs ingénieries prédatrices de fonds publics et privés :
Barack Obama est ce personnage contradictoire, ambigu, voire bicéphale, prêcheur de justice sociale financé par des Soros, Buffet et Goldman Sachs…
(…).
Barack Obama, un continuum Soros/WEF teinté d’un paradoxe Kissinger/Nobel
En effet, les marionnettistes contrôlant les marchés des sociétés cotisées ou non en bourse ont la capacité de << dicter >> des lois les favorisant de manière à pouvoir constituer sans entraves juridiques des puissants oligopoles financiers et spéculatifs-prédateurs au détriment de la classe moyenne de plus en plus acculée à la dynamique de la paupérisation et dégradation de ses moyens de subsistance. En exemple :
(…).
Le contrôle exercé par Blackrock, dans les plus grandes entreprises comme ses concurrents, est tel qu’il fait craindre une réduction des choix des consommateurs, une hausse des prix, la baisse des salaires et des emplois. Cette puissance se manifeste aussi à travers le lobbying exercé par la compagnie aux États-Unis comme en Europe, et sur de nombreuses questions, comme le climat ou le “capitalisme des parties prenantes” si cher à Klaus Schwab et le Forum économique mondial (WEF).
Mais le terme "lobbying" n’est qu'un bien gentil mot pour décrire la réelle emprise de Blackrock. Il n'est pas question ici de consultations avec des décideurs pour essayer de faire pencher la balance du côté de ses intérêts. "Toutes ces institutions financières achètent des politiciens", révélait un recruteur de la compagnie, filmé à son insu par O'Keefe "Vous pouvez prendre cette grosse manne d’argent, et commencer à acheter des gens (...) les moins chers sont les sénateurs (...) ce qui compte, ce n’est pas qui est président, mais qui contrôle le portefeuille du président", dit-il.(6)
(…).
Larry Fink : Le maître discret de la finance aux milles milliards de dollars ... de marionnettes
L’un de ces sénateurs est Joe Biden représentant l’État de Delaware (un paradis fiscal) depuis 47 ans, dénommé le << capo di tutti capi >>(8) de la politique, la marionnette de Barack Hussein Obama, puisque ce dernier est de facto le président-illégitime des États-Unis à partir des élections volées en 2020 à Donald J. Trump :
Ouverture lundi du procès du fils de Joe Biden, Hunter, pour détention illégale d’une arme
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2077569/proces-hunter-biden-etats-unis
La procédure de l’imposteur-criminel George Soros va plus loin que de soudoyer des sénateurs :
George Soros is 86 years old and has a worth of $24.5 billion. He is an Atheist who wants to delete Christianity from the face of the earth. He gives billions to left wing causes. He wants the U.S. to be subservient to international law. He wants one world government. He wants to destabilize the U.S. Government by weakening it through huge welfare programs like opening our borders to thousands of refugees, giving them food, medical care, housing and clothing. He wants to eliminate voter ID so non-citizens can vote, promotes legalization of Marijuana, and favors the Trans Pacific Partnership, with his inclusion of China. He supports amnesty to illegal immigrants. He provokes election crises in many countries around the world. He funded the Ferguson protests.
Soros gave $27 million to the 2008 campaign of Obama for president because he felt that the values of Barack Obama and himself were very similar. In 2016 George Soros gave Hillary Clinton and other Democratic candidates $25 million and was very influential in her decisions previously as Secretary of State. Soros has five children and some are involved in liberal causes.
(…).
Clinton and Obama influenced by George Soros
https://www.sidneydailynews.com/2016/11/04/clinton-and-obama-influenced-by-george-soros/
L’information précédente concernant l’imposture-criminelle et prédatrice financière de George Soros n’est pas loin de ce constat transcrit ici-bas :
Georges Soros est l’une des personnalités les plus influentes de notre époque. L’activisme de George Soros, qui se considère lui-même comme « un chef d’État sans État », touche en fait tous les domaines et tous les continents. Durant les dernières décennies, peu de nations ont été épargnées par l’action ou l’influence de son ensemble de fondations : l’Open Society Foundations. Partout où la souveraineté politique et la stabilité sociale sont attaquées, on retrouve la trace de Georges Soros, de ses réseaux, de ses militants, de ses milliards.
