Suite de l’article intitulé Comment McKinsey & Company est devenu le Pouvoir géo-cleptocrate mondial* (5 de 5)

Pour les parties 1, 2, 3 et 4 de 5, veuillez consulter les liens insérés ici-bas

Tribune libre

1. https://vigile.quebec/articles/suite-de-l-article-intitule-comment-mckinsey-company-est-devenu-le-pouvoir-g


2. https://vigile.quebec/articles/suite-de-l-article-intitule-comment-mckinsey-company-est-devenu-le-pouvoir-g


3. https://vigile.quebec/articles/suite-de-l-article-intitule-comment-mckinsey-company-est-devenu-le-pouvoir-g-1cf05516-cff7-4bb0-a5d7-1b2d0259ae63


4. https://vigile.quebec/articles/suite-de-l-article-intitule-comment-mckinsey-company-est-devenu-le-pouvoir-g-e6c1ae10-ff86-42e6-a4bb-635c06274c45


 


McKinsey & Company contre l’Occident


La suprématie de ce cabinet-conseil devenu le Pouvoir géo-cleptocrate mondial est unique tant par sa dimension que par sa nature de soudoyer. Il s’agit d’une hégémonie d’un nouveau concept de Pouvoir qui se caractérise par les embuches en forme de conseils aux gouvernements, organisations internationales, administrations publiques ou privées afin de soutirer le maximum des ressources financières provenant essentiellement des fonds publics ou par les arguties des allègements fiscaux aux corporations économico-financières.


Dans ce contexte, aucun rival ne sera assez fort pour disputer seul à McKinsey & Company le statut de première puissance globale en tant que cabinet-conseil par ses liens contractuels avec un puissant cercle constitué de responsables gouvernementaux, ex-politiciens, ex-hauts fonctionnaires, administrateurs publics et spéculateurs financiers.


L’information révélée par la commission du Sénat des États-Unis concernant les liens entre McKinsey & Company et le régime pétromonarchique saoudien en rapport à la sécurité intérieure impliquant principalement ces deux associés antioccidentaux, prouve l’inquestionnable mission du dit cabinet-conseil contre les intérêts de la première puissance mondiale et par l’effet concomitant de ceux de l’Occident :    


La question que nous abordons aujourd’hui est d’une importance historique », annonce le sénateur démocrate Richard Blumenthal, ouvrant l’audition des dirigeants de quatre cabinets de conseil américains devant la commission sur la sécurité intérieure et les affaires gouvernementales du Sénat, le 6 février dernier. Les élus américains s’intéressent à l’implication des cabinets McKinsey, Boston Consulting Group (BCG), Teneo et M. Klein & Company dans la stratégie du pouvoir saoudien.


L’affaire remonte à juin 2023, lorsque plusieurs articles de presse confirment l’ambition saoudienne d’investir massivement dans le sport américain (achat de clubs, parrainage et mécénat, etc.) via son fonds souverain (1). Souhaitant comprendre les intentions de Riyad, le Sénat enjoint aux quatre cabinets de conseil de fournir un relevé détaillé de leurs activités auprès de cet organisme qui gère plus de 900 milliards de dollars. L’affaire prend un tour politique lorsque ces sociétés entrent en conflit avec la justice saoudienne, qui menace leurs employés d’incarcération si les cabinets transmettent les documents demandés au Capitole. Les juges ayant affirmé que la publication de ces documents « attenterait aux intérêts de sécurité nationale » de leur pays, la commission sur la sécurité intérieure et les affaires gouvernementales réplique en ouvrant une « enquête sur l’influence étrangère » : le sénateur Blumenthal, qui en est à l’origine, souhaite comprendre « en quoi des missions de conseil assurées par des entreprises américaines, portant sur le sport américain, peuvent relever de la sécurité nationale saoudienne ».


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Consultants et agents de l’étranger


Le Congrès américain contre McKinsey


McKinsey, le Boston Consulting Group et d’autres cabinets de conseil américains sont au cœur de la stratégie saoudienne de développement et d’influence. Mais cet engagement auprès de Riyad suscite l’inquiétude d’une commission d’enquête du Sénat américain. Les élus craignent en effet un conflit d’intérêts qui pénaliserait à terme l’économie et la sécurité des États-Unis.


https://www.monde-diplomatique.fr/2024/11/CALLONNEC/67737


Selon le Financial Times, le cabinet américain a récemment enjoint ses équipes basées en Chine continentale à ne pas s’engager dans ce type de projets, y compris quand ceux-ci sont menés pour des clients multinationaux opérant localement.


McKinsey opte ainsi pour la prudence, alors qu’aucune interdiction formelle n’a été édictée par l’administration Trump à ce stade. Les entreprises actives dans les secteurs jugés sensibles, comme l’IA ou l’informatique quantique, seraient toutefois de plus en plus « surveillées » par Washington.


Comme Consultor s’en était fait l’écho, le géant du conseil US a déjà été dans le viseur du Congrès pour avoir conseillé à la fois des entités publiques chinoises et le Pentagone. Son managing partner Monde, Bob Sternfels, a même été entendu en 2023 dans le cadre d’une enquête sur d’éventuelles interactions problématiques avec des clients liés à l’État chinois.


Un découplage entre les entités chinoises et les maisons-mères des grands cabinets anglo-saxons


Comme le BCG et Bain – le premier ayant créé une « franchise » locale et le second séparant les données entre les serveurs chinois (localisés en Chine) et le reste du groupe –, McKinsey a discrètement réorganisé ses activités chinoises pour en isoler les opérations. Objectif : éviter que les équipes actives dans le pays ne soient impliquées dans des sujets pouvant exposer le cabinet à des représailles réglementaires ou politiques, côté américain comme chinois.


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McKinsey écarte sa filiale chinoise de toute mission liée à l’IA générative


Alors que les tensions entre Washington et Pékin restent vives, McKinsey demande à sa branche chinoise de ne pas s’impliquer dans des projets faisant appel à la GenAI.


https://www.consultor.fr/articles/mckinsey-ecarte-sa-filiale-chinoise-de-toute-mission-liee-a-lia-generative


Les relations contractuelles entre McKinsey, la Chine, la Russie, la France et Elon Musk


Selon un professeur d'Histoire, Elon Musk est-il un agent du Kremlin et de la Chine ?


https://www.youtube.com/shorts/Axdt1Qdicuo


L’Envoyé très spécial de Poutine a fait ses classes chez McKinsey


Il est précisément présenté comme l’Envoyé spécial du Président pour l’investissement et la coopération économique avec les pays étrangers, officiellement depuis le 23 février 2025. Kirill Dmitriev, bientôt 50 ans, très proche de Vladimir Poutine, depuis 13 ans à la tête d’un fonds souverain russe, le RDIF, doté de 10 milliards de dollars pour co-investir dans l’économie russe, a débuté sa carrière chez McKinsey, à Los Angeles, Prague et Moscou.


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https://www.consultor.fr/articles/lenvoye-tres-special-de-poutine-a-fait-ses-classes-chez-mckinsey


Les paradoxes chinois d’Elon Musk


https://www.ifri.org/fr/presse-contenus-repris-sur-le-site/les-paradoxes-chinois-delon-musk


Un ancien analyste commercial de McKinsey recruté par l'« armée de geeks » de Musk, DOGE.


https://www.consulting.us/news/11397/former-mckinsey-business-analyst-hired-to-musks-doge-nerd-army


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CONCLUSION FINALE


Dans l’espoir que la Nation Canadienne Française fera aux élections générales de 2026 le choix historique qui s’impose pour sa survie comme peuple distinct afin de préserver ses propres intérêts nationaux, il faut, par la suite, comme priorité << sine qua non >>, promulguer une loi encadrant une action radicale politico-judiciaire contre la << corruptocratie >> omniprésente au Québec depuis 1995(15). La détermination d’un Pouvoir nationaliste et patriote à l’assemblée Nationale du Québec pourrait sauver ce qui reste de ladite Nation.(16)


En effet, un moyen ultra-efficient pour lutter contre la << corruptocratie >>, fléau criminel et rempart de la caste politique pour se consolider comme mafias de prédations légalisées, serait l’Intelligence Artificielle (IA)(17), laquelle préviendra à éviter tout acte de corruption institutionnalisée dans l’Administration publique au Canada-Québec, nous libérant ainsi de la  pérennité du saccage commis par l’acquiescement des politiciens véreux en connivence avec leurs complices antipatriotes dans l’appareil de l’État, étant au service d’organisations internationales d’usurpations sous contrat public-privé évaluées à plusieurs dizaines de milliards de dollars.(18)


Un exemple contre la << corruptocratie >> en France entreprise au moyen de l’IA :


Dans le paysage politique et social contemporain, la corruption apparaît comme l’un des fléaux les plus pernicieux, s’infiltrant dans les strates du pouvoir et érodant les fondements de la confiance publique. Elle détourne les ressources, fausse les compétitions équitables et affaiblit la légitimité des institutions. Selon l’organisation Anticor, dédiée à la lutte contre la corruption, ce phénomène représente non seulement un coût économique considérable, estimé à 120 milliards chaque année en France, mais inflige également un coût social et moral immense, sapant les efforts de développement durable et exacerbant les inégalités. Face à ce défi complexe, l’intelligence artificielle (IA) émerge comme une lumière d’espoir, offrant des outils novateurs pour déchiffrer, analyser et combattre efficacement ce phénomène ancien mais toujours d’actualité. Cet article se propose d’explorer le potentiel révolutionnaire de l’IA dans la lutte contre la corruption, envisageant un futur où la technologie sert de levier pour renforcer l’éthique et la transparence dans la sphère politique. En s’appuyant sur des analyses et des exemples concrets, nous examinerons comment l’intégration de solutions d’IA peut non seulement détecter et prévenir la corruption mais aussi favoriser une culture de responsabilité et d’intégrité, essentielle au bon fonctionnement des démocraties. L’objectif est double : d’une part, démontrer l’efficacité de l’IA comme outil de surveillance et de dissuasion contre les pratiques corruptives, et d’autre part, inviter à une réflexion plus large sur l’importance de l’éthique dans l’utilisation des nouvelles technologies.


