"Avez-vous des solutions?" - J.-Jacques Samson, Journal de Québec

Les 40 milliards perdus sous M. Charest ne pourront plus jamais travailler pour nous

Tribune libre

Bonjour M. Jean-Jacques Samson.
Vous utilisez la page 2 au complet de l'édition du 8 janvier 2010, pour exprimer votre désir de connaître l'opinion des citoyens. J'ai donc pris votre adresse sur cette page du journal de Québec.
J'écris des textes sur plusieurs sites internet, tous mes textes ont rapport avec l'économique, le politique et le social, pris dans l'ordre inverse car rien ne peut s'accomplir s'il n'y a pas d'abord un peuple qui fait le choix de vivre ensemble sur un territoire donné. Le succès du politique et de l'économique est donc directement redevable de la connaissance du peuple des enjeux qui le confronte.
Pour comprendre qui je suis de façon graphique, lire mon texte, Vivre libre ou disparaître
Le présent texte est également placé sur [saglacweb.blogspot.com->saglacweb.blogspot.com] en date d'aujourd'hui.
À votre question:
"Avez-vous des idées pour économiser ou trouver de nouveaux revenus?"
Ma première réponse, c'est de savoir qui l'on est, reconnaitre ce que l'on a, ensuite comment faire pour mettre nos actifs à profit pour ne pas s'appauvrir.
Je vous demande de lire mes textes en ne prenant pas parti pour un groupe politique ou l'autre, je suis obliger de parler du gouvernement Charest parce que c'est lui qui est au pouvoir à Québec, ça aurait pu être le PQ avec les mêmes résultats dans les circonstances semblables.
Nos capitaux prennent présentement la direction de l'étranger via la dérive de la Caisse de dépôt, résultat d'un changement de politique imposé par M. Charest lui-même.
Les 40 milliards perdus sous M. Charest ne pourront plus jamais travailler pour nous, Ils se retrouvent dans un aéroport de Londres et dans des investissement étrangers sans aucun espoir de retour chez nous. Si ces capitaux avaient sagement été investis sur nos territoires, en se faisant confiance, ces mêmes 40 milliards n'auraient pas été perdus, mais recyclés dans notre économie. C'est cette politique qu'a pris le fond de la FTQ et qui fait présentement son succès. Un peuple qui est fier et qui croit en lui ne peut pas mourir.
***
Je viens de terminer ma réponse à M. Claude Pommerleau, qui promeut la Géopolitique comme moyen de sortir de notre marasme, la lecture de mon commentaire va vous indiquer clairement pourquoi je ne trouve pas cela approprié pour le moment.
Bonjour M. Pomerleau: (voir le fil des conversations sur le site: pour-le-pays-du-quebec....
Dans d'autres circonstance que celles dans laquelle nous vivons, soit, l'ambivalence des Québécois à savoir sur quel état il veulent se rattacher, Canada ou Québec, je pense que les travaux en géopolitique réussirait à créer un momentum rassembleur capable de renverser la situation.
L'ambivalence des citoyens sur quel état se rattacher, la Québécoise ou la Canadienne, rend impossible la théorie géopolitique sans le peuple massivement derrière.
Ce qui fait une société forte c'est d'abord un peuple informé et fier de ce qu'il est, capable d'appuyer des élus responsables.
Or, on a affaire à un peuple désabusé qui ne veut même plus aller voter.
Sans sa majorité francophone, Québec sera anglophone, les pressions sur nos communautés ne cessent de croitre, c'est visible et on laisse faire.
J'ai eu un échange avec les Amérindiens de Essipit de la Côte-Nord, pour eux, on existe pas, je n'ai pas dit, on existe plus, mais bien, on existe pas. C'est fini, on aura beau se battre pour donner la valeur qu'on veut à nos terrains personnels, le sol sous nos propriété sera bientôt à eux, si l'on trouve du pétrole sous votre maison, vous serez exproprié par Ottawa, le véritable gestionnaire propriétaire des biens Amérindiens, tutelle dans la constitution obligeant, sans espoir de retour sur cette découverte. Nous hériterons de cette tutelle prochainement.
