En réponse à Robert Barberis-Gervais
Analyse d'un putch raté
Ou les coulisses du putch
Ma vision du putch raté est la suivante. Tout cela débute au moment ou le Parti Québécois décide démocratiquement de foutre à la porte le SPQ Libre, groupuscule ayant à peine 300 membres en règle. À chaque conseil national, les journalistes faisant le pied de grue aux portes du CNPP ne voulait qu’interviewer MM. Dubuc et Laviolette comme si leurs opinions réflétaient celles de la majorité silencieuse des membres du...