Comprendre la corruption en politique


La corruption en politique est un phénomène complexe et multifacette qui s’infiltre à divers niveaux des structures de pouvoir et d’administration. Elle peut se manifester sous plusieurs formes, allant de la « petite corruption », où des individus sollicitent ou acceptent des pots-de-vin pour des services routiniers, à la « grande corruption », qui implique des actes commis à des niveaux élevés du gouvernement pour détourner d’importantes sommes d’argent ou influencer des décisions politiques majeures. Au-delà, la corruption systémique désigne un contexte où la corruption est enracinée dans l’ensemble du système politique et économique, affectant presque tous les aspects de la vie quotidienne et rendant les solutions ponctuelles inefficaces.


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Intelligence artificielle : un nouvel horizon dans la lutte contre la corruption


La corruption apparaît comme l’un des fléaux les plus pernicieux, s’infiltrant dans les strates du pouvoir et érodant les fondements de la confiance publique. Face à ce défi complexe, l’intelligence artificielle (IA) émerge comme une lumière d’espoir, offrant des outils novateurs pour déchiffrer, analyser et combattre efficacement ce phénomène ancien mais toujours d’actualité.


https://letempsdesruptures.fr/index.php/2024/02/21/intelligence-artificielle-un-nouvel-horizon-dans-la-lutte-contre-la-corruption/


McKinsey & Company : des prospectives s’ayant avérées contraires afin de justifier les conseils donnés à ceux pris dans son système de prédation et optimisation fiscale (évasion fiscale légalisée)


McKinsey analyse dans son rapport "Globalization in Transition" les nouvelles tendances de la mondialisation, en particulier l'émergence de chaînes de valeur mondiales remodelées par la demande croissante et les nouvelles capacités industrielles des pays en développement, ainsi que par les nouvelles technologies.


Pour comprendre comment le commerce, la production et la participation des pays aux chaines de valeur mondiales ont évolué entre 1995 et 2017, McKinsey Global Institute analyse 23 chaines de valeur mondiales réparties sur 43 pays et couvrant 96% du commerce mondial. Il met ainsi en évidence les mutations structurelles en cours dans la mondialisation :


• L’intensité des échanges diminue dans presque toutes les chaînes de valeur produisant des biens, bien que la production et les échanges continuent d’augmenter en valeur absolue. Entre 2007 et 2017, les exportations ont chuté de 28,1% à 22,5% de la production brute dans les chaînes de valeur de production de biens.


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Commerce mondial et mondialisation : McKinsey analyse les mutations en cours


Globalization in transition: The future of trade and value chains - McKinsey Global Institute, janvier 2019


https://www.rexecode.fr/conjoncture-previsions/veille-documentaire/document-de-la-semaine/commerce-mondial-et-mondialisation-mckinsey-analyse-les-mutations-en-cours


Dans le rapport «Mondialisation numérique: la nouvelle ère des flux mondiaux», James Manyika et Susan Lund de McKinsey discutent des tendances des échanges transfrontaliers de biens, services, finances, personnes, données et informations. Selon le rapport, les flux de données transfrontières devraient être multipliés par neuf d'ici 2020. D'autres résultats clés sont les suivants:


● Les flux mondiaux de biens, de services, de finances, de personnes et de données ont contribué à au moins 10% du PIB mondial, ajoutant 7.8 billions de dollars en 2014 avec des flux de données représentant 2.8 billions de dollars


● D'ici 2020, près d'un milliard d'acheteurs dépenseront 1 billion de dollars dans le commerce transfrontalier. Il y a déjà 1 millions de petites et moyennes entreprises (PME) sur les réseaux sociaux; 50 millions de PME font du commerce sur le site e-commerce Alibaba et 10 millions sur Amazon


● D'ici 2025, l'impression 3D pourrait déplacer certains échanges de produits manufacturés


● D'ici 2019, les connexions machine à machine devraient représenter plus de 40% des appareils et des connexions mondiaux


● Singapour en tête des dernières Indice de connectivité McKinsey MGI, qui quantifie les entrées et sorties de biens, de services, de finances, de personnes et de données. Singapour est suivie des Pays-Bas, des États-Unis et de l'Allemagne. La Chine est passée du n ° 25 au n ° 7


● Par 2025, MGI estime que les entreprises basées sur les marchés émergents représenteront 45% du classement mondial Fortune 500, contre 26% aujourd'hui


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Mondialisation numérique: la nouvelle ère des flux mondiaux - Rapport McKinsey


La mondialisation a atteint un tournant critique où la flambée des flux de données et d'informations génère désormais plus de valeur économique que le commerce mondial des marchandises.


https://www.the-digital-insurer.com/fr/library/digital-globalization-the-new-era-of-global-flows-mckinsey-report-by-james-manyik-and-susan-lund/


McKinsey & Company avant le déclanchement du Nouvel Ordre Mondial du 45-47ème Président des États-Unis imposant le bilatéralisme, l’immigration légale et la Paix par la Force :


McKinsey considère que la mondialisation n'est pas morte, mais se transforme, avec une évolution vers la « mondialisation numérique » et la revalorisation des flux de données, de services, et de personnes qualifiées par rapport aux seuls biens physiques. Le cabinet analyse comment les entreprises peuvent s'adapter à ce changement, marqué par des risques et opportunités, comme la réorganisation des chaînes de valeur et l'importance croissante des marchés émergents. 


Évolution de la mondialisation selon McKinsey


Mondialisation numérique : Les flux de données, de services et de personnes hautement qualifiées deviennent les moteurs de l'intégration internationale.


Reconfiguration des chaînes de valeur : Des éléments de régionalisation pourraient apparaître dans certains secteurs, mais le globe reste profondément interconnecté.


Changement de nature : Les échanges commerciaux ont montré une résilience, mais la mondialisation évolue, notamment avec l'accélération de l'automatisation et l'essor du commerce électronique transfrontalier.


Défis et opportunités : Les entreprises doivent s'adapter à ces nouvelles dynamiques qui présentent à la fois des risques et des opportunités, comme l'intégration des marchés émergents, qui représenteront une part croissante de la consommation mondiale. 


Analyse et conseils de McKinsey


Stratégies d'entreprise : McKinsey aide les entreprises à définir des stratégies pour naviguer dans ce nouvel environnement mondialisé, en tenant compte des risques et opportunités, et en identifiant les choix structurants pour leur avenir.


Analyse des chaînes de valeur : Le McKinsey Global Institute a analysé 23 chaînes de valeur mondiales pour comprendre les évolutions, la production et la participation des pays.


Impacts technologiques : Des tendances comme l'impression 3D ou l'Internet des objets (IoT) transforment les échanges et la production, amenant les entreprises à repenser leurs stratégies.


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Redéfinir les stratégies industrielles à l’aune des grandes mutations récentes


https://www.mckinsey.com/fr/our-insights/redefinir-les-strategies-industrielles-a-laune-des-grandes-mutations-recentes


En résumé, l’objectif de mettre en lumière le Pouvoir géo-cleptocrate mondial de McKinsey & Company est de révéler le contrôle exercé par ce cabinet-conseils sur les décisions législatives ou de gérance des gouvernements, sociétés d’État, corporations municipales et organismes subventionnés par des fonds publics. Dans le cas du Québec, seul un système de Démocratie directe pourrait renverser cette mainmise sur le Pouvoir de l’État québécois comme répertoriée dans le présent document.


Alors, on pourra donc assister, au cours des prochaines années, à la renaissance d’une structure sociale nationaliste-patriote plus balisée par ledit système de Démocratie directe, laquelle assumerait le Pouvoir encadré dans une Constitution déclarant dans son préambule le consensus de l’<< urgence de survie nationale >>. Cette priorité d’<< urgence de survie ethnique majoritaire >> est corroborée par le déclin du nombre d’habitants des Canadiens Français au Québec (de 81 % en 1960 à 59 % en 2026)(21) dû à des politiques immigratoires des gouvernements antipatriotes avides de Pouvoirs carriéristes et de statuts sociaux aux dépends des intérêts nationaux. Ce resurgi national des francophones << de souche >> peut s’identifier comme l’élan déclenché pendant la période de libération nationale qui avait réveillé la << conscience nationale >> et le << sens commun >> d’appartenir à une nation distincte en adhérant au processus politico-socioéconomique et culturel qui fut celui de la Révolution tranquille dès 1960 à 1995 :


Une démocratie moderne pour le Québec


Dans l'histoire du Québec, l'arrivée au pouvoir du gouvernement de Jean Lesage symbolise le début de profonds changements sociopolitiques. Inaugurant une ère de modernisation économique et politique, le Parti Libéral du Québec va amorcer plusieurs projets qui deviendront les piliers de l'État du Québec. Cette période que la mémoire collective québécoise a immortalisé dans sa célèbre expression - Révolution tranquille - fournit un point d'entrée pertinent dans l'étude de la démocratie québécoise. La Révolution tranquille réfère aux transformations qui ont tenté de mettre fin à un ensemble d'inégalités socioéconomiques. Moment de l'affirmation décisive de l'État provincial dans les affaires économiques, ce symbole de progrès représente la venue de nouvelles conditions de légitimation de l'ordre politique. Dans cette optique, on emprunte souvent l'expression pour désigner le projet qui a mobilisé un mouvement nationaliste québécois. On met alors l'accent sur une facette tout à fait cruciale de cette époque de la vie politique puisque la construction de l'État moderne et interventionniste du Québec a permis à la majorité francophone de mieux contrôler son avenir collectif


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Lobbying et démocratie : Le développement de l'action politique organisée au XXe et XXIe siècles


https://www.collectionscanada.gc.ca/obj/thesescanada/vol2/QQLA/TC-QQLA-27302.pdf


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Jean-Louis Pérez-Martel


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*. McKinsey & Company https://fr.wikipedia.org/wiki/McKinsey_%26_Company


La « consultocratie » fait référence à l'influence grandissante des cabinets de conseil, comme McKinsey, dans la prise de décisions gouvernementales. McKinsey est souvent au centre de polémiques liées à l'attribution de contrats publics sans appel d'offres, aux coûts élevés, à la qualité des prestations, et à d'éventuels conflits d'intérêts entre ses consultants et les fonctions publiques. Le cabinet a également été impliqué dans des scandales de corruption et a été critiqué pour son rôle dans des stratégies controversées. (information fournie par l’IA)


**. Afin de saisir l’importance de la structure actionnariale constituant le Pouvoir cleptocrate planétaire de la << Firme >> : Société privée : McKinsey & Company est une société privée dont les actions appartiennent exclusivement à ses employés depuis 1956. Elle n'est donc pas cotée en bourse et ne peut pas être achetée par des investisseurs externes.


