Les médias viennent de révéler tout ce que le premier ministre Jean Chrétien a manigancé en 1995 pour faire en sorte que des dizaines de milliers de nouveaux résidents obtiennent leur citoyenneté de façon accélérée afin de leur permettre de voter contre le Oui au référendum sur l'indépendance du Québec de 1995. On s'est fait enfirouaper sur un temps rare.
À lire: La seule raison d'être de l'indépendance: donner un pays à sa nation

Ci-dessus: le diable rouge libéral en action

Ci-dessus: empoignade amicale avec un jeune souverainiste. Le diable rouge libéral en action

Dans plusieurs pays actuellement en voie de réaliser leur indépendance, une telle tromperie, une telle bassesse ne seraient jamais admises. Pour pouvoir voter, il faut répondre à de nombreux critères restrictifs, précisément pour que ce soit les membres de la nation concernée qui prennent leur décision entre eux, mais pas des bandes de parachutés étrangers aux mauvaises intentions comme ce fut le cas en 1995.
À lire: Pour une consultation annuelle sur l'opportunité d'un référendum

En outre, dans certains pays, on exige par exemple qu'il faut y avoir résidé, travaillé et payé des impôts un certain nombre d'années avant de mériter le droit de vote. Ce n'est pas automatique. Ce n'est pas dès le départ. En Nouvelle-Calédonie, c'est 10 ans de domicile.
À lire: Indépendance du Québec : inspirons-nous de la Catalogne lors du prochain référendum

En Nouvelle-Calédonie dont les natifs Kanak tentent de s'affranchir de la France colonisatrice, les Français qui y habitent ne pourront voter au référendum, cela tombe sous le sens. Car c'est précisément d'eux dont les natifs veulent de débarrasser.
À lire: Qui devrait être autorisé à voter lors du référendum sur l'indépendance du Québec?

Le premier ministre québécois M. Jacques Parizeau avait vu clair dans le jeu de l'adversaire à l'époque en déclarant que l'échec (de justesse par quelques votes) était dû "aux anglos (incluant tous ces Canadiens parachutés d'autres provinces) et au vote ethnique (les nouveaux résidents arrivés massivement les derniers mois et accrédités par le Grand Filou)"; c'était effectivement le cas, les dernières révélations le confirment.
À lire: Le vote ethnique et l'argent des Anglos nous ont fait perdre notre pays du Québec

On voit clairement maintenant avec ces révélations de filoutage électoral que ce sont ces votes d'étrangers ne connaissant rien de notre réalité et de nos luttes légitimes qui nous ont empêché de prendre notre destinée nationale en main. Quel revers tragique.
À lire: Pas question de laisser voter les ennemis du Québec au prochain référendum

Considérant cet état de fait, si on refait les calculs, si on soustrait le nombre de votes de ces bandes d'imposteurs, on s'aperçoit que c'est le Oui qui l'emporte maintenant! Si on y ajoute tous les nouveaux immigrants arrivés depuis 10 ans qui n'auraient pas dû avoir droit de vote comme cela se fait dans les autres pays comme la Nouvelle-Calédonie (10 ans requis), le Oui serait encore plus Oui. Nos règles n'étaient pas suffisamment restrictives pour représenter fidèlement la nation concernée, avec le résultat funeste que l'on connaît.
À lire: Critères pour voter au référendum utilisés en Nouvelle-Calédonie en 2023

Donc, théoriquement, on peut affirmer le peuple s'est prononcé majoritairement en faveur de la souveraineté de la nation québécoise en 1995. Cela fait alors de nous une nation libre et libérée du joug du Canada depuis lors. C'est à nous de revendiquer cette correction des chiffres et d'en assumer les conséquences favorables à la noble cause. Qu'on reconnaisse le fait que le Québec est un pays souverain!
À lire: À défaut de l’indépendance, déclarons le Québec État autonome dès maintenant

Le parti libéral fédéral de Jean Chrétien nous a volé notre pays et notre essor national en appliquant des manigances honteuses et déloyales. Le résultat réel peut maintenant être rectifié et considéré comme le vrai à inscrire dans les manuels d'histoire. Plus de Oui que de Non.
À lire: 12 nouvelles raisons de faire l'indépendance du Québec en 2025

Raison de plus pour prendre notre revanche au prochain référendum de 2026. On ne nous la referra pas, oh que non. Ce sera Oui sur toute la ligne.
et: Abaissons l'âge de voter à 16 ans pour le référendum

À lire: Pronostic favorable: l'indépendance du Québec possible entre 2026 et 2030

Note: cliquez sur les termes surlignés en bleu pour approfondir davantage votre réflexion sur le sujet












Laissez un commentaire Votre adresse courriel ne sera pas publiée.
Veuillez vous connecter afin de laisser un commentaire.
Aucun commentaire trouvé