Que ce soit au travers de l’immigration de masse, de la dépénalisation des stupéfiants, des nouvelles normes sociétales, de la promotion des théories du genre ou des révolutions colorées. Dans chacun de ces domaines, Soros œuvre avec une étonnante constance à la réalisation d’un même objectif : l’avènement d’un nouvel ordre politique international fondé sur la notion de société ouverte et la fin des États-nations. L’auteur nous propose une radiographie détaillée de la méthodologie Soros et de ses divers champs d’action partout dans le monde. Au travers d’exemples très documentés, cette étude expose au grand jour les rouages internes des réseaux Soros
Un rapport démontrant qu’une proportion importante des juges de la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) provient du réseau d’ONG de l’Open Society Foundation de Soros. Un nouveau rapport publié en juillet 2021 apporte de nouvelles révélations sur la pieuvre Soros. Ce rapport a été présenté à l’ONU.
(…).
Georges Soros : un lobbying contre les peuples et les Nations
https://www.kernews.com/un-rapport-de-lonu-revele-linfluence-de-georges-soros-sur-les-etats/36961/
Dans ce contexte d’imposture-criminelle, il faut exposer davantage d’information afin de dévoiler la complexité de la nébuleuse entourant le noyau central de l’ONG mafieuse << Société Ouverte >> de George Soros et ses complices antipatriotes de la néo-aristocratie mondialiste :
Nous évoquons ce rapport avec Pierre-Antoine Plaquevent auteur de « Soros et la société ouverte »
Zoom - Pierre-Antoine Plaquevent : tout sur Soros et la société ouverte !
https://www.youtube.com/watch?v=MM9eYwAhZ8Y
A contrario à cette imposture-criminelle de l’un des personnages les plus exécrables de nos jours, la seule possibilité de contrôler de manière efficiente les trois pouvoirs (législatif, exécutif, judiciaire) ainsi que le 4ème pouvoir, les mass médias, dont se sert le prédateur-financier George Soros, est le cas de la Suisse de Démocratie directe(7).
Sur la base de ces faits dénoncés antérieurement, la proposition exposée ici-bas par Nicanor Perlas, ne peut pas être une solution, car celle-ci ne tient pas compte que cette société, dont il fait référence, étant de plus en plus multiculturaliste par le phénomène migratoire conditionnant ainsi la fragmentation sociétale. Par conséquence, la seule solution à cette problématique de contrôler les dits 3 pouvoirs par la majorité nationale est celle du système de Démocratie directe évoquée précédemment :
La société civile : le 3e pouvoir. Changer la face de la mondialisation
Dans notre monde dominé par les pouvoirs économiques et politiques, un troisième pouvoir est en train de s'affirmer et de contrebalancer les deux premiers : celui de la société civile. C'est cette composante de l'organisme social qui trouve sa raison d'être dans la culture, au sens très large que lui donne l'auteur, et qui englobe les notions de «spirituel, humain, social, culturel et écologique».. Si la société civile devient capable d'affirmer son identité et de s'organiser, les sphères de l'économie et de la politique seront progressivement contraintes de prendre en compte les valeurs qu'elle exprimera, dans une démarche de respect mutuel, et l'on s'acheminera, via une triarticulation sociale, vers une autre mondialisation, véritablement au service de tous. C'est un défi formidable !
Ce << défi formidable ! >>, entre dans le catalogue des utopies irréalisables tant que ledit défi ne soit pas encadré dans une Constitution de Droit social immanente d’une Démocratie directe immutable et sans contraintes participatives des citoyens nationaux par un minimum de décorum et de droits acquis. En d’autres mots, 50 000 signatures suffisent pour une convocation d’électeurs inscrits à l’élection générale en cours pour convoquer un référendum d’approbation ou de rejet d’un projet de loi, un octroi ou une décision gouvernementale contraire aux intérêts nationaux.