Il faut, une fois de plus, rappeler que ce Pouvoir étant lié directement ou indirectement aux politiciens, ex-politiciens, hauts fonctionnaires ou ex-hauts fonctionnaires, la << néo-aristocratie mondialiste >>(8), est un système de captation des ressources fiscales, recettes des sociétés d’État ainsi que d’organismes publics subventionnés, sont détournées au profit exclusif (à prorata) de ceux constituant cette société mafieuse avec un chiffre d’affaires de 18,8 milliards de $ US en 2024 :


La cleptocratie (ou kleptocratie) est un régime politique où les dirigeants corrompus s'enrichissent en détournant les richesses de l'État à leur profit et à celui de leur entourage, en utilisant le pouvoir politique


Le terme est un dérivé du grec « klepto » (vol) et « cracy » (pouvoir), désignant littéralement le « pouvoir des voleurs ». Ces dirigeants pratiquent souvent le blanchiment d'argent à l'aide de paradis fiscaux pour dissimuler leurs gains.


(…).


Cleptocratie https://fr.wikipedia.org/wiki/Kleptocratie


1. Les rencontres organisées par McKinsey & Company en collaboration avec le Président du Forum Économique Mondial (Davos, Suisse) Klaus Martin Schwab(10), le même qui promeut << Le Grand Remplacement ou La grande réinitialisation >>, sont destinées à déceler ceux susceptibles d’être les plus carriéristes, transfuges et traitres dans leur pays respectif, afin de constituer une cohorte de mercenaires politico-économico-financiers devenant ainsi le Pouvoir géo-cleptocrate mondial, tel que révélé tout au long du présent document :


L'année 2022 a été marquée par une forte actualité mondiale, avec la guerre en Ukraine, l'inflation, le changement climatique, les difficultés d'approvisionnement et la COVID-19 qui ont monopolisé notre attention. Alors que nous nous préparons pour une nouvelle année et la réunion annuelle du Forum économique mondial qui se tiendra du 16 au 20 janvier, quels thèmes liés aux affaires, à l'économie et aux politiques publiques pouvons-nous nous attendre à voir émerger à Davos 2023 ?


Raju Narisetti de McKinsey Global Publishing, ancien membre du programme Young Global Leaders du Forum économique mondial (un groupe qui rassemble des professionnels du monde des affaires, des ONG et des organisations à but non lucratif du monde entier), a interrogé 15 jeunes leaders mondiaux et anciens membres sur les thèmes qui, selon eux, domineront l'agenda, ainsi que sur les sujets qui, à leur avis, seront insuffisamment traités et mériteraient davantage d'attention.


Pour en savoir plus sur les thèmes que les hauts dirigeants de McKinsey aborderont à Davos 2023, notamment la résilience, la mondialisation, la durabilité, l'inclusion, l'espace et bien plus encoreconsultez cette vidéo .


Programme des jeunes leaders mondiaux et de Davos 2023


À quoi peut-on s'attendre à Davos 2023 ? De jeunes leaders mondiaux, actuels et anciens, partagent leurs réflexions sur les sujets qui, selon eux, domineront l'ordre du jour de Davos – et sur ceux qui, à leur avis, devraient recevoir davantage d'attention.


https://www.mckinsey.com/featured-insights/world-economic-forum/young-global-leaders-on-davos-2023


McKinsey and the World Economic Forum 2025


Top decision-makers convene in Davos this week to address major global issues and priorities for the year ahead.


https://www.mckinsey.com/featured-insights/world-economic-forum/overview


2. Selon une lettre de la GSA datée du 26 juin que le Wall Street Journal et Bloomberg News ont pu consulter, ces cabinets vont devoir prouver la valeur ajoutée de leurs missions et proposer des économies, dans le cadre d’un examen global des dépenses fédérales visant à réduire le recours aux consultants externes et aux prestataires technologiques.


L’objectif affiché de l’administration générale des services est « d’évaluer de façon critique quels engagements apportent une valeur réelle et des rendements démontrables aux contribuables américains, méritant donc un soutien externe ». Les autres engagements seront probablement internalisés pour garantir que le gouvernement fédéral agit « en gestionnaire responsable de l’argent des contribuables et évite les dépenses inutiles ».


« L’hypothèse de base » de la GSA est que « la plupart, sinon la totalité des services sous-traités ne sont pas essentiels aux missions des différentes agences fédérales ».


Les cabinets de conseil doivent fournir « un aperçu complet de leurs engagements fédéraux, y compris les modèles de dépenses et les structures de prix pour tous les accords actifs et historiques ».


McKinsey veut démontrer « la valeur [que le cabinet apporte] à ses clients et au contribuable américain »


Le numéro 1 du conseil en strat mondial a déclaré « apprécier l’accent mis par le gouvernement fédéral sur la tarification basée sur les résultats, qui [correspond] à un modèle que [le cabinet adopte] souvent ».


Entre 2008 et 2025, le gouvernement fédéral et ses différentes agences se sont engagés à hauteur d’un milliard d’euros auprès du cabinet – sans que l’on puisse savoir combien McKinsey a effectivement perçu (idem pour les autres entités de conseil). Après un pic des dépenses envisagées en 2018 (142 millions de dollars), les recours ont progressivement diminué jusqu’à atteindre 55 millions de dollars en 2023, avant de remonter à 62 millions l’année suivante – et 15 millions en 2025 (à date).


Le BCG a, de son côté, décliné tout commentaire.


Depuis 2020 et l’alerte émise par l’Inspection générale de la GSA (avec annulation immédiate d’un contrat à échéances multiples), le cabinet a vu le volume de ses contrats fédéraux fondre comme neige au soleil. Si, entre 2008 et 2024, le gouvernement fédéral s’est engagé à hauteur de 848 millions de dollars auprès du BCG, rien n’a été acté pour 2025 à ce stade. Là où ses contrats devaient s’élever à près de 205 millions de dollars en 2020 et 176 millions l’année suivante, en 2023, ce n’était plus que 21 millions et, en 2024, un peu plus de 2 millions.


Pour Alvarez & Marsal, qui ne s’est pour l’instant pas exprimé sur le sujet, la situation est différente : les engagements du gouvernement fédéral à son égard – plus précisément de la GSA – s’élèvent à 119 millions de dollars en 2025. Depuis 2008, selon les données du site USAspending.gov, A&M (Federal) n’avait jamais été sollicité. 


Les 10 cabinets de conseil les plus prestigieux au monde (2025)


https://igotanoffer.com/blogs/mckinsey-case-interview-blog/top-consulting-firms#:~:text=The%20top%20fifteen%20biggest%20management,Group%20(BCG):%20$14.1billion


L’administration Trump somme McKinsey, le BCG et Alvarez & Marsal de justifier leurs contrats fédéraux


D’autres consultants – AlixPartners, Ernst & Young et FTI Consulting – sont aussi dans le viseur de l’Administration générale des Services (GSA). Les cabinets ont jusqu’au 11 juillet pour fournir les informations demandées.


https://www.consultor.fr/articles/ladministration-trump-somme-mckinsey-le-bcg-et-alvarez-marsal-de-justifier-leurs-contrats-federaux


3. L'affaire McKinsey (aussi appelée « polémique McKinsey », « scandale McKinsey » ou encore « McKinsey gate ») est un scandale politico-financier concernant les liens entre le gouvernement de la République française et le cabinet de conseil américain McKinsey & Company depuis les élections législatives françaises de 2017. Elle éclate en janvier 2021 alors que le gouvernement Jean Castex a massivement recours aux services de cette entreprise afin d'élaborer la politique vaccinale contre la Covid-19 en France. Cette affaire relance également la question du poids des sociétés de conseil dans les politiques publiques du pays. Depuis 2022, trois enquêtes du Parquet national financier à ce sujet sont en cours.


Contexte


Emmanuel Macron en 2015. Éric Labaye en 2018.


En 2007, Emmanuel Macron rencontre dans la commission Attali le président de McKinsey France, Éric Labaye, et Karim Tadjeddine, alors chef des consultants de McKinsey[1]. En 2010, Emmanuel Macron entre avec Karim Tadjeddine dans le think tank En temps réel. Les deux hommes y font la connaissance de Thomas Cazenave avec lequel ils travailleront sur son livre L'État en mode start-up publié en 2016. En 2017, Emmanuel Macron, devenu président de la République, place Thomas Cazenave à la tête de la Direction interministérielle de la transformation publique qui supervise notamment toutes les missions attribuées par l’État aux cabinets de conseil privés comme McKinsey[1],[2].


