Salut Falardeau !
Gabrielle Caron - Québec - Un dimanche matin, début décembre. Falardeau, ne te fais pas de fausses joies, si je t'écris, c'est pas parce que les nouvelles sont bonnes... Je viens de m'asseoir pour lire Le Devoir de la fin de semaine, édition qui laisse comme un arrière-goût tant l'actualité est triste. Des matins comme ça, je prends un malin plaisir à m'imaginer que tu es encore en vie. À me dema...