Reste à mettre en évidence dans le contexte exposé dans ce document le 4ème pouvoir, les mass médias, faisant partie intégrante des << liens contractuels >> avec les trois pouvoirs (législatif, exécutif, judiciaire) dont le << rapport >> cité ici-bas fait politiquement mention intéressée de ce 4ème pouvoir dans la situation actuelle de la perte de popularité du Parti Libéral du Canada de Justin Trudeau(12) :
Dans un nouveau rapport, un groupe de réflexion issu du ministère fédéral de l’Emploi et du Développement social a déterminé quelles sont les « perturbations » les plus plausibles auxquelles le Canada, voir le monde entier, fait face.
Intitulé Perturbations à l’horizon - Rapport 2024, le document, signé Horizons de politiques Canada, a recensé 35 perturbations mondiales, qu'ils ont partagées à quelque 500 parties prenantes, collègues et expert.e.s en prospective au sein du gouvernement du Canada et au-delà.
En récoltant leurs commentaires – principalement sur la probabilité, l’impact et l’horizon temporel de ces perturbations –, le groupe de réflexion a pu circonscrire les menaces les plus criantes.
(…).
La désinformation, principal risque pour le Canada, selon un groupe de réflexion
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2074609/menaces-desinformation-climat-intelligence-articifielle
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Jean-Louis Pérez-Martel
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*. Soros et la société ouverte - métapolitique du globalisme
1. L'expression « quatrième pouvoir » désigne la presse et les médias. Par extension, le quatrième pouvoir regroupe tous les moyens de communication qui peuvent servir de contre-pouvoir face aux trois pouvoirs incarnant l'État (pouvoir exécutif, législatif et judiciaire), en recourant au principe de protection des sources d'information des journalistes.
2. Les deux passages cités ont été extraits de Séparation des pouvoirs
3. George Soros https://fr.wikipedia.org/wiki/George_Soros
4. [Enquête] Comment George Soros a infiltré la Cour européenne des droits de l’’homme
Un rapport accablant démontre la mainmise du réseau d'ONG du milliardaire sur la CEDH, qui impose à l'Europe son idéologie de la “société ouverte”. Révélations exclusives.
Soros, le militant de la submersion migratoire et de l’islamisme
Désintégration. Artisan du déracinement, encourageant les flux migratoires massifs pour mieux fragiliser les États, George Soros déploie sa stratégie par l’argent, aussi discrète que cynique et destructrice.
Narcopolitique au Mexique : les cartels choisissent leurs candidats
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2077460/narcopolitique-trafiquants-elections-mexique-menaces
Le milliardaire George Soros investit 500 millions de dollars en faveur des migrants
L'investisseur américain se dit en quête de bonnes idées d'investissements dans des startups, des sociétés établies, des initiatives sociales et des activités fondées par les migrants et les réfugiés eux-mêmes.
Former Mexican Cartel Member Compares Border Gangs to George Soros
Comment le cas George Soros met l’UE au pied du mur
https://www.iris-france.org/112757-comment-le-cas-george-soros-met-lue-au-pied-du-mur/
Interview de Grégor Puppinck, directeur de l'ECLJ pour Valeurs Actuelles, publiée le 25 novembre 2020.
Six mois après avoir révélé le scandale Soros à la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH), vous montrez à présent que le Conseil de l'Europe dont dépend la CEDH a lui-même été financé par l’Open Society et Microsoft.
Effectivement, à la lecture des rapports financiers annuels du Conseil de l’Europe, il apparait que l’Open Society de George Soros et Microsoft de Bill Gates sont les deux plus gros donateurs privés de l’organisation. Ces deux organisations ont donné respectivement au Conseil de l’Europe près de 1.400.000€ entre 2004 et 2013 et près de 690.000€ entre 2006 et 2014. L’Open Society soutient par ailleurs des initiatives du Conseil de l’Europe, notamment l’Institut européen des arts et de la culture roms. Depuis 2015, il n’y a plus trace de ces financements directs, en revanche, le Conseil de l’Europe a institué un fond spécial pour recevoir de telles contributions volontaires extra-budgétaires.
Ces versements n’ont pas manqué de questionner, car il est étonnant qu’une organisation politique intergouvernementale soit ainsi perméable aux financements privés. Un député du Conseil de l’Europe a saisi le Comité des Ministres à ce sujet pour demander aux 48 ambassadeurs qui le composent que soient rendus publics tous les documents relatifs à ces financements.
(…).