Par ailleurs, les MacronLeaks montrent qu'une dizaine de membres de McKinsey ont travaillé à l'élaboration du programme politique d'Emmanuel Macron pour sa campagne à l'élection présidentielle de 2017. Le parti politique d'Emmanuel Macron, LREM, affirme ne faire appel à aucun cabinet de conseil et le journal Le Monde a vérifié qu'aucune facture de la campagne pour la présidentielle ne concerne McKinsey. Interrogé par Le Monde début 2021, McKinsey préfère ne pas préciser si ses membres se sont engagés dans cette campagne « à titre personnel, bénévolement et sur leur temps libre »[2],[1]. En 2022, Les Décodeurs affirment que les consultants de McKinsey se sont investis sur leur temps libre[3]Le Journal du dimanche signale que Karim Tadjeddine apparaît dans les MacronLeaks avec son adresse mail de McKinsey et que, interrogé par le Sénat à ce sujet, il a plaidé une erreur[4].


Après l'accession d'Emmanuel Macron à la présidence de la République, certains des consultants ayant participé à la campagne rejoignent des postes d'influence au sein de la « Macronie »[3], notamment au parti LREM. En 2018, Emmanuel Macron nomme Éric Labaye président de Polytechnique[2],[3].


Un rapport de la Cour des comptes de 2018 prévient qu'« en matière de conseil stratégique, la qualité des travaux [de McKinsey] est souvent faible, les préconisations très générales et laconiques »[5].


Historique


Révélations médiatiques


En janvier 2021, une première polémique éclate lorsque Le Canard enchaîné révèle que la logistique du plan de vaccination pour contrer la pandémie de Covid-19 a été sous-traitée à McKinsey[1],[3],[6],[7]. Le rôle de McKinsey dans la gestion de la pandémie de Covid-19 en France en 2020 a été jugé déterminant par le gouvernement français en ce qui concerne la campagne de vaccination[8]. À la suite d'une polémique sur le coût de l'opération, Yannick Jadot demande une transparence complète sur la nature des contrats passés entre le gouvernement et la firme[9],[10].


En février 2021, Le Monde publie une longue enquête sur McKinsey & Company France qui révèle que son siège social est au Delaware (USA)[7],[8], pratique cependant courante aux États-Unis puisque la majorité des sociétés américaines, quelles que soient leur taille, y sont domiciliées[11]. L’entreprise n’y exerce aucune réelle activité — il s'agit d'une simple boîte aux lettres — mais ses revenus y sont déclarés, ce qui lui permet de payer 175 $ d’impôts par an[12],[5]. La société répond qu'elle « déclare ses activités en France, et paie la fiscalité directe et indirecte due chaque année[12] ». De son côté le Ministère de l'économie précise que McKinsey n'a pas payé d'impôt sur les sociétés en France entre 2011 et 2020[13],[14].


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Affaire McKinsey


https://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_McKinsey#:~:text=l'%C3%89tat%20a%20d%C3%A9pens%C3%A9%20plus,logement%2C%20l'assurance%20ch%C3%B4mage


4. McKinsey, une firme au cœur du pouvoir - Cash investigation


https://www.youtube.com/watch?v=ol3Jo3sL2Qs


5. Pour doper les ventes de l’OxyContin, McKinsey avait notamment recommandé à Purdue Pharma de se concentrer sur les dosages élevés, considérés comme les plus lucratifs, mais très addictifs.


(New York) Le cabinet de conseil américain McKinsey va payer 650 millions de dollars dans le cadre d’un accord avec le gouvernement des États-Unis pour, encore une fois, éviter un procès lié à son rôle dans la crise des opiacés qui a fait près de 800 000 morts depuis 1999.


Cet accord dit de poursuites différées (DPA), enregistré vendredi auprès d’un tribunal fédéral de Virginie, vise à mettre fin à des poursuites pénales après une surveillance de cinq ans.


Le prestigieux cabinet était accusé d’avoir contribué à la crise des opiacés en conseillant des groupes pharmaceutiques comme Purdue Pharma, fabricant de l’antidouleur OxyContin.


Il a reconnu avoir, « en toute connaissance et de manière intentionnelle, conspiré avec Purdue Pharma et d’autres pour aider et encourager à fournir une mauvaise communication sur des médicaments prescrits sur ordonnance », stipule le texte.


Et aussi d’avoir, « par les actions d’un haut responsable de McKinsey, détruit et caché en toute connaissance des archives et des documents » pour faire obstruction aux enquêtes.


Le groupe a licencié, rapidement après le début du scandale, deux salariés pour destruction de documents dans cette affaire.  


Le DPA précise également que McKinsey a déjà déboursé près d’un milliard de dollars dans le cadre de plusieurs accords conclus hors tribunaux depuis 2019 aux États-Unis.


« Nous sommes profondément désolés de nos services pour notre ancien client Purdue Pharma et des actes d’un ancien responsable qui a détruit des documents », a réagi McKinsey dans un communiqué.


« Cette terrible crise de santé publique et notre travail passé pour des fabricants d’opiacés seront toujours sources de profonds regrets », a-t-il poursuivi, soulignant avoir accepté dans le DPA « la responsabilité de (sa) conduite ».


Cet accord « clôt ce chapitre de l’histoire » de McKinsey.


Le procureur général de Virginie Chris Cavanaugh, lors d’une conférence de presse avec des homologues d’autres États et des enquêteurs, a relevé que c’était « le premier cabinet de conseil tenu pénalement responsable pour des conseils ayant entraîné la commission d’un crime par son client ».


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Crise des opiacés McKinsey va payer 650 millions de dollars pour éviter un procès pénal


https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/2024-12-13/crise-des-opiaces/mckinsey-va-payer-650-millions-de-dollars-pour-eviter-un-proces-penal.php


6. Démocratie directe https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9mocratie_directe


7. Après avoir perdu deux députés en deux jours, les conservateurs de Pierre Poilievre essaient de limiter les dommages en s’attaquant aux libéraux de Mark Carney, les accusant de tenter d'obtenir une majorité parlementaire par des moyens « non démocratiques ».


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Les conservateurs accusent Mark Carney de tactiques « non démocratiques »


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2206279/conservateurs-accuse-carney-tactiques-non-democratiques


Un homme en complet est debout devant un drapeau canadien.


Chris d’Entremont était député conservateur fédéral depuis 2019.


Le député d’Acadie-Annapolis Chris d’Entremont affirme que c'est lorsque les instances dirigeantes du Parti conservateur lui ont crié dessus qu'il s'est finalement décidé à rejoindre les rangs des libéraux.


Dans une entrevue accordée à CBC durant l’émission Rosemary Barton Live – sa première entrevue depuis qu’il a tourné le dos aux conservateurs –, Chris d’Entremont a tenu à expliquer son changement d’allégeance politique.


Selon cet élu, le leader en Chambre de l'opposition officielle, Andrew Scheer, et le whip du parti, Chris Warkentin, ont fait irruption dans son bureau et ont failli renverser son adjointe administrative lorsqu’ils ont appris mardi qu’il songeait à faire défection au Parti libéral.


Chris d’Entremont dit s’être fait crier dessus et traiter de traître.


<< Ça m’a vraiment poussé à un point où je me suis dit : "OK, ma décision est prise" >>, a-t-il expliqué dimanche.


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Se faire crier dessus, la goutte qui a fait déborder le vase pour d’Entremont


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2206467/chris-dentremont-liberal-acadie-annapolis


Un troisième vote de confiance


Le gouvernement libéral doit encore faire face à un ultime vote de confiance sur son budget au cours de la semaine du 17 novembre.


Avec l'arrivée de Chris d'Entremont au sein de leur caucus, les libéraux comptent maintenant 170 députés, ce qui les place donc à deux sièges d'une majorité. Les libéraux doivent néanmoins obtenir des votes de l'opposition, ou des abstentions, pour se maintenir au pouvoir.


Matt Jeneroux, qui n'a pas voté lors des deux votes de confiance cette semaine, n'a pas précisé s'il restera au sein du caucus conservateur jusqu'au printemps.


Depuis des semaines, des rumeurs circulaient à Ottawa, laissant entendre que certains membres du caucus conservateur de Pierre Poilievre envisageaient de rejoindre le camp gouvernemental et que l'équipe de M. Poilievre faisait pression pour les en dissuader.


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Le gouvernement Carney survit à un deuxième vote de confiance


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2206206/budget-vote-confiance-gouvernement-carney


8. Joe Biden (…). Il s'installe dans l'État du Delaware après avoir quitté sa ville natale avec sa famille en 1953. Diplômé en droit de l'université de Syracuse en 1968, il exerce la profession de juriste. Il est élu au conseil du comté de New Castle en 1970.


En 1973, élu dans le Delaware, il devient à 30 ans l'un des plus jeunes sénateurs des États-Unis de l'histoire. Il perd tragiquement son épouse Neilia et sa fille un mois après sa victoire, avant de se remarier avec Jill Jacobs en 1977. Au Sénat, considéré comme un démocrate modéré, il préside la commission judiciaire de 1987 à 1995, puis la commission des affaires étrangères à deux reprises entre 2001 et 2009.


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Qui est Joe Biden https://fr.wikipedia.org/wiki/Joe_Biden


De plus, McKinsey et Joe Biden sont liés de plusieurs manières : McKinsey a fourni des conseils à des agences gouvernementales sous l'administration Biden, mais a également fait l'objet de critiques et de contrôles, notamment des enquêtes menées par ProPublica concernant des conflits d'intérêts potentiels liés à ses travaux pour le gouvernement et ses clients dans l'industrie pharmaceutique, et dans le cadre de la loi fédérale qui a restreint le travail des consultants sur certains sujets.


