Pandémie

La stratégie du choc

Tactique offensive bien connue des politiciens

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Tribune libre

Naomi Klein (née le 8 mai 1970 à Montréal) est une journaliste, essayiste réalisatrice et altermondialiste canado-américaine ayant écrit de nombreux ouvrages de militantisme politique pointant les défaillances du capitalisme, du néolibéralisme et de la mondialisation.



Au centre de la thèse de son livre La Stratégie du choc, il y a l'affirmation selon laquelle ceux qui souhaitent mettre en œuvre des politiques de libre-marché impopulaires le font désormais systématiquement en tirant parti de certaines caractéristiques des conséquences de catastrophes majeures, qu'elles soient économiques, politiques, militaires ou naturelles. La suggestion est que lorsqu'une société subit un «choc» majeur, il y a un désir généralisé d'une réponse rapide et décisive pour corriger la situation; ce désir d'action audacieuse et immédiate donne l'occasion à des acteurs sans scrupules de mettre en œuvre des politiques qui vont bien au-delà d'une réponse légitime à une catastrophe. Le livre suggère que lorsque la précipitation à agir signifie que les détails d'une réponse ne seront pas contrôlés, c'est le moment où des politiques impopulaires et sans rapport seront volontairement mises en vigueur. Le livre semble affirmer que ces chocs sont dans certains cas intentionnellement encouragés ou même fabriqués. (tiré de Wikipedia : La Stratégie du choc)



Éloge de la table rase


Semer le choc et l’effroi engendre des peurs, des dangers et des destructions incompréhensibles pour certains éléments ou secteurs de la société à l’origine de la menace, ses dirigeants ou les citoyens en général. La nature, sous forme de tornades, d’ouragans, de tremblements de terre, d’inondations, d’incendies incontrôlés, de famines et de maladies, peut provoquer le choc et l’effroi.


D'après Naomi Klein, on assiste depuis 2001 à l'émergence d'une industrie de la sécurité intérieure, les attentats du 11 septembre ayant été utilisés comme un choc « utile ». Cet argument est le point de départ à l'origine du livre, d'après l'auteure. Shock and Awe. Achieving Rapid Dominance



Maintenant examinons la situation actuelle : l'OMS annonce une pandémie, qui semble reposer sur des données provenant d'experts qui ont déjà fait volte face depuis plusieurs semaines et redressé publiquement à la baise les projections alarmantes initiales sur lesquelles s'appuyaient les décisions de l'OMS à conseiller les gouvernements du monde entier d'adopter le modèle chinois de répression de leurs population.



On aurait pu s'attendre à ce que les chefs de gouvernements fassent usage de plus de jugement, dès la révision des modélisations eronnées et trompeuses, et annuler les ordonnances de confinement inutiles lesquelles vont précipiter la planète entière dans une crise économique épouvantable qui à elle seule va produire sans aucun doute beaucoup plus de mortalité et de dégradation de la santé publique que le virus grippal comme tel.



Pensez y bien, si vous allez consulter un médecin qui vous annonce que vous avez une maladie X et que cela vous apparaît improbable, n'irez vous pas chercher une autre opinion avant d'accepter un traitement qui pourrait avoir des effets secondaires pire que les maux dont vous souffrez initialement ? Bien sûr que c'est ce vous ferez. Comme on dit "trust but verify", faites confiance mais vérifiez ce qu'on vous donne comme diagnostique, ce qui est naturellement la bonne chose à faire.



D'autres spécialistes et épidémiologistes de grande renommée mondialement se sont déjà prononcés sur l'inutilité du confinement généralisé et insistent sur le fait que seuls les aînés et immunodéficients doivent être mieux protégés.



Alors pourquoi les experts de la santé publique du Québec s'abreuvent encore de données révisées depuis des semaines et ayant démontrées le peu de succès à circonscrire le virus par le confinement puisqu'il continue de se répandre de façon asymptomatique chez la population, et que l'immunisation continue de se développer naturellement ? Comment doit-on interpréter le choix du directeur de la santé publique, Horacio Arruda qui continue de maintenir la répression ? Quelles sont ses véritables motivations ? Et le PM Legault là dedans, comment n'a t-il pas encore mandaté une petite enquête personnelle (vous savez comme dans officieuse) sur la véracité des conseils qu'il reçoit de ses experts officiels ? Que sait-il au juste et que sont les véritables objectifs poursuivis? Toutes des questions qu'une personne avec un minimum de pensée critique doit se poser.



Moi je ne suis pas prête à leur donner le bon Dieu sans confession et je ne suis pas naïve au point d'accepter les yeux fermés les "raisons" qu'on nous matraque jour après jour sur le "degré du danger" qui m'apparaît de plus en plus non fondé. Les recherches que j'ai fait et que je continue de faire m'indiquent que "la crise" provoquée est largement injustifiée et que les motivations réelles devront être mise à jour pour sortir de cette paranoïa collective et envisager l'avenir de notre société avec un optimisme renouvelé en tournant la page sitôt que la lumière sera faite sur toute cette opération qui me semble de plus en plus louche.



La vraie épidémie, c'est la mort indigne qu'ont subit les aînés, nos sages québécois, par le peu de place qu'on à accordé à leur milieux de vie et le manque de vision dans la prétendue "planification" des instances décisionnelles en place. Les personnes vulnérables ont dû affronter la mort comme des chiens abandonnés et cela, personnellement, je ne suis pas prête de l'oublier et j'espère que tous les citoyen-e-s de la province vont, comme moi lire sur leur plaque d'immatriculation "je me souvient" et dénoncer cet hécatombe qui, en bout de ligne, est et demeure la véritable"crise".



Et je vous renvoie au premier paragraphe ou Naomi Klein explique sans équivoque le pourquoi et le comment les dirigeants utilisent la peur comme moyen de contrôle de la population quand ils cherchent à nous faire avaler des changements de société auxquels nous nous serions majoritairement et vivement opposés sans la terreur qui est maintenue et de la propagande utilisée comme moyen de pression. Cela donne toute sa signification au diction qui dit "diviser pour mieux régner" en divisant l'opinion publique par le sabotage de la confiance des gens les uns envers les autres jusqu'au développement d'une partie de cette dernière en délateurs sans retenue et en déchaînant les corps policiers pour restreindre les droits et libertés et donner aux citoyens des amendes salés et à un degré jamais vu.



Déjà, les caméras infrarouge de détection de la fièvre et des applications de type "bavard" et de traçage sur téléphones intelligents font leur apparition. Des milliards à même les fonds publics sont "donnés" je répète "donnés en votre nom" en subventions aux grosses pharmaceutiques et autres grosses corporations "privées"pour le développement de toutes sortes de moyens de contrôle et de dépistage intrusifs et aussi de vaccins peu efficaces puisque les virus, comme les humains, évoluent sur une base régulière par mutation naturelle rendant ces vaccins caduques sitôt que l'épidémie initiale est terminée.



On a aussi accéléré durant notre confinement le déploiement du système G5 et cela sans la consultation publique qu'on nous avais promis de faire auprès de la population avant sa mise en oeuvre. Voilà peut-être de possibles réponses à certaines questions et des pistes de réflexion telles qu'expliquées dans le livre de Naomi Klein. L'expression "follow the money" suivez la piste du fric, et les choses vont peut-être éclairer même les plus peureux et les plus déterminés à garder la tête confortablement enfouie dans le sable mouvant qui continue de glisser vers la dérape totalitaire.



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