Pour davantage d’information exhaustive sur ces infiltrations au moyen des << ONG’S >> (sic) dénoncées par European Centre for Law Justice, veuillez consulter :
Comment l’Open Society de George Soros et Microsoft de Bill Gates financent le Conseil de l’Europe
[Tribune] Affaire des « juges Soros » : en toute discrétion, la CEDH reconnaît les conflits d’intérêt et réforme son code de déontologie
Le milliardaire George Soros a-t-il financé la campagne du procureur ayant inculpé Donald Trump ?
Alvin Bragg Gets Devastating News After Verdict - Career Ruined
https://www.youtube.com/watch?v=VBANiI7cSEk
James Morrow slams Alvin Bragg as a ‘political prosecutor’
https://www.youtube.com/watch?v=ygmJtAwJYyI
Former Democrat governor accuses Biden, DNC of 'coordinating prosecutions against Trump'
https://www.youtube.com/watch?v=gCPYfzUB7i8
Judge Merchan FREAKS OUT After FORCED To Be DISBARRED After Mike Johnson EXPOSED This LIVE On-Air
https://www.youtube.com/watch?v=GBCusJI2Qwg
BREAKING NEWS: Donald Trump Jr., Allies Of Ex-POTUS Decry NYC Hush Money Trial Outside Hearing
https://www.youtube.com/watch?v=2Blu1jIhEAk
La déclaration de Joe Biden, le capo di tutti capi de la politique mafieuse du Parti Démocrate Obama-Biden concernant le verdict d’inculpation de Donald J. Trump, ne fait que ressortir son imposture sachant pertinemment comment sa << famiglia >> s’est enrichie avec les affaires de son fils Hunter Biden, autre membre de son entourage corrompu ainsi que commettant des actes criminels en attente d’être jugés(8). Sans oublier que depuis que Joe Biden représente l’État de Delaware, un paradis fiscal, comme ex-sénateur, vice-président et << président-illégitime >>, il n’a pas cessé de commettre des actes de collusions institutionnalisées, d’ingérences judiciaires et des menaces concernant les aides militaro-financières des milliards de dollars aux pays bénéficiant des dites aides s’ils n’obtempéraient pas à ses demandes d’obstructions judiciaires, le << cas Burisma >> en Ukraine est un exemple parmi tant d’autres.(8)
Au début d'une brève allocution sur la situation à Gaza et en Israël donnée depuis la Maison-Blanche, le président Joe Biden a abordé pour la première fois la question du verdict rendu la veille à l'endroit de son prédécesseur.
Évitant de se prononcer sur la culpabilité de son adversaire ou les accusations, il a soutenu que le verdict << avait réaffirmé le principe américain selon lequel personne n'est au-dessus de la loi. >>
Joe Biden a critiqué Donald Trump et ses alliés pour leur remise en question de l'intégrité du système judiciaire américain, qu'il a décrit comme la << pierre angulaire de l'Amérique. >>
<< C'est imprudent, c'est dangereux, c'est irresponsable de la part de quiconque de dire que ce procès a été truqué simplement parce qu'il n'aime pas le verdict. >> Joe Biden, président des États-Unis
(…).
Pour davantage d’information, veuillez consulter :
« S’ils peuvent me faire ça à moi, ils peuvent le faire à n’importe qui », dit Trump
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2077064/donald-trump-conference-presse-verdict-culpabilite
'The jury got it completely wrong': Alan Dershowitz on Trump verdict
https://www.youtube.com/watch?v=CsjXSIT9_4s
5. Voici l’analyse concernant la mafia politico-judiciaire du Parti Démocrate Obama-Biden et ses complices en symbiose avec le verdict de culpabilité contre Donald J. Trump faite par Mark Levin, l’un des journalistes le plus apprécié aux États-Unis :
Life, Liberty & Levin 6/1/24 FULL END SHOW | BREAKING FOX NEWS June 1, 2024
https://www.youtube.com/watch?v=MziHOJPrn1Q
Life, Liberty & Levin 6/2/24 | BREAKING FOX NEWS June 2, 2024
https://www.youtube.com/watch?v=Pn-Q6FJNMCk
De plus, le Sénateur Joe Manchin du Parti Démocrate vient de laisser ce parti corrompu (après le verdict contre Trump ?) siégeant maintenant comme indépendant pouvant donner la majorité au Parti Républicain-USA-Trump :
Manchin Announces Exit From Dem Party As Ex-Prez Verdict DOMINATES News Cycle
https://www.youtube.com/watch?v=cUFdtbJ_1o4
Indice de perception de la corruption 2023 : un sombre bilan de la lutte mondiale contre la corruption, la région Asie-Pacifique ne faisant pas exception (07 février 2024).