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Congress Passes Bill to Rein in Conflicts of Interest for Consultants Such as McKinsey


President Joe Biden is expected to sign the legislation, whose Senate sponsors cited ProPublica’s reporting on McKinsey’s conflicts in working for both the FDA and opioid makers like Purdue Pharma.


https://www.propublica.org/article/congress-mckinsey-fda-purdue-pharma-conflicts#:~:text=The%20bill%20passed%20by%20unanimous%20consent%20in,*%20Purdue%20Pharma%20*%20Johnson%20&%20Johnson


9. En outre, McKinsey et Barack Obama ont collaboré à plusieurs reprises, notamment lors de sa transition et de sa présidence, alors que des employés de McKinsey ont occupé des postes clés au sein de l'administration, comme Nancy Killefer et Diana Farrell. De plus, la firme a été consultée pour des dossiers tels que le déploiement du site web de la loi sur les soins de santé et a produit des rapports pour l'administration Obama.


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Obama was briefed on McKinsey report on website problems: White House


https://www.reuters.com/article/world/obama-was-briefed-on-mckinsey-report-on-website-problems-white-house-idUSBRE9AI117/


Le président élu américain Barack Obama a annoncé mercredi la création d'un poste de contrôleur du Budget, chargé de surveiller à la loupe les dépenses de l'administration et leur bien-fondé.


Mis à jour le 7 janv. 2009


AGENCE FRANCE-PRESSE


«Notre problème n'est pas seulement un déficit de dollars, mais aussi un déficit de responsabilité et un déficit de confiance», a déclaré M. Obama lors d'une conférence de presse.Il a désigné à ces nouvelles fonctions Nancy Killefer, directrice au sein du cabinet de consultants McKinsey et ancienne secrétaire adjointe au Trésor dans l'administration du président Bill Clinton.


«Pendant la campagne, j'ai dit que nous devions assainir ce budget, ligne après ligne, en éliminantce dont nous n'avons pas besoin ou ce qui ne marche pas, et en améliorant ce qui fonctionn », a-t-il fait valoir pour justifier la création de ce poste de «chief performance officer» rattaché à la Maison Blanche.


Le déficit budgétaire des Etats-Unis pour l'exercice 2008/2009 devrait atteindre le montant exceptionnel de 1200 milliards de dollars, soit 8,3% du PIB, a indiqué mercredi le bureau du Budget du Congrès américain (CBO).


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Obama entend lutter contre le gaspillage


https://www.lapresse.ca/international/etats-unis/200901/07/01-815493-obama-entend-lutter-contre-le-gaspillage.php


Voici la lutte de Barack Hussein Obama contre le gaspillage : croissance exponentielle de la Dette publique des États-Unis de 10 150 milliards $ US à 18 750 milliards U S$ sous la présidence de l’imposteur-apostat traître Barack Hussein Obama (2009-2017)(10). L’augmentation de la Dette pendant la présidence de Joe Biden (2021-2025), la marionnette d’Obama, est passée de 25 800 milliards à 32 500 milliards (2021-2025), soit 15 300 milliards de $ US (48 % de la Dette historique) pour les trois mandats présidentiels de la mafia politique du Parti Démocrate << hors-la-loi >> :


Dette de l'État fédéral américain en milliards de dollars, prix courants, 1993-2011.



  • En septembre 2008, la dette de l'État fédéral américain atteignait la somme de 10 025 milliards de dollars américain soit environ 72 % du produit intérieur brut.

  • Le 30 septembre 2009, le niveau de la dette de l'État fédéral américain atteignait 11 776 milliards de dollars, soit environ 84 % du produit intérieur brut[7].

  • Le 1er juin 2010, le niveau de la dette de l'État fédéral américain atteignait 13 050 milliards de dollars, soit 88 % du produit intérieur brut projeté par le gouvernement pour l'année en cours[8].

  • Le 1er avril 2011, le niveau de la dette de l'État fédéral américain atteignait 14 251 milliards de dollars[9].

  • Le 15 novembre 2011, le niveau de la dette de l'État fédéral américain atteignait 15 033,6 milliards de dollars à la clôture des comptes quotidiens du Trésor[10].

  • En 2011 la dette de l'État fédéral américain a dépassé les 100 % du produit intérieur brut d'après une estimation du Fonds monétaire international[11].

  • Les dix premiers mois de l'exercice budgétaire, octobre 2011-juillet 2012, ont vu le déficit budgétaire atteindre 973 milliards de dollars, en baisse de 11 % par rapport à l'année précédente. La Maison blanche révise à la baisse son estimation du déficit pour l'exercice en cours, à 1 211 milliards de dollars, c'est-à-dire 7,8 % du PIB[12].

  • Le 29 octobre 2012, le niveau de la dette de l'État fédéral américain atteignait 16 199 milliards de dollars; le plafond de la dette est à cette date de 16 394 milliards de dollars.

  • Le 16 octobre 2013, le plafond de la dette a été porté à 16 700 milliards de dollars jusqu'au 7 février[13]. Le précédent plafond a été immédiatement dépassé[14].

  • Le 12 septembre 2017, le niveau de la dette de l'Etat fédéral atteignit le seuil des 20 000 milliards de dollars[15].


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Dette publique des États-Unis


https://fr.wikipedia.org/wiki/Dette_publique_des_%C3%89tats-Unis


10. Comment la << néo-aristocratie mondialiste >> se fait payer par les recettes des sociétés d’État et organismes publics subventionnés du Québec :


La conférence de Barack Obama à Montréal en 2019 a été financée principalement par la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, avec Bell comme partenaire majeur. D'autres organismes ont également contribué, comme la Caisse de dépôt et placement du Québec et les Conférences Evenko (qui ont organisé l'événement en association avec la Chambre).


Le 44e président des États-Unis, Barack Obama, était de passage à Montréal le 6 juin 2017, à l’invitation de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain. Il sera de retour dans la métropole le 14 novembre prochain.


La Caisse a dépensé 78 252 $ au total pour entendre pour le couple Obama : 38 011 $ pour Barack en 2017 et 40 241 $ pour Michelle en 2018. Rien… au total… : 130 000 dollars


https://www.lapresse.ca/affaires/2019-06-12/pres-de-130-000-pour-entendre-les-obama-a-montreal


L’ancien président Barack Obama et son épouse Michelle ont acheté pour 8,1 millions de dollars la luxueuse maison de Washington qu’ils louaient depuis leur départ de la Maison Blanche, a rapporté mercredi le Washington Post.


La demeure d’environ 800 mètres carrés est située dans le quartier tranquille et cossu de Kalorama, où réside également la fille la plus en vue de Donald Trump, Ivanka, et son mari Jared Kushner.


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Les Obama deviennent propriétaires à Washington


https://www.journaldemontreal.com/2017/05/31/les-obama-deviennent-proprietaires-a-washington-1


11. Klaus Schwab https://fr.wikipedia.org/wiki/Klaus_Schwab


Pour davantage d’information sur ce << néo-nazi >> et ses complices néo-féodaux, le livre intitulé Le grand reset n'aura pas lieu (Roland Hureaux, 2022) dévoile ce que la néo-aristocratie mondialiste voudrait réaliser :


Depuis 1971, se réunissent à Davos, luxueuse station hivernale suisse, les hommes les plus riches et les puissants du monde. Le Forum de Davos a été fondé par Klaus Schwab qui le préside encore. Après le début de la crise du Covid, il a écrit, avec Thierry Malleret, un livre appelé Covid : La Grande réinitialisation (Forum Publishing) devenu la Bible des mondialistes. Selon les auteurs, les mesures censées contrôler la pandémie, comme le confinement ou les autres restrictions des libertés ou de l'activité économique, ne sont qu'un galop d'essai avant les mesures encore plus radicales, ils jugent nécessaires pour combattre le réchauffement climatique, réchauffement dont ils ne retiennent que les hypothèses les plus extrêmes et les plus controversées. Ce projet est le Great reset selon lequel il faut rebondir sur le Covid, pour révolutionner l'économie, la société et la gouvernance du monde. Comme, hors du monde occidental, personne ne prend au sérieux ces perspectives, c'est un véritable programme d'autodestruction que les auteurs veulent imposer à l'Europe. L'auteur s'attache à démonter une à une les hypothèses et les propositions de Davos, le principal danger qui menace aujourd'hui le monde.


12. McKinsey & Company, les deux faces d’un système d’attrape victimes comme celles de la toile d’araignée tissée par l’arachnide comme explicité ici-bas :


La toile est composée de fils de soie collants capables de piéger les insectes volants. L'insecte qui se débat émet des vibrations à travers les fils de soie, alertant ainsi l'araignée de sa présence. Celle-ci le paralyse alors avec son venin et l'enveloppe de soie pour le consommer plus tard.


La toile de l'araignée possède deux faces : une face créatrice et une face prédatrice. D'une part, elle peut être vue comme une mère patiente, une reine et de l'autre comme une femme prédatrice. Dans son côté sombre, l'araignée est un rappel des aspects négatifs de votre personnalité ou de votre vie. (aperçu généré par IA)


13. Le néo-impérialisme communiste chinois s’est révélé qu’il se serve de membres de sa diaspora dans les pays gouvernés par la néo-aristocrate traître pour s’infiltrer dans l’appareil de l’État ainsi que dans les sociétés étatiques de haute valeur économico-stratégique(19) indissociables à l’expansionnisme géo-économique chinois. Cet autre cas d’infiltration du PCC prouve cette affirmation évoquée :


● Les services de renseignement canadiens ont informé le premier ministre Justin Trudeau, ainsi que plusieurs membres du Cabinet, que le Canada serait la cible d'une vaste campagne d'ingérence menée par la Chine, qui aurait notamment financé un réseau clandestin d'au moins 11 candidats aux élections fédérales de 2019.


