De la radicalisation des propos... août 2015
26 août 2015
Je partage également votre opinion sur toute la ligne.Je la partage sans aucun mais...et même plus !
Le bavardage tenant lieu d'information
Qui posera un jour des questions aux libéraux sur leur passé récent
Les propos indignes de certains journaleux
Les propos de Mme Marois passés sous silence
La fidélité
Plaidoyer auprès des purs et durs.
D'abord exister, puis se défendre !
Défendre les souches, ces xénophobes
Cesser de tourner en rond
La plus dure et la plus impitoyable.
Au delà des Valeurs
Les indépendantistes ne sont plus seuls
Au diable les belles-mères
Vers la mère de toutes les batailles.
Charte des valeurs québécoises
De l'étincelle à la conflagration
Une charte québécoise
Ni sabordement, ni fuite en avant
La grande leçon servie à Marc Bergevin
26 août 2015
Je partage également votre opinion sur toute la ligne.Je la partage sans aucun mais...et même plus !
24 août 2015
Bon, o.k., Gilles Duceppe ne peut pas dénoncer les sondages. Va pour les sondages alors.
Il ne peut pas non plus dénoncer P. Couillard, qui reste malgré tout le premier ministre du Québec. Cela irait contre les « intérêts » mêmes que Gilles Duceppe entend défendre auprès de nos amis canadiens. Va encore pour Couillard !
Évidemment, Gilles pourrait dénoncer Justin Trudeau. Mais alors à quoi bon, je vous le demande : le P.L.C. ne joue pas très fort dans les plates-bandes du Bloc, le West Island n’ayant jamais au grand jamais voté pour le Bloc. Va donc encore pour Justin. Facile, Gilles passe son tour.
Harper alors ? Dénoncer Harper ! Mais pourquoi Harper simonak? C’est le plus inoffensif de la gang.
Reste « Tommy » Mulcair, le poulain de Radio Canada. Gilles Duceppe ne pourrait-il pas le dénoncer celui-là ? Trop peur de déchaîner la « boîte » anti-Québec? Car s’il en est un seul qui s’immisce dans les talles du Bloc, c’est bien le N.P.D. et son chef « progressiste » à la noix.
Gilles Duceppe va-t-il réagir avant la dernière semaine de campagne ? En ce cas, il serait bien tard : le « ciment sera pris » bien avant. On jase là.
Va pour la jasette. Bon, o.k., on jase, mais il me semble qu’il y a une différence entre une campagne électorale et une tournée d’adieu maudite misère…
24 août 2015
Q.S. n’est pas et n’a jamais été souverainiste. Ce parti a surfé sur le souverainisme. Il surfe maintenant sur l’anti-souverainisme. Ce n’est pas un ennemi sérieux. Du moment que le P.Q. traitera ses ennemis en ennemis, s’il s’y met un jour… Q.S. sera radié de la carte.
Le véritable ennemi parmi Nous, l’anti-Nous par excellence, l’anti-souveraineté, l’anti-Indépendance, l’anti-Québec sur toute la ligne et jusque dans le fond des poubelles, c’est la p’tite gang de Radio Canada. Une gang semblable avait un nom dans la France occupée…
Faire de Mulcair son chou-chou parce que, parmi tous les chefs fédéraux, c’est lui qui fut assez lâche pour promettre à cette p’tite gang de rétablir ses budgets (régulièrement coupés par les gouvernements Harper) montre assez à quelle lâcheté ils sont rendus, toute cette p’tite gang de journaleux aux ordres !
P.K.P. faisait fausse route en défendant Radio Canada. L’institution qu’il défendait n’existe plus depuis longtemps. Elle s’est transformée en une minable machine de propagande. Elle avait pistonné Jack le tricheur. Elle pistonne maintenant Tom le menteur. Du pareil au même.