https://www.mofo.com/resources/insights/240207-corruption-perceptions-index-2023
6. Le sénateur Bob Menendez à nouveau poursuivi pour corruption
Cash, gold and a luxury car: The eye-popping allegations against Bob Menendez
The senator allegedly searched ‘how much is one kilo of gold worth’ after a trip to Egypt
https://www.politico.com/news/2023/09/22/menendez-allegations-gold-cash-car-00117646
7. Alexis de Tocqueville, dans son livre De la démocratie en Suisse, fait ressortir les avantages implicites et incontournables d’un système politique de démocratie directe procurant le vrai Pouvoir contrôlé par les citoyens, l’indispensable POUVOIR COERCITIF des électeurs face aux autres pouvoirs évoqués précédemment. Voici l’introduction de ce livre :
De la démocratie en Suisse" est un ouvrage qui examine le système politique de la Suisse sous l'angle démocratique. Le livre explore comment la démocratie est mise en pratique dans ce pays et comment elle influence la vie politique et sociale des Suisses. L'ouvrage met en lumière le système politique unique de la Suisse, caractérisé par une forte décentralisation du pouvoir et une participation active des citoyens. Il décrit comment les Suisses sont impliqués dans le processus décisionnel à différents niveaux, de la prise de décisions locales aux référendums nationaux. Le livre examine également le rôle des institutions politiques suisses, telles que le parlement, le gouvernement et les conseils locaux, ainsi que la façon dont ces organes interagissent pour élaborer et mettre en œuvre les politiques publiques. En outre, l'ouvrage souligne l'importance des valeurs démocratiques et de la culture politique en Suisse, qui favorisent la tolérance, le respect des opinions divergentes et le consensus politique. Enfin, "De la démocratie en Suisse" explore les avantages et les défis de la démocratie directe dans ce pays, ainsi que les leçons que d'autres nations pourraient tirer de cette expérience démocratique réussie.
En outre, ce système de participation de Démocratie directe consacre la prépondérance de décisions politiques à ceux faisant partie intégrante des groupes sectoriels dont les intérêts sont interreliés par rapport aux intérêts nationaux en jeu :
La démocratie directe est généralement considérée comme un modèle concurrent au système représentatif et, souvent, il ne se passe qu’un petit instant avant que le regard ne se porte en direction du sud, vers notre pays voisin, la Suisse. Le petit pays alpin est considéré, par beaucoup, comme une île de bienheureux : de beaux paysages, un patrimoine privé épargné par la guerre, des taux d’imposition paradisiaques, une abondance de chocolat et une stabilité politique et financière dont d’autres pays européens ne peuvent que rêver – telles sont les associations que l’on accole, presque sous forme de tropismes, à la croix blanche sur fond rouge. Est-il surprenant que cette accumulation de splendeurs soit liée au contexte politique dans lequel vivent et travaillent les Suisses ? Alfred de Zayas, expert américain en droit international, historien, auteur d’ouvrages et, jusqu’à récemment, envoyé spécial des Nations-Unies pour la promotion d’un ordre international juste et démocratique, est un fervent défenseur de ce point de vue : « La seule démocratie que je connaisse est celle de la Suisse », dit-il, car ici « il existe une certaine corrélation entre la volonté du peuple et la politique réelle. […] Je dois dire au peuple suisse qu’il doit lutter pour préserver la démocratie suisse directe. Ce n’est pas seulement pour vous, c’est aussi un modèle pour le monde [1] ».