● Des intermédiaires auraient versé des sommes d'argent à des candidats affiliés au Parti communiste chinois (PCC), des agents auraient été placés dans les bureaux des députés dans le but d'influencer les politiques, on aurait tenté de coopter ou de corrompre d'anciens fonctionnaires canadiens pour gagner en influence à Ottawa et des campagnes agressives auraient été menées pour nuire aux politiciens canadiens perçus comme une menace pour les intérêts de la Chine.


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Articles sur les allégations d'ingérence étrangère


Comparution du DGE sur l'ingérence étrangère dans les élections canadiennes devant le Comité permanent de la procédure et des affaires de la Chambre


https://elections.ca/content.aspx?section=abo&dir=comp/mar0223&document=p2&lang=f


14. COP30 : la Chine soutient l’action climatique, par intérêt économique aussi


Le premier pollueur au monde joue le jeu des négociations sur le climat, mais s’est fixé des objectifs modestes de baisse des émissions. Pékin estime faire sa part avec sa politique volontariste de développement des technologies décarbonées, pilier de la croissance économique du pays.


https://www.lemonde.fr/planete/article/2025/11/07/cop30-la-chine-soutient-l-action-climatique-par-interet-economique-avant-tout_6652648_3244.html


BELEM (Brésil), 13 novembre (Xinhua) -- La Chine a apporté une "grande contribution" au développement de technologies vertes innovantes et a soutenu les pays du Sud global dans leur lutte contre le changement climatique, a estimé mardi la ministre brésilienne de l'Environnement et du Changement climatique, Marina Silva.


"Nous sommes confrontés au problème du changement climatique, qui nécessitera une action coordonnée de tous les pays", a-t-elle déclaré à Xinhua, en marge de la 30e Conférence des parties à la convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (COP30), soulignant que les pays du Sud global "avaient un rôle à jouer".


Mme Silva a salué le rôle de la Chine dans l'innovation et la facilitation de l'accès aux technologies qui contribuent à réduire les émissions de gaz à effet de serre.


"La Chine a apporté une grande contribution, notamment parce qu'elle a su développer des technologies qui ont réduit le coût de l'énergie solaire et éolienne, et a apporté une contribution importante dans le domaine des voitures électriques. La contribution de la Chine va donc au-delà de ce qu'elle fait au niveau national", a-t-elle poursuivi.


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La Chine soutient le Sud global dans la lutte contre le changement climatique (ministre brésilienne)


https://french.news.cn/20251113/fb60d586cdc640afa9bc30134741c689/c.html#:~:text=BELEM%20(Br%C3%A9sil)%2C%2013%20novembre%20(Xinhua)%20%2D%2D%20La,ministre%20br%C3%A9silienne%20de%20l'Environnement%20et%20du%20Changement


L’échec de la COP30 à Belém au Brésil dû à l’absence des États-Unis au << canular >> du réchauffement climatique, se révèle parce que tout probablement la déclaration finale n’étant pas consensuelle par ladite absence sera suspendue en raison de l’<< incendie accidentel >> lors de l’avant-dernière journée de cette rencontre mondialiste au bénéfice des intérêts néo-impérialistes communistes chinois, de ses complices de la néo-aristocratie globaliste(22) et de leurs centaines d’ONG’S subventionnées par les fonds publics :


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Selon le ministre du Tourisme, l'incendie se serait déclaré près du pavillon chinois. Le feu se serait ensuite propagé dans les pavillons voisins, selon Samuel Rubin, l'un des responsables d'un pavillon dédié au divertissement et à la culture.


En entrevue avec le média local G1, le gouverneur de l'État du Pará, où se déroulait la COP30, Helder Barbalho, a déclaré qu'une panne de générateur ou un court-circuit dans un pavillon pourraient être à l'origine de l'incendie.


<< Cela va retarder le processus >>


Le site de la COP devrait rester inaccessible jusqu'à 20 h, heure locale. Une nouvelle qui inquiète les participants, en cette avant-dernière journée de la conférence.


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<< Cela va retarder le processus >>, s'est plaint à l'AFP un délégué manifestement inquiet, à l'extérieur du site. C'est un moment crucial où << l'on doit prendre des décisions >>, a-t-il ajouté.


Le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, s'est d'ailleurs dit convaincu, jeudi, qu’un « compromis est possible » à la COP30 pour répondre aux besoins d'adaptation aux changements climatiques des pays en développement.


Un incendie force l’évacuation du site de la COP30 au Brésil


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2208756/climat-cop30-bresil-belem-onu-sommet-incendie


Complément d’information sur l’<< arnaque du réchauffement climatique >> et ses prédateurs des fonds publics utilisés pour défrayer leur effort soutenu à cette << imposture organisée >> annuellement par les mêmes bureaucrates-voyageurs depuis 2015 au nombre de << 80 000 mains mortes >> des cinq Continents :


Un incendie fait dérailler les dernières 24 heures de négociations de la COP30


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2208756/climat-cop30-bresil-belem-onu-sommet-incendie


Le cynisme et la manipulation de la mafia bureaucratique à l’ONU ne laisse pas de doute quand elle défend et promotionne ses propres intérêts faisant tel que conseillé par McKinsey & Company, comme décrit dans l’information concernant les relations entre ce cabinet-conseil et l’organisation onusienne dans le présent document au sujet du climat :


Le secrétaire général de l’Organisation des Nations unies (ONU) a appelé les dirigeants du monde à placer les humains au-dessus des profits et à sortir des énergies fossiles.


António Guterres a demandé aux leaders des pays les plus riches de << suivre la science >>, jeudi matin, à son arrivée à la COP30 sur les changements climatiques à Belém, au Brésil.


<< Nous sommes au pied du mur, et le monde entier a les yeux rivés sur Belém. Les communautés en première ligne observent, elles aussi, impuissantes face aux inondations, aux récoltes perdues, aux moyens de subsistance anéantis >> et elles se demandent : combien de temps devrons-nous encore souffrir? a lancé le secrétaire général de l’ONU au début de son discours.


<< Après des décennies de déni et de délais de la part de beaucoup, la science nous dit qu’un dépassement temporaire de 1,5 degré – au plus tard au début des années 2030 – est devenu inévitable. Nous savons ce que cela signifie : plus de chaleur et de famine, plus de catastrophes et de déplacements de population et un risque accru de franchir des points de basculement climatique, provoquant des dégâts irréversibles. >>


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COP30: l’ONU appelle les dirigeants à placer les vies humaines au-dessus des profits


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2208757/cop30-onu-appelle-dirigeants-placer-vies-humaines-avant-profits


De plus, afin de saisir l’imposture et la supercherie orchestrée par la mafia bureaucrate de l’ONU et ses complices des ONG’s de la << gauche caviar >> mondialiste concernant le << canular >> du réchauffement climatique initialement projeté par le néo-impérialisme communiste chinois contre l’Occident, il faut mettre en évidence comment les pays sans ressources d’hydrocarbures et ceux les possédant s’organisent pour faire de ce << canular >> une affaire consensuelle de prédation de fonds publics :


Retardées par un incendie, les chaotiques négociations climatiques de la COP30 entre près de 200 pays sont entrées vendredi dans leur dernier jour dans l'Amazonie brésilienne, sans consensus en vue entre des camps qui restent très opposés sur les énergies fossiles.


La présidence brésilienne de la 30e conférence de l'ONU sur le changement climatique, qui se tient à Belém depuis la semaine dernière, a mis sur la table, au dernier jour de la conférence internationale sur le climat, un projet de texte avec une grande omission : il ne contient pas le mot << fossiles >>, et encore moins la création de la << feuille de route >> réclamée par au moins 80 pays européens, latino-américains ou insulaires.


<< C'est loin de l'ambition dont nous avons besoin sur l'atténuation. Nous sommes déçus du texte qui est actuellement sur la table.>> -- Wopke Hoestra, commissaire au climat


<< Ce texte est décevant : il ne fait aucune mention des énergies fossiles, qui sont responsables de plus de 80 % du réchauffement climatique. C'est une omission incompréhensible à l'heure de l'urgence climatique >>, a déclaré la ministre française de la Transition écologique, Monique Barbut, dans un message à l'AFP.


Le projet a immédiatement été rejeté par des ONG. << C'est comme une page blanche, il y a si peu pour combler le manque d'ambition pour en rester à 1,5 °C de réchauffement, ou pousser les pays à accélérer l'action >>, a réagi Tracy Carty de Greenpeace. Il est extrêmement décevant, selon WWF.


La Chine, l'Inde, l'Arabie saoudite, le Nigeria et la Russie se sont fermement opposés à toute feuille de route, selon un négociateur sous couvert d'anonymat.


Dans la nuit, une trentaine de pays, dont la France, l'Allemagne et la Colombie, avaient jugé cela inacceptable et menacé de bloquer le projet, dans une lettre adressée au président de la conférence, André Correa do Lago.


<< Nous ne pouvons pas soutenir un texte qui n'inclue pas de feuille de route pour une transition juste, ordonnée et équitable vers la sortie des combustibles fossiles >>, ont-ils écrit.


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Les nations s’opposent sur les énergies fossiles à la COP30 en Amazonie


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2208937/nations-opposes-energies-fossiles-cop30-amazonie


Près de 200 pays réunis en Amazonie brésilienne ont adopté samedi à la COP30 un modeste consensus sur l'action climatique sans plan de sortie des énergies fossiles, un résultat jugé prévisible dans une année bouleversée par les rivalités géopolitiques.