23 août 2015
Dans le « Nous », il y a place pour tout un peuple qui se réconcilie enfin avec lui-même, c’est-à-dire un peuple qui reste solidaire avec lui-même.
Dans ce peuple, qui forme une nation, à qui il ne manque qu’un état-nation pour pouvoir s’adonner sérieusement à la « solidarité des peuples », dans cette nation québécoise manipulée, il y a du pire et du meilleur : des corruptibles et des incorruptibles, d’la drette pis d’la gauche, des fatigués et des fatigants, des souches et des arrivants, des réactionnaires et des progressistes, toutes sortes d’individus, toutes sortes de cultures et de mondes.
Partant unique, Notre nation n’est pas différente des autres nations.
Le Combat indépendantiste québécois reste de loin le plus difficile des combats qui se puisse imaginer en Amérique du Nord. C’est dans ce continent, en effet, que la solidarité des individus a été le plus régulièrement lessivée.
Il arrive ainsi que la gauche qui croit pouvoir « gagner » se mette à perdre assurément. Il arrive aussi que la gauche qui se croit la plus vertueuse soit de fait la plus lâche. Ce n’est pas la Gauche qui fera l’Indépendance du Québec, elle en est incapable. Incapable par manque de fidélité, tout simplement.
Par manque de fidélité, mais à qui croyez-vous ? À Gilles Duceppe ? Allons donc !
20 août 2015
Ai beaucoup aimé votre texte Réjean Labrie. Beaucoup. Vous montrez qu'être patriote, ce n'est pas compliqué.C'est même tout simple.Vous montrez que cela n'a rien à voir avec de grandes démonstrations de force, de port du drapeau, celui du Québec ou même celui des patriotes.
Le patriotisme, c'est bien plus simple que de marcher avec un drapeau ou encore le mettre sur le top de son char.C'est simplement être au diapason du monde ordinaire qui nous entoure.C'est pédaler avec une gang qui pédale... et rire avec une gang qui rit. Ça commence par des choses qui nous paraissent si anodines qu'on peut se demander ce que les progressistes n'ont pas encore compris du nationalisme et du patriotisme pour s'en méfier autant.
Au fond, et très souvent, les "progressistes" d'Ici ne sont progressistes que de nom: ils font carrière de "progressisme", et sont souvent, comme par hasard, sur la même barricade que le West Island. Évidemment, je parle de ce West Island dressé contre Nous de père en fils et en filles.Car il existe de tels québécois, qui le sont de nom, le coeur n'y étant pas...
L'indépendance est devenue essentiellement une affaire coeur.
19 août 2015
« À cet effet, je miserais plutôt sur le Bloc québécois qui n’a pas à faire face à un tel dilemme ! » Henri Marineau.
Quel dilemme !? Réconcilier les discours aux électorats différents du Québec et du de l’Ouest canadien en particulier ? Pas un gros-gros problème ! Lorsqu’il était le parti de gouvernement, le P.L.C. n’a fait que cela, parler des deux côtés de la bouche, cela pendant des décennies, selon qu’il s’adressait à l’un ou l’autre des électorats. La force politique du « Canada central », Québec-Ontario, qui a si longtemps dominé le Canada, a été bâtie sur d’astucieux mensonges.
Je voterai Bloc comme vous, Henri Marineau, mais…
Mais le « dilemme » du Bloc n’est pas moins grand que celui du N.P.D. La « défense des intérêts du Québec » est un thème aussi porteur pour un parti fédéraliste qu’un parti indépendantiste. Le Bloc n’est pas seul sur cette ligne, quoi qu’en pense Gilles Duceppe. Et d’autant plus… eh oui, d’autant plus qu’advenant une remontée bien improbable du Bloc, (plus qu’improbable…) le gouvernement de lâches qui président aux destinées de la province de Québec pourraient bien s’en mêler et se mettre à distinguer ceux qui seraient les plus aptes à mener cette « défense » à Ottawa. Le Bloc pourrait être trahi par Québec.
