La crise: vidéo 5

Les Musulmans sont des patrons, pas des serviteurs!

Les Occidentaux n'ont rien compris à l'Islam

Chronique de Jean-Jacques Nantel

La culture musulmane est une culture d'origine nomade qui nous vient du 7ème siècle en plus d'être une culture de patrons; c'est-à-dire de gens qui ne travaillent pas de leurs mains. Cela explique de nombreuses caractéristiques de l'Islam moderne de même que l'incompréhension foncière qui sépare présentement les Musulmans - et surtout les Islamistes - des gens provenant des cultures d'origine sédentaire du monde moderne. Cela n'augure rien de bon pour l'avenir à moyen terme du Moyen-Orient.

C'est le sujet de la présente vidéo.

Bon visionnement,

Jean-Jacques Nantel, ing.

Maintenant voici le résumé écrit de cette vidéo:

Dans la vidéo antérieure, j'ai expliqué qu'au cours des millénaires, les deux groupes de peuples habitant les deux rives de la Méditerranée n'avaient jamais réussi à se fondre pour former des peuples homogènes et ce, en dépit du fait qu'ils s'étaient mutuellement envahis à de nombreuses reprises en fondant des colonies soit en Europe, soit en Afrique du Nord. Si cela est arrivé, c'est parce qu'il y a une opposition de nature entre les deux mondes; les gens de ce qu'on appelle de nos jours le monde arabe ayant une culture d'origine nomade alors que les Européens ont une culture d'origine sédentaire.

Contrairement à ce que pensent nos contemporains, les classes sociales d'origine de l'humanité sont les classes supérieures. Nous sommes tous les descendants de prédateurs dominants et de nomades et c'est seulement avec l'invention de l'agriculture que les humains sont devenus majoritairement des producteurs sédentaires. Or, la mentalité des producteurs est diamétralement opposée à la mentalité des prédateurs et des nomades; ce qui fait que les deux groupes ont toujours eu du mal à se mêler ou même à se tolérer.

Même après l'invention de l'agriculture, certains Occidentaux ont continué à être des prédateurs. Ce sont nos classes dirigeantes qui, surtout du temps des nobles, continuaient à penser et à agir comme des nomades violents et pillards. Or, avec le développement des classes moyennes, les nobles, qui basaient leur richesse sur la violence et le vol, ont été remplacés par des riches issus des classes moyennes et qui s'enrichissaient en utilisant le savoir et l'argent. Pire, de nos jours, le développement des classes moyennes occidentales a fait disparaître non seulement les nobles, mais également les agriculteurs.

Or, ce sont ces classes moyennes majoritaires de l'Europe, qui sont désormais concentrés dans les villes, qui doivent faire face à une invasion de millions de Musulmans qui, parce que leur culture s'est cristallisée autour des idées d'un nomade du désert du 7ème siècle comme Mahomet, continuent à penser et à agir comme des nomades et des patrons. C'est la source principale de la totale incompréhension qui existe entre les Musulmans (et leurs intégristes) et les habitants de tous les pays dont les cultures sont basées sur l'agriculture productrice.

Le résultat de tout cela, c'est que les Musulmans croient qu'ils ont le droit de discriminer contre les non-Musulmans de multiples façons voire, dans le cas des intégristes, de tuer ceux qui sont en désaccord avec eux. Ce sont ces violences qui provoquent présentement un mouvement militaire convergent des principales puissances du monde vers le Moyen-Orient sémitique; ce qui n'augure rien de bon pour son avenir à court et moyen terme comme on peut le constater en Syrie.


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8 commentaires

  • Martin Perron Répondre

    30 novembre 2015

    Merci, M. Nantel, pour votre courte réponse. Dans le résumé écrit, on lit le nom Arabes une seule fois alors que le noms musulmans est répété plusieurs fois, ce qui porte à confusion pour les fins de l'analyse, car la religion musulmane regroupe plusieurs peuples aux cultures très différentes. On doit toutefois admettre que l'influence des pays et de la culture arabe sur cette religion, premièrement avec la langue du Coran, est très grande. On doit aussi considérer qu'il y a des chrétiens d'origine arabe et que les populations habitant le pourtour de la Méditerranée était en large partie chrétienne avant leur conversion à la religion musulmane. Ce qui m'amène à paraphraser ce qu'un autre a dit avant moi : ce n'est pas vraiment le message qui importe, mais ce qu'on en fait.