Pour davantage d’information sur la Démocratie Directe, veuillez consulter :
La démocratie directe en Suisse. Modèle ou hallucinogène pour les glorificateurs du peuple allemand, français…
https://www.cairn.info/revue-grief-2019-2-page-47.htm
8. Hunter Biden https://fr.wikipedia.org/wiki/Hunter_Biden
9. Commentaire # 11 suite à l’article référencié sur ce lien :
10. 'STRANGE THINGS HAPPEN TO YOU' Jim Jordan turns Obama into a JERK with journalist witness F.IRING
https://www.youtube.com/watch?v=ZsFxsRzcbV4
Selon Trump, une peine de prison pourrait être un « point de rupture » pour ses partisans
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2077544/trump-peine-prison-point-rupture-partisans
Trump vows to declassify JFK, Epstein docs
https://www.youtube.com/watch?v=fHVnOMjJjsA
Trump: 'My revenge will be success'
https://www.youtube.com/watch?v=I12BrDyu1n0
Si la << vengeance >> de l’humaniste-patriote Donald J. Trump se concrétise lors de son mandat à la Maison-Blanche à partir du 20 janvier 2025, l’un des premiers à subir cette << représaille >> sera l’imposteur-traître anti-USA-Trump Anthony Fauci (dénommé le << mengele >> américain)(15), l’indispensable complice du régime communiste chinois pour la création de l’arme bactériologique COVID-19 provoquant la pandémie planétaire de 2020-2022… :
BREAKING: Chaos Erupts As Marjorie Taylor Greene Lobs 'Personal Attack' At Fauci, Dems Stop Hearing
https://www.youtube.com/watch?v=W8AU5NFTDfg
BREAKING NEWS: Sparks Fly As Jim Jordan Ruthlessly Confronts Dr. Fauci About Lab-Leak Theory
https://www.youtube.com/watch?v=hk6y19AbLNE
Dr. Anthony Fauci Hearing LIVE | Dr. Anthony Fauci Set For Fiery Hearing With House GOP | N18L
https://www.youtube.com/watch?v=Ao1CyTHg7-s
Josef Mengele https://fr.wikipedia.org/wiki/Josef_Mengele#Musique
Parmi tant d’autres à être poursuivis en Justice en raison de leur trahison envers les intérêts suprêmes des États-Unis, ne serait nul autre que le général félon ex-responsable des armées américaines Mark Milley :
- Former President Donald Trump and Republican Rep. Paul Gosar of Arizona suggested that outgoing Chairman of the Joint Chiefs Army Gen. Mark Milley was a traitor who deserved to be executed.
- Trump blasted Milley in a social media post that accused Milley of going behind Trump's back by making phone calls to Chinese counterparts in the final months of Trump's administration.
- Trump while president regularly dressed down military officials, calling Milley a "dumbass" in 2021 and former Secretary of Defense James Mattis "the world's most overrated general."
Pour davantage d’information sur ce général-traître anti-USA-Trump, veuillez consulter :
Trump and GOP Rep. Gosar suggest Joint Chiefs boss Mark Milley deserves death
https://www.cnbc.com/2023/09/25/trump-paul-gosar-suggest-gen-mark-milley-deserves-death.html
Le général Mark Milley attaque Trump le jour de son départ
11. Financement des clips vidéos à la télévision et sur Internet, des groupes de soutien, du merchandising, des meetings, etc. : l'argent est omniprésent dans les campagnes électorales américaines. La démocratisation du financement aurait paradoxalement nourri les invectives plutôt que le débat. Les campagnes électorales hésitent de moins en moins à puiser dans un style offensif. Au point que ces efforts de communication sont désormais davantage dirigés contre l'adversaire qu'en soutien au candidat. Ce numéro propose d'analyser les dynamiques de financement à l'œuvre au cœur de la démocratie américaine.