je vais encore quelques temps tenter de vous convaincre de la véracité de mes affirmations. Si je ne réussis pas, alors mes travaux auront été vaincs et le résultat a de très fortes chances d'être celui que je vous annonce. Nous ratons périodiquement d'excellentes occasions d'affirmer ce que nous sommes. Je dois me contenter de les voir passer avec tristesse.
Vivre, c'est prendre sa place. Si on se contente d'en rêver sans agir, on ira nul part.
Pendant que nous discourons sur la finalité de l'état, le Canada manoeuvre pour nous retirer nos territoires dans l'approche commune, en parfait accord avec l'autre majorité, la canadienne, qui elle, agit et se convainc de plus en plus que nous sommes rien d'autre que l'une de ses minorités, sans droits de représentation politique, et à qui il faut retirer les bras de levier tel l'Hydro-Québec et la Caisse de Dépôt pour l'empêcher de se relever.
Pour la caisse de dépôt cela consiste à nous obliger à investir ailleurs que sur nos territoires afin de nous retirer la gestion de nos capitaux. Pour l'Hydro, c'est aussi d'investir ailleurs afin d'aller chercher du capital politique extérieur, avec le résultat escompté d'utiliser nos voisins pour faire pression sur le peuple Québécois afin qu'il reste écrasé sous l'autre majorité, la Canadienne.
Cela va de pair avec une croissance provoquée de l'endettement publique généralisée de notre société, par des décisions qui vont nous obliger à respecter des engagement financier suicidaires hors de nos territoires et ou on devra engloutir des milliard pour le profit de nos voisins, dans le nucléaire entre autre ex. d'Énergie Nouveau-Brunswick, réf. Pointe Lepreau au profit d'emplois Ontariens.
Sans la compréhension de ce phénomène par vous tous, nous serons minorisés au point de ne plus être en mesure de créer un état capable d'atteindre aucune de nos ambitions.
Pendant que nous rêvons, le Canada agit.
La géopolitique n'a de valeur qu'à la condition d'être appliquée.
Il faut une conscience du peuple pour élire un état capable d'appliquer la géopolitique, c'est la condition essentielle pour passer du rêve à la réalité.
Excusez mon audace, c'est mon opinion franche et sincère dans le seul but de faire avancer le débat.
Jean-Pierre Plourde.
_____
En conclusion M. Samson,
M. Samsom ce n'est là qu'une introduction.
Si vous êtes sérieux et désirez en savoir plus sur les solutions, j'en ai plusieurs à vous proposer et elle passent toutes par la compréhension des enjeux.
La compréhension des enjeux va entraîner un changement de comportement de l'ensemble de nos citoyens.
Notre comportement doit obligatoirement passer en mode d'actions actives au lieu du mode de recul passif.
Votre rôle, M. Samson, dans la compréhension de ce choix est primordial en ce qui concerne l'information.
Cette tâche, si vous vous y attaquée, vous sera rendue très difficile. Pour savoir pourquoi, contactez-moi sur saglac 68K gmail.com.
Les journalistes devront embarquer sans arrière pensées dans un véritable débat, celui qui remet en question l'existence de Québec comme province canadienne et des Québécois comme peuple ayant un avenir.
Ceux qui vont suivre ce conseil devront avoir le courage de leurs convictions.
Vous pouvez consulter mes textes les plus récents sur saglacweb.blogspot.com et le fruit de mes enquêtes et mes documents d'archives sur saglacweb.com. Sur ce dernier site, je vous suggère les textes suivants: Conflits d'intérêts, juges et parties.
En espérant avoir pu retenir un peu votre attention.
Jean-Pierre Plourde, Bsa UQAC73