  • Jean-Jacques Nantel Répondre

    29 novembre 2015

    Pour répondre à Philippe Cloutier,
    Je crois en effet que les vrais sédentaires sont les agriculteurs et que les urbains, surtout les très riches, ont une mentalité nomade.
    Quant aux urbains modernes, ce sont en fait des semi-nomades qui, grâce aux moyens de communication modernes, font déplacer les biens vers eux plutôt que l’inverse (comme les vrais nomades). Ajoutons que les urbains modernes se déracinent facilement, ont des voitures et voyagent de plus en plus.
    Dans le cas des pays pauvres, l’urbanisation massive des gens provenant de leurs campagnes se fait de préférence vers la richesse maximale. Après avoir quitté leur terre natale surpeuplée pour aller dans la petite ville de leur région, ils se dirigent par la suite vers une des grandes villes de leur pays puis, souvent de nos jours, vers une lointaine ville de transition et de passage comme Montréal, où ils se refont une santé économique, avant de finalement émigrer vers les villes les plus riches du continent d’immigration.
    Pour répondre à monsieur Martin Perron, j’ai expliqué dans la vidéo que les gens habitant des pays fortement marqués par le nomadisme (ex : les Arabes) avaient une culture dont le fond a été fortement modelé par le nomadisme et ce, même quand ils cultivent la terre ou qu’ils sont depuis longtemps urbanisés.

  • Jean-Jacques Nantel Répondre

    29 novembre 2015

    À Philippe Cloutier,
    Je crois en effet que les vrais sédentaires sont les agriculteurs et que les urbains sont des presque nomades, surtout dans le cas des classes supérieures (les très riches) qui, comme je l'ai expliqué dans la vidéo, ont toujours conservé une mentalité nomade.
    En fait, tous les urbains vivent un nomadisme à l'envers puisque, à cause des moyens de communication modernes, ce sont les biens qui se déplacent vers eux plutôt que l'inverse (comme chez les vrais nomades). Les urbains actuels sont d'ailleurs de plus en plus mobiles, ont des voitures et voyagent de plus en plus.
    Dans le cas des pays pauvres, le mouvement d'urbanisation des surplus de leur monde agricole se fait de préférence dans la direction de la richesse maximale. On quitte d'abord sa terre natale devenue trop pauvre pour la petite ville de sa région avant de se diriger vers une des grandes métropoles de son pays et, souvent de nos jours, on finit par quitter son pays d'origine pour une ville de passage et de transition lointaine comme Montréal, où on se refait une santé économique, avant de finalement émigrer vers la partie la plus riche du continent d'immigration.
    D'autre part, pour répondre à Martin Perron, j'ai bien expliqué dans la vidéo que, les gens habitant des pays fortement marqués par le nomadisme (ex: les Arabes), possèdent des cultures dont le fond est et demeure nomade et ce, même quand ils s'adonnent depuis longtemps à l'agriculture ou qu'ils sont devenus des urbains.

  • François A. Lachapelle Répondre

    28 novembre 2015

    Jean-Jacques Nantel a raison de résumer l'insolubilité de l'islam dans les sociétés occidentales et démocratiques (d'une démocratie étriquée trop souvent) par le binôme sédentarité versus nomadisme.
    Il situe la rencontre frontale entre l'Occident composé de ses villes peuplées de sédentaires par leur style de vie d'une part, et d'autre part, l'expansion de l'islam dans les pays occidentaux animée par des conquérants de tradition nomade et pilleurs.
    Au 7e siècle de notre ère comme encore aujourd'hui, le pays de Mahomet était un pays désertique où transitaient les caravanes chargées de marchandises venant de l'Asie vers les marchés de l'Europe.
    Les pays arabes du Proche-Orient sont encore des pays de transit stratégiquement situés entre les pays de l'Asie grands producteurs de biens et les pays de l'Occident grands consommateurs de biens, le pétrole inclus.
    Il n'y a pas que les musulmans qui sont imbus des valeurs du nomadisme. Les capitaux mondiaux sont aussi imbus de nomadisme. Les sédentaires ne font pas le poids.
    Les notions de pillage existent encore en 2015 sur une plus grande échelle que celle qui était pratiquée par les soldats de Mahomet. Le plus grand nomadisme pilleur et destructeur des valeurs humaines se retrouve dans les capitaux manipulés par le 1% de la population mondiale via les paradis fiscaux et les économies parallèles qui évoluent à l'abri de toute règlementation.
    Face au nomadisme des capitaux mondiaux, tous les humains de la terre sont des fourmis laborieuses qui sont écrasées sans aucune conscience, sans aucune précaution.
    Autant devant les astuces des musulmans dissimulateurs que devant la fluidité des capitaux mondiaux, les Québécois sont des fourmis laborieuses incapables de se libérer et inconscientes des richesses du territoire qu'ils habitent, richesses d'ailleurs très convoitées.
    Philippe Couillard n'est qu'un mercenaire qui se plaît à coucher dans le lit des plus forts. C'est un docteur au service des maîtres et sa mission est égocentrique.