Près de 200 pays réunis en Amazonie brésilienne ont adopté samedi, à la COP30, un modeste consensus sur l'action climatique sans plan de sortie des énergies fossiles, un résultat décevant pour l'Europe mais salué par d'autres dans une année bouleversée par les rivalités géopolitiques.


Le Brésil espérait un symbole en Amazonie. Il a réussi à montrer que la coopération climatique n'est pas morte alors que les batailles douanières et les guerres ont pris le pas politiquement sur le climat pour de nombreux gouvernements. Les États-Unis étaient le seul grand pays absent à Belém.


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COP30 : un accord climatique sans plan de sortie des énergies fossiles


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2209189/cop30-accord-climatique-energies-fossiles


15. Depuis les années 1995, à partir du référendum volé par la mafia politique PLC-PLQ et ses complices antipatriotes et traîtres canadiens français, le phénomène politico-prédateur des biens publics et législatifs dans l’alternance du Pouvoir de l’État québécois a été une constante que l’on peut qualifier aujourd’hui de << corruptocratie >>. Si ce système politique mafieux n’est pas extirpé par le Pouvoir nationaliste-patriote qui << surgira >> lors des élections générales de 2026, la Nation Canadienne Française sera acculée à disparaitre comme tant d’autres nations ayant succombé à ce phénomène de corruption institutionnalisée. (Montesquieu l’avait bien explicité dans son fameux et percutant ouvrage intitulé De l’esprit des lois, publié 1748).


Cet autre exemple est symptomatique par l’ampleur du saccage perpétré (40 milliards de dollars) en connivence entre politiciens véreux et d’antipatriotes au service des corporations anti-canadiennes-françaises :


La Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ), c’est notre bas de laine, elle assure nos retraites. Les gestionnaires doivent s’y comporter en bon père de famille, selon l’expression consacrée. Cette façon de faire changera avec l’arrivée d’Henri-Paul Rousseau, entré à la CDPQ en « démolisseur » et avec une « mentalité de casino ». Il ne se gênera pas pour chambarder les structures de la Caisse et tenter de la mettre au service de l’empire Desmarais.


« Son bilan à la présidence de la Caisse de ­dépôt est de loin le pire de tous ses prédécesseurs », affirme Richard Le Hir. Il nous a fait ­perdre 40 G$, soit le quart des actifs accumulés par la Caisse depuis sa création en 1965. Il faut préciser que le gouvernement Charest avait ­modifié la loi de la Caisse en 2004 « pour qu’elle privilégie le rendement avant tout ».


Le Hir a cherché à savoir comment un gestionnaire dont la réputation semblait au-dessus de tout soupçon a pu nous tromper à ce point en cours de mandat. À qui profite le crime?


(…).


Un « siphonneur » mort de rire


https://www.journaldemontreal.com/2014/04/12/un--siphonneur--mort-de-rire


16. Face au centralisme colonisateur politico-financier et de politique immigratoire imposé par Ottawa, incompatible aux intérêts nationaux du Québec


La survie nationale des Canadiens Français par l’adhésion étatique du Québec aux États-Unis d’Amérique


Pourquoi dans l’actuel contexte de dualisme économico-géostratégique Trump vs Jinping-Poutine*, l’État québécois deviendra plus décadent et paupérisé


https://vigile.quebec/articles/la-survie-nationale-des-canadiens-francais-par-l-adhesion-etatique-du-quebec


Cet autre échec du Bloc Québécois demandant une augmentation, telle que rapportée ici-bas, lors de la votation pour l’approbation du premier budget du gouvernement de Mark Carney, est, une fois de plus, la preuve que la Nation Canadienne Française doit prendre l’urgente décision de sortir de l’actuel système fédéral centraliste et discriminatoire, sachant que le Québec a contribué en 2024 avec 92 milliards de dollars à ce fédéralisme usurpateur :


(…).


Enfin, le Bloc québécois est la seule formation à avoir rejeté le budget à l'unanimité, ses 22 députés ayant tous voté contre le plan de Mark Carney. Les bloquistes dénoncent notamment l'absence d'une hausse de la pension de vieillesse pour les aînés de 65 ans à 74 ans, au même titre que l'augmentation des prestations des personnes de 75 ans et plus.


(…).


Le gouvernement Carney survit au vote de confiance sur son premier budget


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2208084/vote-confiance-mark-carney-chambre-communes-budget


17. Qui donc peut douter de l’importance géo-politico-stratégique, socioéconomique, financière, technologique…, de l’Intelligence Artificielle (IA) dans le développement des nations faisant face contre la géo-criminalité, facteur exponentiel en raison de la décapitalisation de leur économie, décadence industrielle et de ruine socioculturelle nationale(19) :


Le conglomérat sud-coréen Samsung a dévoilé dimanche un plan d'investissement de 310 milliards de dollars américains sur cinq ans destinés à répondre à la demande croissante alimentée par l'essor mondial de l'intelligence artificielle (IA).


Dans le cadre de ce plan, Samsung a approuvé la construction de Pyeongtaek Plant 5, une nouvelle installation de production de semi-conducteurs conçue << pour répondre aux besoins en puces mémoire >>, a précisé son communiqué.


<< Une fois la chaîne de production n° 5 entièrement opérationnelle, l'usine de Pyeongtaek devrait jouer un rôle encore plus stratégique dans la chaîne d'approvisionnement mondiale des semi-conducteurs et dans l'écosystème national des puces en Corée du Sud. >>


(…).


Samsung investit 434 milliards $ pour stimuler l’expansion de l’IA


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2207963/samsung-investissement-intelligence-artificielle-coree


18. La prédation des ressources fiscales, la surfacturation des travaux publics, l’endettement et les subventions illicites représentent au moins 35 milliards de dollars par année dans les trois administrations publiques : fédérale, provinciale et municipale. Au Québec, le saccage de ces ressources fiscales est d’environ 6 milliards de dollars par année.


Autre exemple de tractations économico-financières alégales impliquant des ingénieries politico-juridico-législatives favorisant ceux détenant le Pouvoir de l’État et leurs complices :


Le greffier du Conseil privé, Michael Sabia, a jugé nécessaire de vendre ses actions dans Brookfield Asset Management, une société que Mark Carney présidait avant de se lancer en politique. Il n’était pas obligé de prendre cette décision, mais il dit l’avoir fait pour « protéger » le premier ministre.


(…).


Conflits d’intérêts : Sabia a vendu ses actions de Brookfield pour « protéger » Carney


Le greffier du Conseil privé est responsable de coadministrer le filtre anti-conflits d’intérêts du premier ministre.


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2208778/sabia-actions-brookfield-carney


19. Comment le 45-47ème Président des États-Unis, Donald J. Trump, le patriote-humaniste, anéantira, avec son Secrétaire d’État et bras-droit, l’anti-socialo-communiste Marco Rubio, les cartels des trafics de drogues implantés dans les narco-États en Amérique du Sud :


Les États-Unis prévoient classer comme groupe terroriste étranger un supposé cartel dirigé selon eux par le président vénézuélien Nicolás Maduro, a annoncé dimanche le secrétaire d'État américain, Marco Rubio, en pleine crise entre les deux pays.


Le cartel de los Soles [cartel des Soleils, NDLR] ainsi que d'autres organisations terroristes étrangères désignées, dont Tren de Aragua et le cartel de Sinaloa, sont responsables de violences terroristes dans notre hémisphère et de trafic de drogue vers les États-Unis et l'Europe, a déclaré M. Rubio dans un communiqué.


Il a également réitéré une affirmation américaine selon laquelle le cartel de los Soles serait dirigé par Nicolás Maduro et par d'autres hauts fonctionnaires qui ont corrompu l'armée, les services de renseignement, le pouvoir législatif et le pouvoir judiciaire du Venezuela.


(…).


Washington veut classer un supposé cartel lié à Nicolás Maduro comme groupe terroriste


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2207978/cartel-nicolas-maduro-terroriste-marco-rubio


20. Un ancien chercheur d'Hydro-Québec, accusé d'espionnage économique, a déclaré jeudi qu'il postulait pour des postes universitaires en Chine par précaution, car il était insatisfait de son travail à Hydro-Québec.


Yuesheng Wang, 38 ans, a maintenu lors de son contre-interrogatoire qu'il n'y avait rien de répréhensible dans son désir de retourner en Chine. Il a expliqué que cela était lié au refus d'Hydro-Québec de prolonger son visa de travail de plus d'un an et à son expérience dans un institut lié à la société d'État vers 2017 et 2018.


<< À cette époque, je me disais que si je n'étais pas heureux à Hydro-Québec, retourner en Chine comme professeur titulaire était une des solutions possibles. >> -- Yuesheng Wang


La Couronne a soutenu que Yuesheng Wang, alors qu'il travaillait à Hydro-Québec, avait envoyé sa candidature à des universités chinoises dans le cadre du programme des Mille Talents, un outil de recrutement utilisé par le gouvernement chinois pour inciter les scientifiques formés à l'étranger à revenir travailler en Chine.


La Couronne allègue que Yuesheng Wang a utilisé des recherches exclusives d'Hydro-Québec sans autorisation, mais celui-ci affirme n'avoir divulgué aucun secret d'État.


(…).


L’homme accusé d’espionnage aurait été mécontent chez Hydro-Québec


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2206059/accuse-espionnage-economique-hydro-quebec-mecontent


21. Une étude prévoit que les Québécois d’ascendance canadienne-française, couramment appelés les Québécois «de souche», deviendront minoritaires dans la province d’ici 2042. Quels enjeux d’intégration des immigrants cela pourrait-il poser dans une optique de protection de la langue française?


Le poids démographique des Canadiens français dans la province aurait déjà chuté de 79% à 64,5% entre 1971 et 2014, selon une étude du chercheur indépendant Charles Gaudreault. Mise en ligne l’an dernier, celle-ci paraîtra prochainement dans l’édition papier de la revue académique Nations and Nationalism, après avoir été révisée par des pairs.