Chef d'entreprises et écrivain à ses heures depuis plus de 40 ans.

PS: Les cassures que vous exprimez dans le dessin de la fleur de lys sur la page 2, sont directement le résultats des mauvaises décisions du gouvernement charest actuel.


Laissez un commentaire



5 commentaires

  • Jean-Pierre Plourde Répondre

    10 janvier 2010

    Réponse à MM. Gilles Bousquet, JCPomerleau et Gilles Lapointe et Marcel Haché;
    Bonjour M. Bousquet:
    Les Québécois sont passé maître dans l'art de se tirer dans le pied.
    Cela va leur coûter leurs emplois, leurs comptes de banque, leurs actifs et l'avenir de leur descendants.
    On doit cela au contrôle de l'information et au martèlement médiatique du genre, écrasez-vous devant l'étranger, et, fermons les régions, au sujet des annonces de Shell sur le raffinage à Montréal, je vous invite à constater que c'est Montréal qui se voit affectée avant les régions.
    Montréal va se retrouver dépendant des étrangers pour son approvisionnement en pétrole, électricité, nourriture et autres, la plupart des emplois de qualités subissent les pressions des multinationales, en accord avec Ottawa.
    Le but non avoué est de détruire la culture Québécoise et d'imposer la Canadienne.
    Les citoyens se font manipuler, mes travaux consistent à tenter de rétablir la vérité et mettre les citoyens au parfum afin de favoriser les bons choix, sans les médias pour briser l'Omerta, c'est très difficile.
    Les 40 milliards perdus sous M. Charest ne pourront plus jamais travailler pour nous
    Vous me dites ceci:
    "Les 40 milliards ont été perdus sous une direction très francophone de notre Caisse de dépôts dont environ 30 à cause des conditions économiques et 10 à cause des papiers commerciaux, quottés A1 mais pourris. Faudrait juste emprisonner les dirigeants de cette agence là."
    La création de la Caisse de dépôt avait pour but, à l'origine, de favoriser le développement du Québec par des investissements au Québec d'abord. Cette stratégie c'est celle qu'a respecté le fond de la FTQ et cela fait son succès.
    Si les 40 milliards de la Caisse avaient été investis en entier au Québec, il n'y aurait eu aucune perte réelle pour le Québec, mais un recyclage des fonds dans d'autres secteurs de notre économie. L'effet de cette réduction aurait pu être compensé autrement, les fonds demeurant dans notre économie.
    Pour que les Québécois francophones arrêtent d'élire des fédéralistes au provincial, il faut les informer des conséquences actuelle des gestes posés.
    "nous ne pouvons pas aller contre la volonté populaire à moins d’être suicidaires...genre."
    Ça ne nous empêche pas de tenter de les informer et de les instruire sur le fonctionnement général de leur "pays" et de la disparition de Québec comme province. Cette dernière affirmation n'est pas prise au sérieux par beaucoup de mes lecteurs, les conséquences en sont pourtant très réelles.
    Jean-Pierre Plourde.
    _________
    Bonjour M. Pomerleau:
    Je cherche avant tout, à mobiliser les citoyens sur l'urgence d'informer et d'agir.
    Sans territoire pour Québec, la géopolitique deviendra Canadienne sans possibilité d'exercer notre influence pour défendre les intérêts des Québécois. Nous sommes dans un processus d'expropriation, vous et moi seront bientôt des "squatters" soumis aux conditions de survie du Canada.
    Il y a une extrême urgence que ce phénomène soit compris par nous tous. Tout le reste devient possible après.
    Je vous cite:
    "Le pays n’est pas devant nous il est sous nos pieds. Notre seul problème c’est le contrôle effectif de ce territoire (géopolitique:le principe d’effectivité). Or ce contrôle s’effectue à partir de l’État."
    1. Sans la propriété de nos territoires, la géo..(terre) n'est plus sous nos pieds, le territoire ne sera plus reconnu comme étant nôtre, de fait, il appartiendra à l'autre majorité qui elle se fout bien de qui l'a développé ou pas, c'est la conquête qui se poursuit. Québec doit constituer une province pour survivre et prospérer. Sans nos territoires, Québec devient virtuel. La majorité canadienne considèrera Québec comme l'un de ses territoires à défendre contre nous et les conséquences nous seront catastrophiques.
    On doit s'occuper de cette mise au point d'abord, le reste devient possible ensuite.