  • Philippe Cloutier Répondre

    28 novembre 2015

    J'ai une question pour vous M. Nantel.
    Dans vos dernières interventions, vous parlez souvent de la différence entre les cultures nomades et sédentaires. Vous affirmez que l'apparition des cultures sédentaires est liée au développement de l'agriculture.
    Comme vous le mentionnez dans cette vidéo, nous vivons dans une culture industrielle qui demeure généralement sédentaire, tout en s'étant éloignée de l'agriculture comme activité économique principale.
    Il me semble que la sédentarité industrielle est moins affirmée que la sédentarité agricole. Elle est basée sur une concentration humaine sur les carrefours de commerce, où s'agglutinent la production et les services. Bien que les entonnoirs naturels soient naturellement déterminés, il existe une certaine mobilité de l'industrie secondaire, et de la main-d'oeuvre qui l'accompagne.
    Les corporations et leurs élites dirigeantes sont foncièrement nomades: elles se déplacent là où il est avantageux d'exploiter les ressources et la main-d'oeuvre. En même temps, le travail salarié est plus mobile qu'il ne l'a été. Dans une moindre mesure, le nomadisme des élites se retrouve aussi chez les classes moyennes et ouvrières.
    On pourrait donc parler d'une sédentarité intermédiaire des classes moyennes, qui n'est ni agricole, ni purement nomade ou prédatrice.
    Ce phénomène est relativement récent dans l'histoire humaine. À votre avis, quels sont les effets que pourront avoir cette sédentarité industrielle diminuée sur notre culture, et les différences de cette sédentarité avec la sédentarité agricole?

  • Martin Perron Répondre

    27 novembre 2015

    Oh boy! Pour reprendre l'expression du commentaire de M. Pierre Cloutier qui est fort assidu dans la critique des musulmans et de toutes les religions, mais dont on attend toujours la démonisation de la religion juive.
    M. Nantel, je trouve que, cette fois-ci, votre analyse est beaucoup trop réductrice, qu'elle manque de nuances et qu'elle est caricaturale. Il est impossible de faire entrer tous les musulmans du pourtour de la Méditerranée dans votre prisme. Il y avait des populations dans cette région avant la naissance de la religion musulmane; et puis, comment ces peuples auraient-ils pu survivre sans agriculture entre la naissance de Mahomet au 7e siècle et aujourd'hui s'ils n'avaient pas travaillé la terre de leurs mains?
    Ceci dit, votre analyse, selon moi, possède un potentiel de choquer la pensée mondialiste actuelle si nous l' appliquons à tous les peuples sémites. Louis Ferdinand Céline, pour qui j'ai beaucoup de respect comme penseur et écrivain, a dit qu'il préférait l'aryen constructeur au sémite destructeur. Est-ce que c'est votre pensée, M. Nantel ? Et M. Cloutier, partagez-vous aussi le même point de vue?