(…).


Les Québécois «de souche» seront minoritaires. Des enjeux d’intégration à prévoir?


https://journalmetro.com/actualites/national/2583896/quebecois-de-souche-minoritaires-integration-difficile/#:~:text=Zacharie%20Goudreault%20%2D%20M%C3%A9tro&text=Une%20%C3%A9tude%20pr%C3%A9voit%20que%20les,%C3%A9t%C3%A9%20r%C3%A9vis%C3%A9e%20par%20des%20pairs.


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Pourtant, ce déclin démographique national impliquant le statut de minorité politique n’aura pas lieu puisque comme il s’est avéré plus d’une fois, le sentiment d’appartenir à une communauté ethnique distincte est profondément enraciné dans l’Histoire des Canadiens Français. En effet, ce peuple résilient, paisible et déterminé a prouvé tout au long de la vie politique l’ayant mis au défi de choisir entre différentes propositions de gérances gouvernementales de parvenir avec sa sagesse démocratique à faire virer les partis détenant le Pouvoir étatique du Québec ayant agi contrairement aux intérêts nationaux.


En ce sens, mentionnons la disparition de partis politiques ou absence de représentation à l’Assemblée Nationale du Québec depuis la constitution de celle-ci en 1792(23) en consultant :


Parti politique du Québec


https://fr.wikipedia.org/wiki/Parti_politique_du_Qu%C3%A9bec


22. Le marché du carbone rapporte une cagnotte record au gouvernement du Québec, qui a empoché plus de 1,5 milliard de dollars en un an, rapporte Le Devoir. Ces fonds, issus principalement de la vente aux enchères de droits d'émission du Système de plafonnement et d'échange des émissions de gaz à effet de serre (SPEDE), doivent légalement être reversés au Fonds d'électrification et de changements climatiques pour financer des mesures environnementales. 


9 mars 2024 — Le gouvernement du Québec a engrangé plus de 1,5 milliard de dollars en provenance du marché du carbone l'an dernier. Un montant record qui lui ...


Le marché du carbone rapporte une cagnotte record à ...


https://www.ledevoir.com/actualites/environnement/808733/budget-quebec-2024-marche-carbone-rapporte-cagnotte-record-quebec


De plus, des références mettant en cause les compétences politico-financières de François Legault, ses collaborateurs infiltrés dans l’appareil de l’État québécois et ses sociétés publiques : dès la privatisation de Provigo en 1998 au Panier Bleu de 2020 et celle du fiasco de la filière batterie en 2025 :


● La Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ) aurait-elle dû empêcher la vente de Provigo en refusant de déposer ses actions à Loblaw en 1998? La transaction de 1,74 G$ a-t-elle été néfaste pour l'économie québécoise?


Ces questions sont de retour dans l'actualité depuis que Jean Charest, dans le cadre d'un face à face diffusé à TVA mardi soir, a attaqué son adversaire François Legault sur la prise de contrôle survenue il y a près de 15 ans.


(…).


Vente de Provigo à Loblaws: «un désastre»


https://www.tvanouvelles.ca/2012/08/22/vente-de-provigo-a-loblaws-un-desastre


● Maintenant, il faut que nos élus prennent Le Panier Bleu comme un exemple à ne pas suivre. Les Québécois sont ouverts sur le monde. Ils fréquentent et utilisent les mêmes sites que les Canadiens anglais ou les Américains.


On a beau dire que le Québec est une société distincte, mais lorsqu’on parle d’acheter des produits sur le web, nous sommes bien des Nord-Américains.


Quand Eric Girard va présenter son budget déficitaire au printemps, rappelez-vous que le gouvernement a gaspillé 16 millions pour rien dans Le Panier Bleu.


Le Panier Bleu: 16 M$ jetés dans le feu!


https://www.journaldemontreal.com/2024/02/22/panier-bleu-16-m-jetes-dans-le-feu


En 2022, le Premier ministre québécois, François Legault, vantait un « projet de génération ». Il voulait faire de sa province la plaque tournante nord-américaine des batteries électriques, de la mine au recyclage. Le Québec, doté d'un vaste potentiel hydroélectrique, voulait miser sur cette énergie propre pour bâtir une industrie verte. Mais trois ans plus tard, l'élan s'est brisé.


De l'usine de nickel à la gigafactory de batterie, des pans entiers de la chaîne de valeur de la batterie s'effondrent, façon domino. A commencer par le projet québécois de Northvolt, le fabricant suédois de batteries qui a fait faillite au printemps 2025. Selon les estimations du secteur, près de 30 % des investissements publics dans ce domaine encore prometteur il n'y a pas si longtemps, soit environ 435 millions de dollars, ont déjà été perdus.


C'est à Bécancour, petite ville industrielle située entre Montréal et Québec, que la filière devait prendre son envol. Hélas, les annonces triomphales ont laissé place aux désillusions. L'entreprise Ultium Cam (coentreprise entre l'américain GM et le coréen Posco) était soutenue à hauteur de 150 millions par le gouvernement du Québec et autant par Ottawa afin de doubler sa production de matériaux actifs pour batteries. Elle a suspendu la phase 2 de son projet, évaluée à 600 millions. En conséquence, le géant brésilien Vale a mis fin à son propre projet d'usine de sulfate de nickel de 325 millions de dollars qui devait fournir Ultium Cam.


(…).


Fitzgibbon plaide pour un virage vers la Chine


Pour sauver ce qui peut l'être, certains prônent un revirement complet de stratégie. Dans un entretien pour le « Journal de Montréal », Pierre Fitzgibbon, ancien ministre de l'Economie du Québec, propose de rouvrir le marché canadien aux véhicules chinois pour attirer des investisseurs comme BYD ou CATL. Ces derniers sont actuellement soumis à une taxe d'importation de 100 %. Une suggestion risquée, dans un contexte où Ottawa comme Washington cherchent au contraire à réduire leur dépendance à Pékin.


(…).


« Tout peut s'écrouler comme un château de cartes » : au Québec, le rêve d'une filière batterie québécoise semble s'évaporer


Le rêve québécois d'une filière batterie s'effondre. Retards, faillites et projets suspendus s'accumulent. Alors que 1,5 milliard de dollars ont été investis, le gouvernement tente de rassurer, mais les milieux d'affaires s'inquiètent d'une stratégie industrielle en perte de vitesse.


https://www.lesechos.fr/industrie-services/automobile/tout-peut-secrouler-comme-un-chateau-de-cartes-au-quebec-le-reve-dune-filiere-batterie-quebecoise-semble-sevaporer-2198725


Quand le << super-ministre >> Pierre Fitzgibbon, ancien responsable de l'Économie du Québec, recommande d’ouvrir le marché canadien aux exportations des voitures électriques chinoises, l’Union Européenne veut sortir du << piège >> tendu par le régime néo-impérialiste communiste de Xi Jinping :


Il n'y a pas que les terres rares qui font l'objet d'un chantage chinois à l'approvisionnement. Dans la longue liste des exportations menacées de contrôles depuis la rentrée, Pékin a aligné de très nombreux produits servant à la fabrication des batteries pour voitures électriques. La Chine tient là une arme redoutable : elle domine tout le secteur, de l'extraction du lithium à la conception des machines équipant les gigafactories de batteries.


Début octobre, au plus fort des dernières tensions entre Xi Jinping et Donald Trump, Pékin a annoncé soumettre aux contrôles à l'exportation, à partir du 8 novembre, une liste longue comme une limousine de produits indispensables à la fabrication de batteries. Finalement, ces mesures ont été suspendues juste avant d'entrer en vigueur, en même temps que pour les terres rares.


(…).


« Il faut sortir de ce piège » : la Chine menace l'Europe d'un chantage à l'approvisionnement de sa filière batterie


La Chine envisage de contrôler l'exportation des matériaux de fabrication. L'industrie automobile européenne renâcle cependant à payer plus cher pour relocaliser en Europe ses fournisseurs et ne plus dépendre de la Chine.


https://www.lesechos.fr/industrie-services/automobile/il-faut-sortir-de-ce-piege-la-chine-menace-leurope-dun-chantage-a-lapprovisionnement-de-sa-filiere-batterie-2198817


Tous ces échecs, parmi tant d’autres, montrent l’incompétence dans l’administration des biens et fonds publics se chiffrant par des milliards de dollars en pertes de capitalisation, contrôle des secteurs stratégiques et de spoliation financière des sociétés d’État.


23. Quel serait l’avenir démocratique du Québec sans la participation majoritaire des Canadiens Français à l’Assemblée Nationale du Québec pour la défense et promotion des intérêts nationaux ? Peuple fier de l’être constamment trahi par les gouvernements antipatriotes tout au long de son Histoire, sauf le gouvernement qui allait être constitué lors de la Rébellion des Patriotes en 1837, lequel allait le libérer du colonialisme britannique, qui depuis 188 ans attend encore de l’être :


Le Québec est l'une des démocraties qui pratique le parlementarisme depuis le plus longtemps au monde. En effet, la première législature du Bas-Canada ouvrit en 1792 au palais épiscopal du diocèse catholique de Québec, plus précisément le 17 décembre[1]. La première élection eut lieu du 24 mai au 10 juillet 1792[1]. Cinquante députés furent élus, comparativement à 125 aujourd'hui[1]. Le Parlement fut alors nommé Chambre d'assemblée du Bas-Canada. Le premier orateur élu fut Jean-Antoine Panet[1].


(…).


Assemblée nationale (Québec)


https://fr.wikipedia.org/wiki/Assembl%C3%A9e_nationale_(Qu%C3%A9bec)


 



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