    Ce pays s'apprête à intervenir contre nous si l'on ose prétendre une telle chose après le départ de M. Charest. Tout ce que nos pères ont bâtis sur nos territoires change présentement de main et les conséquences vont entraîner notre mise sous tutelle et la disparition de notre culture et de notre langue comme dommages collatéraux.
    2. Dans la géopolitique, il y a le terme politique, celui-ci implique le vote des citoyens dans une élection pour faire élire un parti qui, en théorie devrait gérer notre état. Advenant le désir d'appliquer la géopolitique via un parti politique pour défendre nos intérêts, nous aurons affaire à une puissante organisation canadienne d'intimidations du genre de celle du référendum de 1995 accompagnés de menaces d'interventions bien réelles.
    La géopolitique tire sa valeur dans la capacité de son application.
    Expliquez-moi concrètement comment rendre la géopolitique applicable réellement. Vous avez besoin de l'appui du peuple par ses votes pour constituer un état politique, comment allez-vous y arriver. On revient encore à mon argument de base, convainquons d'abord les citoyens en les informant, tout le reste deviendra possible.
    M. Pomerleau, l'histoire se réécrit au Quotidien en effaçant celle du passé, du moins c'est la stratégie canadienne, par la manipulation des livres d'histoires et sa propagande pour qu'on s'efface devant l'étranger.
    Sans informer les citoyens des magouillent en cours contre son droit de disposer de lui-même et des conséquences de l'inaction, nous irons nul part, peu importe les évènements de notre passé. N'oubliez-pas que ce pays nous a déclaré la guerre, il faut le prendre au sérieux.
    Il faut convaincre tous les gens dynamiques du Québec, dont vous êtes, pour informer les citoyens des conséquences de ce qui se trame sous nos pieds.
    Le défaut de réussir à convaincre les citoyens, tous les cas de figures deviendront possibles entre l'acceptation d'un état d'esclavage et de dépouillement, et, la révolution.
    En fait, M. Pomerleau, on parle de la même chose vous et moi. Il faut, je pense simplifier le plus possible, y aller par priorités, puisons dans les évènements du présent comme l'approche commune, la Caisse de dépôts, l'Hydro, les accommodements raisonnables, etc, etc.
    On peut utiliser les arguments de notre histoires ancienne, mais on a même pas besoin de reculer jusque-là, tant les preuves sont évidentes. Les actions récentes du gouvernement Charest nous donne tous les arguments nécessaires pour prouver d'où l'on vient et où l'on s'en va.
    "Pour en reprendre le contrôle effectif de notre État il faut d’abord le faire voir clairement au peuple qui semble avoir perdu contacte avec cette réalité On part de loin."
    Je suggère donc qu'on simplifie la procédure et qu'on entre dans le vif du sujet avec des arguments du passé récent ou présent qui demanderons un minimum de réflexion pour ceux qu'on veut convaincre.
    Jean-Pierre Plourde.
    ------
    Bonjour M. Lapointe,
    Recherchons ensemble une procédure, une façon de faire unificatrice capable d'apporter des résultats.
    Ce n'est pas seulement l'affaire de M. Bousquet, c'est utile de se vider le coeur. Restons positif, suggérez-nous des choses, donnez-nous votre vision sur le comment y arriver.
    Je suis peut-être complètement dans le champ avec ma façon de voir le problème et les solutions. Si vous m'apportez les bons arguments, je changerai personnellement d'avis.
    Vous faites une belle constatation de notre situation;
    Vous et moi sommes dans le même bateau, embarquez et travaillons à convaincre nos parents, amis et voisins, on ne peut se fier qu'à nous. Les médias, pour le moment, oublions cela.
    Jean-Pierre Plourde.
    -----
    Bonjour M. Marcel Haché
    Concernant la solution de divulguer les malversations de nos gouvernements par les fonctionnaires.
    Cette méthode existe déjà sous la forme du vérificateur général, du moins à Ottawa. Pour la généraliser cependant, je doute fort que ce soit jamais acceptée.
    "en même temps que la sécurité d’emploi et de carrière soient maintenus."
    Pour moi, la condition de "sécurité d'emploi" n'existe pas réellement, sauf lorsque dans les gouvernements pourris à la moelle on l'on récompense même les mauvais comportements.
    "Et on ne parlerait plus de déficits, on parlerait de surplus. Ma conviction."
    On est loin de la coupe au lèvre.
    Jean-Pierre Plourde