  • François A. Lachapelle Répondre

    27 novembre 2015

    Le travail éducatif de Jean-Jacques Nantel ing est encore très pertinent pour tous(TES) les Québécois(ES) qui veulent comprendre le phénomène de l'expansion de la religion musulmane chez nous au Québec.
    Devant les musulmans descendants de tribus nomades et leur esprit de maîtres et de pilleurs de butins volés aux plus faibles, les descendants d'agriculteurs sédentaires que nous sommes, aussi descendants de colonisateurs, ne font pas le poids. Ayant discuté longuement avec un journaliste du journal chiite Sada Al-Masrek, un musulman ne recule jamais au niveau de sa foi. La loi de Dieu guide toute sa vie, tous ses instants.
    Face à l'existence de l'islam au Québec, c'est au lendemain du dépôt du rapport de la Commission Bouchard-Taylor, le 22 mai 2008, que j'ai senti le besoin de me documenter sur l'islam pour combler mon ignorance.
    Au Québec, c'est chaque jour encore en 2015 que nous apprenons l'étendue de la présence de l'islam qui prend de l'ampleur chaque mois, chaque année. Au dernier salon du livre, j'ai eu l'occasion de parler longuement avec un missionnaire de la communauté musulmane Ahmadiyya originaire du Pakistan qui montre, selon lui, «le visage modéré et bienveillant de l'Islam». Ce missionnaire anime un centre culturel sur le boul. St-Michel de Montréal.
    Combien existe-t-il de mosquées à Montréal ? Probablement plus d'une centaine. Dans ces mosquées, combien sont animées par des imams importés de pays étrangers en mission au Québec ? On ne le sait pas mais il est urgent que ces informations soient disponibles pour les autorités et pour le public au Québec.
    Le premier citoyen du Québec qui devrait être au fait de tout se prosélytisme est Philippe Couillard, notre Premier ministre. Sauf que Monsieur Couillard, à cause de ses sympathies avouées à mots couverts pour l'Arabie saoudite, est très complaisant pour ne pas dire collaborateur de l'expansion de l'islam au Québec.
    Parce que Monsieur Couillard cache des choses sur ses séjours répétés en Arabie saoudite, parce que le CV de Philippe Couillard présente le profil d'un mercenaire qui va au plus offrant, parce que Philippe Couillard bafoue la démocratie et l'histoire et la structure différente de la société du Québec qui n'est pas née de la dernière pluie, parce que Philippe Couillard ne peut démontrer une fidélité à 100% au peuple du Québec, Monsieur Couillard est indigne du poste qu'il occupe.
    Il faut lire le long texte de Jacques Sapir intitulé " Souverainisme ". (source: http://russeurope.hypotheses.org/4312 ) Nous apprenons que la vitalité de notre démocratie, soit le respect des lois communes du Québec, est soutenue par la légalité et la légitimité de ses dirigeants qui doivent donner l'exemple. Dans le cas de son dossier fiscal, Philippe Couillard a roulé les lois fiscales du Québec en utilisant des comptes secrets dans le paradis fiscal de l'Île Jersey ( Banque Royale ou filiale). Monsieur Coullard doit passer publiquement le détecteur de mensonge pour répondre à la question: " Possédez-vous aujourd'hui de l'argent dans un compte secret ou des comptes secrets "offshore" ? " Votre réponse nous intéresse beaucoup en ces temps d'austérité dans nos garderies, nos écoles et nos hôpitaux.

  • Pierre Cloutier Répondre

    26 novembre 2015

    Oh boy, vous allez vous faire varloper par les tenants de la bien-pensance qui n'arrêtent pas nous traiter d'islamophobes, de racistes ou de xénophobes ou qui essaient de nous culpabiliser parce que certains d'entre nous se posent des questions sur l'islam et le Coran.
    On dirait que c'est le vieux tabou judéo-chrétien de l'interdiction de discuter des croyances et de la religion qui existe encore chez nous : il ne faut pas parler de cela sous prétexte de devenir suspect, laîcard, athée ou un épithète du même genre.
    Et pourtant c'est bien le réel que l'on observe. Il y a 10 ans, voire 5 ans, personne au Québec ne parlait de l'islam alors qu'aujourd'hui, avec la multiplication des mosquées et les attentats terroristes - dont un au coeur du Québec, à Saint-Jean, faut-il le rappeler - le réel nous rattrape et nous force à faire ce débat et à combattre ceux et celles qui voudraient qu'on le taise.
    Une fois de plus, la religion veut s'imposer par la censure et la terreur.On s'était débarrassé des curés et voilà que les imams se pointent le bout du nez avec l'idée de transformer pour certains le Québec en terre d'islam et de dominer le monde,
    Je veux bien être gentil à l'endroit des musulmans. Mais de grâce, faites-vous discrets et foutez-nous la paix avec Allah et Mahomet. On a assez donné et on ne veut plus revivre cela.