MONDIALISME

Martin Luther King

L'homme derrière le mythe

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Tribune libre

Avertissement : Avez-vous 18 ans ? Ce texte contient des descriptions d’orgies sexuelles pouvant heurter la sensibilité de certains lecteurs.


Difficile de trouver un hypocrite plus odieux, un charlatan plus misérable et un dégénéré plus immoral que le révérend docteur Martin Luther King Jr, héros du mouvement afro-américain des droits civiques des années soixante et lauréat du prix Nobel de la paix en 1964.


Ces quelques « petits » défauts n’ont pourtant pas empêché les autorités d’en faire la sacrosainte coqueluche de la société ouverte que l’on donne en exemple aux enfants dès le primaire.


On savait pourtant depuis longtemps que Martin Luther King, de son vrai nom, Michael King, était un communiste pur et dur, déterminé à renverser l’ordre établi comme son alter ego, le communiste sud-africain, Nelson Mandela. Il s’en cachait bien pour ne pas alarmer le public, mais le FBI qui le surveillait de près était très au courant de ses activités subversives (1).


Les communistes dans son entourage étaient d’ailleurs légions, en commençant par son financier et mentor, l’avocat juif new-yorkais, Stanley D. Levinson, du Communist Party of USA. Pas trop futé de naissance, peu qualifié intellectuellement pour diriger une association ou rédiger quoi que ce soit d’intelligent, Michael King avait en effet délégué ces tâches ingrates à Levinson qui l’influençait au point de l’enjoindre à ne rien dire et à ne rien faire, « en aucune circonstance », sans son consentement préalable (2).


En retour, Levinson et ses coreligionnaires se servaient de King et du mouvement des droits civiques pour déstabiliser et éventuellement détruire l’homogénéité raciale et la cohésion de la société américaine. C’est grâce à leur travail de sape que les minorités actuelles ont davantage de droits que la majorité et qu’on ouvrit toutes grandes, sans la volonté du public, les vannes du flot migratoire non blanc (3).


Mais revenons à King : pendant que ses maîtres s’occupaient des vraies affaires, le bon mari et le bon papa, Michael King, l’apôtre de la non-violence et de l’amour fraternel ; l’icône du vivre ensemble et de l’antiracisme ; le « Dr Jekyll et M. Hyde » qui avait escroqué le fisc américain et plagié sa thèse de doctorat de même que certaines parties de son discours, Je fais un rêve, pouvait s’occuper avec son argent sale de ses douzaines de maitresses et se livrait corps et âme à ses activités préférées, les orgies sexuelles bien arrosées au bourbon (5).


Les transcriptions d’enregistrement du FBI ci-dessous (les enregistrements comme tels ne seront déclassifiés qu’en 2027) sont tirées d’un essai du biographe attitré de Michael King, l’universitaire socialiste, David J. Garrow. Révolté par la perversité du personnage, cet admirateur inconditionnel de King, au lieu de fermer les yeux à l’instar de sa famille politique, a eu le courage par souci de justice de dire la vérité. Naturellement, tous les médias aux ordres ont refusé de publier son essai-choc (6). Et ce n’est pas demain la veille que Le Devoir, Radio Canada et La Presse en feront la promotion. La gauche qui n’existe que par le mensonge et les lois liberticides se détruirait en disant la vérité, aussi surement que la lumière détruit Dracula.


Mise en contexte : ces événements se situent aux débuts des années soixante, juste avant la révolution sexuelle, à une époque où la population en général était encore croyante et pudique ; les actes sexuels anormaux, c’est-à-dire non conventionnels ou non naturels, n’étaient pas encore normalisés comme aujourd’hui.



La nuit du 6 et 7 janvier 1964, le pasteur baptiste Logan Kearse invite King et ses associés qui séjournent au fameux hôtel Willard de Washington à venir dans sa chambre rencontrer plusieurs paroissiennes de son église. Une fois dans la chambre, le groupe se demande quelles femmes seraient les plus aptes à participer à des actes sexuels naturels vs non-naturels. Lorsqu’une des femmes désapprouve, le pasteur Kearse la viole sur-le-champ – le document dactylographié stipule entre parenthèses, citant comme source un document spécifique du FBI (100-3-116-762) –, « devant King qui les observe en riant et en donnant des conseils ». (7)


Le soir suivant au même hôtel, King et ses amis reprennent leurs activités. Douze individus « participent à une orgie sexuelle » comprenant des « actes de dégénérescence et de dépravation ». Lorsqu’une des femmes refuse de se livrer à un acte non naturel, King et plusieurs des hommes présents discutent du meilleur moyen de lui enseigner cet acte et de l’initier. Pour la convaincre, King lui dit que cet acte l’aidera à « améliorer son âme ». (8)



Par respect pour nos lecteurs, nous ne donnerons pas de détails salaces sur la fois où King et ses collègues pasteurs se sont livrés à une orgie avec une prostituée blanche de 28 ans, mère de quatre enfants, nommée Gail LaRue. La musicienne noire, Clara Ward du groupe gospel, The Clara Ward Singers, qui l’avait engagée, participait elle-même à cette orgie copieusement arrosée, et qui s’amorça par un coup de téléphone de King à l’un de ses collègues-pasteurs : « amène ton putain de cul ici, j’ai une belle salope blanche. » Spécifions pour terminer qu’au beau milieu de l’orgie, Gail LaRue prie peur et quitta les lieux précipitamment lorsque King et ses acolytes, complètement ivres, commencèrent à proférer des obscénités (9).


En définitive, personne n’est parfait, le message est plus important que le messager, mais pour être crédible, un minimum de concordance est nécessaire entre les valeurs affichées et les valeurs pratiquées. Si un saint comme King est en réalité le mal incarné, le public devrait en être le premier informé, car quel parent responsable voudrait donner le diable en exemple à ses enfants.


D’un point de vue éthique, inutile de le répéter, personne n’a le droit de façonner les humains à son image et de reconstruire la société sans le consentement du public, voire contre sa volonté, par des moyens furtifs non démocratiques et parfois violents, comme l’ont fait Stanley D. Levinson et sa clique de communistes en construisant de toute pièce le mythe de Martin Luther King.


Références


1. Michael A. Hoffman (1992). Holiday for a Cheater. Wiswell Ruffin House, Dresden, New York.


2. Federal Bureau of Investigation. Subject: Martin Luther King, Jr., a current analysis. March 12, 1968, p. 3.


3. Kevin MacDonald (2002). Chapitre 7 : Appendix: Jewish pro-immigration efforts in other western countries, p. 298. The Culture of Critique. An Evolutionary Analysis of Jewish Involvement in Twentieth-Century Intellectual and Political Movement. 1stBooks.


5. David J. Garrow (30 mai 2019). The troubling legacy of Martin Luther King. Newly revealed FBI documents portray the great civil rights leader as a sexual libertine who ‘laughed’ as a forcible rape took place. Standpoint. (Traduction libre).


https://standpointmag.co.uk/issues/june-2019/the-troubling-legacy-of-martin-luther-king/


(Traduction libre).


6. Ibid.


7. Ibid.


8. Ibid.


9. Ibid.


 


 



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