Source extraite du livre intitulé Argent et politique aux Etats-Unis
12. Au Canada du multiculturalisme institutionalisé par Pierre-Elliot Trudeau depuis le rapatriement unilatéral de la Constitution en 1982 sans le consentement du Québec, a davantage été activé par la politique immigratoire expansionniste de son fils, l’imposteur Justin Trudeau. C’est-à-dire, les conséquences de ce multiculturalisme débridé ne font que percevoir des liens contractuels exogènes contraires aux intérêts nationaux du Québec en raison d’être soumis à cette Constitution colonialiste imposée en 1867. De là, la perte constante de Pouvoir à la Chambre des communes, la spirale de l’endettement public fédéral (voir le plan spéculateur-déprédateur de George Soros concernant la Dette publique, note 13), les actions politiques de la Cour Suprême du Canada contre la légitimité législative de l’ANQ… :
Des députés ont aidé des acteurs étrangers, selon un rapport
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2077856/ingerence-etrangere-elus-aide-agents-etrangers
Sans oublier le rôle joué par la désinformation et la censure des réseaux sociaux ou d’informations (GAFAM, Radio-Canada, CBC, TVA, LCN…)(13) pendant la pandémie planétaire du COVID-19, l’arme bactériologique du régime communiste chinois contre l’Occident, tout particulièrement contre le Pouvoir présidentiel de Donald J. Trump, juste à la dernière année de son mandat et durant sa campagne de réélection en 2020 :
(…).
Le rapport indique également que M. Cheng n'a pas été franc au sujet de ses activités et de ses collaborations avec des personnes appartenant à des agences gouvernementales << d'un autre pays, à savoir des membres de la République populaire de Chine. >>
<< Les actions du Dr Cheng reflètent celles d'un individu qui est négligent avec les informations et les biens sous sa garde et qui n'est pas franc et véridique lorsqu'il est interrogé sur ces communications. >>
Dans une déclaration, le chef conservateur Pierre Poilievre a accusé le gouvernement libéral de permettre au gouvernement chinois et à ses entités d'infiltrer le laboratoire de plus haut niveau du Canada.
<< Il s'agit d'un échec massif en matière de sécurité nationale de la part de Justin Trudeau et de son gouvernement libéral, qu'il s'est battu bec et ongles pour dissimuler. >>
(…).
Pour davantage d’information sur la << complicité >> de l’imposteur Justin Trudeau avec les autorités scientifiques du régime communiste chinois, veuillez consulter :
Les chercheurs congédiés à Winnipeg n’auraient pas protégé les informations sensibles
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2053012/enquete-espionnage-chercheurs-chinois-winnipeg
13. Entre la censure, la manipulation et la violation des données privées, les GAFAM…. sont critiqués pour leur emprise sur l'intelligence artificielle, parmi d'autres domaines du numérique, qui menace la souveraineté des États.
https://fr.wikipedia.org/wiki/GAFAM#Domination
14. De plus, voici comment un anti-socialo-libéral a fait face de manière courageuse et patriotique à ces trois défis nationaux, soient la Covid-19, le plan Soros concernant l’endettement public et l’immigration illégale, afin de préserver les intérêts suprêmes de son pays :
Hongrie. Coronavirus, migrants et George Soros : Viktor Orbán lance une nouvelle “consultation”
Alors que l’épidémie de Covid-19 se tasse en Hongrie, le gouvernement du Premier ministre hongrois sollicite, pour la neuvième fois en une décennie, l’avis de la population sur des thèmes de société grâce à un questionnaire entérinant son agenda politique.
15. Anthony Fauci Hearing LIVE | House Republicans Grill Fauci Over COVID-19 Response | US News | N18G
https://www.youtube.com/watch?v=jPAetDPmQRo
WATCH: Rep. Marjorie Taylor Greene tells Dr. Fauci, 'You're not doctor' during COVID hearing
https://www.youtube.com/watch?v=vIwFeG1TAxY
People who refused COVID vaccine "probably responsible for additional 200-300K deaths in US": Fauci
https://www.youtube.com/watch?v=GUcpwuADC9o
Dr. Fauci grilled by lawmakers on the origins of COVID-19, Son of a gun: Hunter Biden trial begins
https://www.youtube.com/watch?v=kMFGbW2OCik
En outre, le livre écrit par l’ex-néonazi Klaus Schwab(16), fondateur du Forum Économique Mondial (Davos), sur la pandémie planétaire (COVID-19) a été écrit pendant que cette arme bactériologique du régime communiste chinois soit << annoncée >> en 2020 par le Directeur général de l’OMS, le communiste éthiopien Tedros Adhanom Ghebreyesus. Celui-ci nommé sous l’influence du gouvernement communiste de Xi Jinping et ses complices des pays membres anti-occidentaux à la tête de l’Organisation Mondiale de la Santé.