  • Marcel Haché Répondre

    9 janvier 2010

    Il y aurait une « solution » très simple. Mais si dangereuse pour les partis politiques, que c’est à l’unanimité que les partis représentés à la Chambre ou à l’Assemblée Nationale la rejetteraient : qu’il soit permis aux membres de la fonction publique de mettre sur la place publique les dépenses, non pas seulement celles ayant une apparence de non-conformité, mais celles qui manquent à la plus élémentaire efficience. Que cela soit permis, en même temps que la sécurité d’emploi et de carrière soient maintenus.
    Une révolution s’ensuivrait. Et on ne parlerait plus de déficits, on parlerait de surplus. Ma conviction.

  • Gilles Lapointe Répondre

    9 janvier 2010

    @Gilles Bousquet
    Je croix que vous faites parti des gens qui s'autoflagèle sans cesse.
    Que c'est nous les méchants qui votons pour les fédéralistes au Québec.Les électeurs se sont laissés avoir par les belles promesses
    genre:le PLQ travaille pour votre "économie""économie"appuyée par les employeurs.Mais vous, vous êtes d'un pessimisme déroutant.Peut être
    pourriez vous démontrer plus d'optimisme.
    Les Francophones majoritairement veulent un Pays,bien à nous,comme
    nos ancêtres voulaient.Pas une province que n'importe quel parti
    fédéraliste peut venir diriger avec l'aide des Anglophones et des
    immigrants qui font serment au Canada et à la Reine.
    Gilles Lapointe.

  • Archives de Vigile Répondre

    9 janvier 2010

    En complément d'information puisque mon nom est mentionné ainsi qu'un petit projet de géopolitique auquel je m'affaire avec des amis.
    ................................
    Bonjour M Plourde
    Je vous rassure Monsieur je ne rêve pas. La géopolitique n'autorise pas la rêverie, au contraire, il s'agit d'une discipline qui prend la mesure du réel radical. Géo: La terre (territoire). On part donc du constat que ce territoire est le notre puisque nous avons mis 400 ans à développer notre pays.
    Le pays n'est pas devant nous il est sous nos pieds. Notre seul problème c'est le contrôle effectif de ce territoire (géopolitique:le principe d'effectivité). Or ce contrôle s'effectue à partir de l'État.
    Or notre État est annexé (1759) et réduit dans ses capacités d'agir à celui d'un demie État. Ce situation met en cause notre cohésion nationale (de peuple français en Amérique) par un État étranger qui vise à nous assimiler sur le long termes. La dépossession de notre territoire est un élément de cette stratégie.
    Notre seule garantie de survivre comme peuple français repose sur les assises de notre État optimalisé. L'enjeu c'est l'État. Il est donc vital de faire surgir ce constat dans l'esprit de tout ce peuple qui n'a qu'une relation diffuse avec son État (symptomatique de cette rupture de 1759). D'où le besoin d'une doctrine d'État.
    Sans cette doctrine d'État ("Unité de pensée" Sun Tsu) on ne peut voir qu'il y a des intérêts supérieurs de l'État et encore moins comprendre les stratégie d'État pour le défendre. C'est exactement la raison pour laquelle on part avec notre territoire, on démembre la Caisse, et on Vandal-ise l'Hydro Qc , etc sans que personne ne semble voir la gravité de la situation. Et le tout par un gouvernement élu par une minorité (70% des francophones ont voté contre Charest). Vous avez raison de vous alarmer le saccage est systématique.
    Le but du petit projet (lecture des temps forts de notre histoire à partir de statuts et principes de la géopolitque) est de faire apparaitre la genèse de NOTRE État, indispensable pour assure notre cohésion nationale.
    Il ne s'agit pas d'un débat académique avec des profs tournesol de l'histoire mais plus un débat portant sur un enjeu vital. Notre survie comme peuple qui repose sur cette État optimalisé, donc souverain.
    Pour en reprendre le contrôle effectif de notre État il faut d'abord le faire voir clairement au peuple qui semble avoir perdu contacte avec cette réalité On part de loin.
    JCPomerleau

  • Gilles Bousquet Répondre

    9 janvier 2010

    Oui, mais, le gouvernement Charest, c’est nous qui l'avons élu et réélu minoritairement et réélu majoritairement. Ce n'est pas le ROC qui a fait ça, c'est NOUS, les québécoise, qui ont permis cette chose là, principalement les anglophones mais si les francophones s'étaient unis pour le sortir, il serait dans l'opposition. En plus, le beau comté très francophone de Rivière-du-Loup a élu, depuis en 2 009, dans une élection complémentaire, un candidat du PLQ.
    Les 40 milliards ont été perdus sous une direction très francophone de notre Caisse de dépôts dont environ 30 à cause des conditions économiques et 10 à cause des papiers commerciaux, quottés A1 mais pourris. Faudrait juste emprisonner les dirigeants de cette agence là.
    Solution : Si les Québécois francophones continuent d'élire des fédéralistes au provincial, ça va vouloir dire qu'ils sont satisfaits et désirent demeurer dans le Canada comme il est là, à tour ou à raison mais nous ne pouvons pas aller contre la volonté populaire à moins d'être suicidaires...genre.