Pour inverser la nocive tendance à la hausse de la population canadienne et québécoise, il faut viser moins d'immigrants permanents, et juste ce qu'il faut d’étrangers temporaires pour répondre aux besoins du marché du travail.
Même le gouvernement fédéral de Mark Carney s'est engagé à mettre la pédale douce sur l’immigration, bien que cela reste à voir.
L'objectif est de faire en sorte que la population du pays cesse de croître démesurément et que les tiers-mondistes restent au tiers-monde. On les accepte un certain temps par nécessité, puis on les renvoie pour éviter qu'ils finissent par demeurer de façon permanente, et dénaturent notre société.
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Immigration temporaire et retour rapide au pays d'origine
Peu importe qu'un immigrant étranger temporaire reste 3 ans (comme avant) ou 1 an (récemment proposé), le principal, c'est de pouvoir s'en défaire au bout d'une certaine limite de temps afin d'éviter qu'un surnombre d'entre eux ne s'incruste et se mette à disloquer les fondements de notre société, surtout en raison des méfaits du multiculturalisme destructeur de l’identité collective nationale.
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Rappelons que l'immense avantage que nous accordons à ces gens, c'est le fait de pouvoir passer ici une certaine période de temps qui leur permet d'amasser une véritable fortune en argent de leur pays, ce qui leur permettra d'améliorer leurs conditions de vie une fois de retour chez eux. Par conséquent, si on veut aider le plus grand nombre possible de ces pauvres miséreux avides, il faut que chacun reste ici un temps limité pour laisser la chance à d'autres de ses semblables de venir s'enrichir ici à leur tour.
Donc, un séjour d'un an seulement au lieu de trois permettra à trois fois plus de temporaires de venir amasser un pécule suffisant pour se tirer d'affaires à son retour au pays d'origine. Donc, c'est une très bonne chose de faire passer la durée de 3 à 1 an. De toute façon, ils seront toujours des millions prêts à accepter cette offre des plus alléchante.
C'est vraiment un marché hyper généreux que nous avons à leur offrir. Mais cela prend en contrepartie des règles fixes si on veut éviter les abus du système, ce qui se produit trop souvent dans le cas de l'immigration permanente profiteuse. Voyons-en quelques-unes.
Renvoi du surplus déjà entré
L'autre aspect visant à décongestionner nos systèmes sociaux taxés par le surnombre d'immigrants est de retourner 20% des derniers arrivés. On pourrait commencer par les inaptes qui échouent leur intégration:
- chômage
- incapacité à apprendre le français
- criminalité
- malades qui sont venus expressément se faire soigner gratis et à vie à la médecine de pointe et qui nous coûtent un bras (+ médicaments coûteux à vie)
- ceux qui ont plus de 2 enfants qui surchargent le système scolaire (on ne veut surtout pas de classes remplies majoritairement d'étrangers)
Mesures pour éviter qu'un immigrant ne soit à charge de la société d'accueil
- Si un immigré ne se trouve pas d'emploi à son arrivée et qu'il a épuisé ses réserves d'argent personnel, il sera automatiquement renvoyé. Il sera bloqué de toute possibilité de revenir.
- Chaque fois qu'un immigré est mis à pied, s'il ne se trouve pas un autre emploi dans le mois qui suit, il sera renvoyé dans son pays. Soyons plus expéditif.
- On doit pouvoir dicter à tout immigrant le travail qu'il devra faire pour combler les besoins réels du marché du travail, peu importe ses qualifications. Si cela ne fait pas son affaire, renvoi automatique.
- Tout poste occupé par un étranger temporaire ou un immigrant reçu sera remis en disponibilité aux natifs chaque année. Si un jeune électricien fraîchement diplômé d'ici veut le poste, c'est lui qui le reprend. Jamais un étranger ne doit pouvoir s'approprier un emploi et empêcher un natif de travailler.
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Le chef de l'opposition officielle du Canada, Pierre Poilièvre, l'a récent résumé en une formule lapidaire: "moins d'immigrants qui entrent, plus qui sortent". Rétablissons un peu d'ordre dans tout ce chaos de mouvance migratoire indésirée.
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Encore plus important au Québec
C'est encore plus important de limiter l'immigration au Québec, car elle provoque la dilution et l'amoindrissement du peuple fondateur jusqu'à la minorisation, comme on en voit les ravages à Montréal, qui n’est plus maintenant qu’une ville canadienne comme une autre.
Par conséquent: des temporaires plutôt que des permanents.
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