Ce n’est pas demain, en effet, que la gang à Couillard appuierait la gang à Duceppe, ou alors les deux politiciens seraient mûrs pour faire partie du Cirque du Soleil. Parce que ce n’est pas demain non plus que le West Island appuierait le Bloc !
La gang à Couillard, c’est le triomphe du West Island à la grandeur du Québec, c’est-à-dire le triomphe de tout ce que Nous sommes capables de produire d’anti-Québec, c’est-à-dire la jonction des deux électorats bâtards, franco et anglo. Jonction qu’il serait par ailleurs si facile à mettre en échec, pour autant évidemment que les indépendantistes aient autant de nerf que de fidélité.
La gang à Mulcair, et tout le bataclan d’une première puis d’une deuxième vague orange, c’est la même jonction en action et le même triomphe (probable) sur la scène fédérale.
La fidélité des indépendantistes va être mise à bien plus rude épreuve qu’il n’y paraît à l’été 2015 .P.K.P. pourrait bien n’être qu’une embellie, magnifique par ailleurs. Wake up !
17 août 2015
Fait longtemps que Radio Canada mijote une deuxième vague orange, mais cette fois à la grandeur du « pays ». Cet organe de pure propagande continue de brasser très fort la soupe en faveur de Thomas Mulcair.
S’il fallait- les sondages laissent entrevoir cette possibilité- qu’il y ait une deuxième vague orange, anti Harper et à la grandeur du Canada celle-là, il suffirait que Justin (et le P.L.C.) surfent sur cette vague pour que Justin devienne peut-être, allez savoir, peut-être chef de l’opposition officielle, ce qui ne déplaîrait pas à la gang de Radio can.
J’espère que votre flair est le bon.
12 août 2015
@ Claude Bariteau
Je crois que vous vous cramponnez au pays imaginaire. Vous rêvez. Vous avez le droit de rêver. Mais il y a bien des façons de rêver. Je rêve pour ma part que les indépendantistes sortent du phantasme et s’adressent adéquatement à ceux qui sont les premiers concernés par l’Indépendance, c’est-à-dire Nous.
C’est une insulte gratuite que vous faites, Claude Bariteau, si vous prétendez que ceux et celles parmi les indépendantistes qui ne renoncent pas à être ce qu’ils sont, qu’ils envisagent et rêvent de faire du Québec un « Québec ethnique » pour les seuls « frères de sang ». Cela, cette accusation, soit dit cette accusation de merde, c’est celle qui nous a été faite par P.E.T. il y a longtemps, et que certains « indépendantistes » ont avalée. Évidemment, depuis qu’ils ont avalé pareille sornette, ils tournent en rond d’élections en élections.
À quoi pourrait bien Nous servir, et servir votre petite personne ainsi que la mienne, si faire l’Indépendance c’était pour refaire un mini-Canada de tous les citoyens et citoyennes et patati et patata ?
Le Canada lui-même n’empêche plus rien à personne. Ni à vous ni à moi . Tous les « citoyens canadiens » peuvent être ce qu’ils veulent être. Mais il se dresse tel un Mur, le Canada, dès lors qu’il est question de liberté d’une nation. Laquelle ? Je vous le demande.
Et Nous ne serions pas le cœur ni l’âme de cette nation ? Non mais, espérez-vous encore que le West Island se ravise et se rallie à l’Indépendance du Québec ? C’est avec des positions comme la vôtre que le mouvement indépendantiste n’a pas cessé de tourner en rond…d’élections en élections…comme on le verra encore le 19 octobre prochain.
12 août 2015
Défendre « les intérêts du Québec » du Québec est un pis-aller. C’est le gouvernement du Québec que devrait pouvoir défendre le Bloc. Hélas, le gouvernement Couillard est un gouvernement anti-Québec, affairé à « normaliser » la province, affairé à Nous « minoriser ». Le Bloc se trouve en porte-à-faux. Bonne chance à Gilles Duceppe.