Tedros Adhanom Ghebreyesus https://fr.wikipedia.org/wiki/Tedros_Adhanom_Ghebreyesus
16. Cet extrait du livre intitulé Klaus Schwab COVID-19: La Grande Réinitialisation, indique déjà l’ingénierie socioéconomique et politico-géostratégique (le grand remplacement) décidée et mise en place par le Forum Économique Mondial (Davos)(17) à partir des années 2010 (l’imposteur-apostat Barack Hussein Obama est à la Maison-Blanche et nommé Prix Nobel de Paix)(18), avec l’objectif d’imposer aux pays occidentaux l’Agenda-2030(19) au détriment des intérêts nationaux de ces pays, pour la plupart gouvernés par la néo-aristocratie antipatriote :
Depuis ses débuts sur la scène internationale, la COVID-19 a radicalement bouleversé la manière de gouverner les pays, de vivre avec les autres et de participer à l'économie mondiale. « COVID-19 : la Grande réinitialisation » est un guide pour tous ceux qui veulent comprendre dans quelle mesure le nouveau coronavirus pourrait être source de perturbations et de souffrances, et quels changements sont nécessaires pour créer un monde plus inclusif, plus résilient et plus durable. Ce livre propose une analyse inquiétante et pourtant pleine d'espoir. La COVID-19, la plus grande crise de santé publique de ce siècle, a entraîné une catastrophe économique phénoménale et empiré les inégalités déjà présentes. Mais la force de l'être humain réside dans sa clairvoyance, son ingéniosité et, du moins dans une mesure, certaine sa capacité à prendre son destin en main et planifier un avenir meilleur. Ce livre nous montre par où commencer. Le professeur Klaus Schwab est le fondateur et président du Forum Économique Mondial. Défenseur de la première heure du « capitalisme des parties prenantes », il est l'auteur de plusieurs ouvrages, y compris « La quatrième révolution industrielle ».
17. Klaus Schwab https://fr.wikipedia.org/wiki/Klaus_Schwab
18. Culture of Corruption: Obama and His Team of Tax Cheats, Crooks, and Cronies
Ce fragment extrait du livre cité ici-haut de Michelle Malkin, publié en 2010 lors de son premier mandat à la Maison-Blanche révèle, entre autres, la grande imposture de ce président-apostat et la connivence de ses complices corruptocrates comme son vice-président Joe Biden, le << capo di tutti capi >> de la politique consensuelle de la mafia institutionnalisée du Parti Démocrate anti-USA :
La cote de popularité de Barack Obama est au plus bas. Un récent sondage Gallup révèle que la moitié des Américains interrogés estiment qu'Obama ne mérite pas un second mandat. Las de la corruption qui jaillit de la Maison Blanche plus rapidement qu’une marée noire sur la côte du Golfe, les électeurs sont prêts à mettre un terme aux campagnes de diffamation, aux programmes payants, aux nominations pendant les vacances et à la politique de Chicago.
La culture de la corruption prouve une fois de plus qu’il ne s’agit pas de n’importe quelle politique. C’est une politique de Chicago obstruée, réprimant la dissidence et redistributive. Les élections de 2010 promettent d’être un référendum anti-corruption qui restera gravé dans les livres d’histoire. Après tout, dit Malkin, on ne peut pas réformer les corruptocrates, mais on peut les éliminer. Nouvelles révélations dans la mise à jour de la Culture de la Corruption :
Comment Obama a déclaré la guerre aux lanceurs d’alerte indépendants du gouvernement en licenciant à l’improviste, en menant des campagnes de diffamation et en forçant au silence lorsque leurs conclusions dénonçaient ses alliés politiques.
Comment la campagne de la Première Dame Michelle Obama contre l’obésité infantile vise moins à réduire le tour de taille de nos jeunes qu’à gonfler les coffres du SEIU avec près de 400 000 nouveaux travailleurs des services alimentaires.
Comment, malgré la révélation des pratiques illégales d’ACORN et le définancement qui a suivi, ACORN existe toujours et pourquoi la Maison Blanche d’Obama reste muette sur l’avenir d’ACORN.
19. Agenda-2030
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