Quand les indépendantistes reviendront dans la réalité politique, s’ils y reviennent un jour… ils auront cessé leurs balivernes sur la tenue d’un référendum que l’Électorat jugera encore très longtemps comme inepte et contraire à ses intérêts. Ils s’occuperont de choses sérieuses comme ravir le pouvoir provincial à une gang de satrapes. Il sera alors très-très facile à un Gouvernement « national » de faire élire le Bloc à Ottawa.
Car l’Électorat québécois se comporte comme une seule et même Nation…Voilà ce qui gêne le succès que mérite le Bloc par ailleurs.
Faut voter Bloc en bloc et rester désespérément optimiste.
9 août 2015
« Devant des statistiques si accablantes, il devient impérieux que le gouvernement… » R. Labrie.
Ce qui devient vraiment impérieux, c’est que les indépendantistes cessent de tenir le même discours que la gang à Couillard à l’égard de l’immigration. Nous n’avons pas besoin d’immigration. Disant cela, cela ne signifie pas qu’il faille retourner les nouveaux arrivants à leurs pays d’origine. Cela signifie seulement que les programmes d’immigration sont de mauvais programmes qu’ils faudrait abolir.
Ne comptons pas sur les libéraux pour abolir semblables programmes (au plan électoral, ils sont les premiers bénéficiaires de l’immigration), et particulièrement si les indépendantistes sont les premiers à applaudir l’arrivée de toutes une clientèle qui ne sera jamais la leur. Pas fin-fins les libéraux, mais pas fous…
7 août 2015
@ Jean Gilles.
N’ont pas du tout, mais pas du tout « honte d’avoir tant de fonctionnaires ». Ils ont plutôt raison, les « gens de Québec », d’être fiers de leur environnement humain qui vaut bien celui de Montréal…
Ils n’ont pas voté Oui ? La belle affaire ! J’ai moi-même voté Oui même si j’ai détesté, et je déteste encore, cette fausse idée démocratique selon laquelle le référendum serait l’Exercice démocratique par excellence.
Je vous le demande ainsi qu’à tous les vigiliens d’ailleurs : quel sont ceux qui tiennent le Québec sous la domination canadian ? Les radios supposément poubelles de Québec ? Allons donc !
Le grand défi des indépendantistes consiste à ravir le Pouvoir. Ravir le pouvoir à une toute p’tite parmi Nous, p’tite encouragée et même téléguidée par les poubelles de Radio-Canada. Ça consiste essentiellement à leur ravir le Pouvoir, car ils s’en servent uniquement de façon à « normaliser » le Québec. Des pleutres et des poltrons !
Lorsque les indépendantistes auront pris le Pouvoir à Québec-et seulement alors s’ils sont sérieux, c’est-à-dire s’ils ne s’enfargent pas dans ces histoires de référendumdum- ils pourront compter sur la radio de Québec bien avant celle de Montréal !
6 août 2015
C’est tout le Québec qui est dans les poubelles. Pas seulement les « gens de Québec ». Les « gens de Montréal » itou. Seulement, ceux de Montréal subissent en gros plusse la télévision poubelle de Radio Canada.
Y a comme une immense concurrence qui se dessine…Quelque chose comme un combat dans une poubelle, plutôt qu’un combat dans une cabine téléphonique.
Si André Arthur choisissait mieux ses ennemis, ses véritables ennemis et concurrents, ses cotes d’écoute seraient telles qu’il redeviendrait assurément le roi des ondes que j’ai connu à ses débuts, lorsqu’il réglait le compte de tous les poltrons de Québec.
Il faut écouter un peu la « télévision d’état » à Montréal, la télévision-poubelle, pour entendre les pires insanités provenant d’une autre sorte de poltrons : les vidangeurs en cravates. On jase.
Personne ne suit Marcel Haché. Soyez le premier!