Combien faut-il voir de multiethniques par jour sur la rue pour ne plus se sentir chez soi?
Combien? mais pas tant que ça au fond. Ce n’est pas long que rendu au cinquième ou au dixième depuis qu'on a quitté la maison, on commence à s’interroger. Et si on continue à les compter le reste de la journée, et qu’on arrive à 50, 100, 150, que faut-il en conclure? C’est peut-être signe que le tiers-monde miséreux a entrepris de s’installer ici, et qu’il poursuit son œuvre maligne de surpeuplement à la grandeur de l'Occident convoité.
Dans ce questionnement, il est entendu qu'on ne tient pas compte de la situation prévalant à Montréal, devant désormais être considérée comme une ville étrangère.
À lire: Non à tout un Québec aussi dénaturé que Montréal
On pourrait élargir ce questionnement :
Ci-dessus: scène de la vie quotidienne à la haïtienne
Combien faut-il voir de Noirs par jour pour se sentir en Afrique ou à Haïti alors qu'on n'y est pas, et se dire que quelque chose ne tourne vraiment pas rond? Qui veut avoir l'impression malaisante de vivre à Port-au Prince ou à Brazzaville ?
Ci-dessus: scène décrivant les conflits hindous/sikhs transposés au Canada
Combien faut-il voir d’hindous, de sikhs ou de pakistanais par jour pour se sentir en Inde alors qu'on n'y est pas? Ce n'est pas normal de se sentir en Inde lorsqu'on vit ici au Québec. Qui veut avoir l'impression malaisante de vivre à Bombay ou à New-Delhi ?
Ci-dessus: prière de rue islamique bientôt à Montréal?
Combien faut-il voir de musulmans et de femmes voilées par jour pour se sentir au Moyen-Orient alors qu'on n'y est pas? Ce n'est pas normal de se sentir au Maroc, en Tunisie, en Algérie, lorsqu'on vit ici au Québec, pas au Maghreb. Qui veut avoir l'impression malaisante de vivre en Iran, en Afghanistan ou en Syrie ?
Ci-dessus: marché de Brossard entièrement fréquenté par des asiatiques anglophones qui forment la majorité de la ville
Combien faut-il voir d’asiatiques par jour pour se sentir en Chine alors qu'on n'y est pas? Ce n'est pas normal de se sentir en Asie lorsqu'on vit ici au Québec. Qui veut avoir l'impression malaisante de vivre dans une de ces mégalopoles ultra-polluées chinoises ?
Ci-dessus: flots de migrants latinos. Combien franchiront notre frontière illégalement?
Combien faut-il voir de latinos par jour pour se sentir au Mexique ou en Amérique du sud sous-développée alors qu'on n'y est pas? Ce n'est pas normal de se sentir en Amérique du sud lorsqu'on vit ici au Québec. Qui veut avoir l'impression malaisante de vivre au Vénézuéla ou en Colombie ?
Pour mieux comprendre cet effet hyper-déstabilisant, lisez : 40 signes qui ne mentent pas qui font qu'on ne se sent plus chez nous
En principe, on est censé se sentir chez nous chaque fois qu'on met les pieds dehors, et pas à l’étranger, et ne pas ressentir l'impression désagréable d'être encerclés d’inconnus étrangers qui souvent font peur à voir avec leur mine rébarbative, voire même hostile, qui ne nous ressemblent en rien -et qui ne font rien pour.
Se sentir chez soi et en sécurité en tout temps est reconnu comme étant un besoin minimum de la vie normale en société, c’est la base du bien vivre-ensemble, une condition essentielle à la qualité de vie collective, tel que le résume la pyramide des besoins du psychologue humaniste Abraham Maslow. Il faut qu’on se reconnaisse entre nous, c'est aussi simple que ça. Il ne peut pas y avoir des membres d'autres tribus rôdant à travers la nôtre ou alentour.
On se sent bien lorsqu’on est entouré de gens semblables à nous : physionomies familières qui nous agréent, comportements acceptables, apparence vestimentaire, allure générale, attitudes correctes, bonnes manières et politesse, mentalité compatible, expressions faciales, langage corporel, façon d'entrer en contact et de communiquer, d'échanger, une même culture partagée qui nous nourrit, entendre une langue parlée sans accent étranger qui la massacre, codes sociaux établis, etc. Viser un tel objectif est tout ce qu’il y a de plus normal et désirable.
Mélanger de force trop d'éléments disparates divergents et même opposés ne peut entraîner que malaise, conflit, tension et sentiment d'insécurité. Ce qui ne peut qu'affecter négativement la cohésion et la paix sociale.
L’être humain occidental que nous sommes a besoin de visages familiers, reconnaissables, harmonieux, qui correspondent aux canons de beauté de sa société, à sa démographie historique, pour se situer, pour s'orienter, se sentir bien.
À lire : Immigration défigurante: préservons nos canons de beauté
La diversité imposée de force est une idéologie nuisible à la cohésion sociale la plus élémentaire, comme s'il était encore nécessaire de le démontrer. Elle divise, sépare, cloisonne, antagonise.
Pire encore, elle accomplit encore plus de ravages tout particulièrement dans les petits pays qui ne possèdent pas la même force assimilatrice (melting pot) qu’un grand pays comme les États-Unis. La diversité produit alors le mode de vie communautariste, formé d'un mélange mouvant de sous-sociétés hermétiques qui s'excluent les unes les autres. Et c'est sans parler du multiculturalisme qui empire les choses en réduisant l'adhésion à la culture majoritaire.
À lire: La diversité, un mal non nécessaire (36 exemples)
En passant, l'effet tant vanté du melting pot devant faciliter l'assimilation est train de s'éroder aux États-Unis, en raison de la montée des minorités étrangères qui se solidifient par la pratique du communautarisme, la latino étant la plus forte et résistante à la langue anglaise en raison du nombre atteint résultant de toutes les formes de migration légales ou non qui envahissent leur pays. Un acteur de Hollywood déplorait récemment que l'espagnol avait désormais supplanté l'anglais à Los Angeles à un point tel qu'il lui arrivait de ne plus pouvoir se faire comprendre. La situation est si déplorable qu'ils ont été forcés de désigner l'anglais langue officielle des États-Unis cette année.
La grande déchiqueteuse diversitaire telle qu’activée par les forces fédéralistes a des visées de minorisation du peuple québécois de souche, elle cherche à nous noyer dans le nombre, à nous démembrer, à nous remplacer un par un, à nous rayer de la carte, à nous effacer.
Certains pays s'envoient des bombes et des drones; ici au Québec, on nous bombarde d'immigrants explosifs.
Moins on se sent chez soi, et moins on peut se sentir heureux, serein et paisible, individuellement ou collectivement.
Et lorsqu'on constate la plus haute proportion de crimes de toutes sortes commis par les immigrants, ce n'est pas comme ça qu'on pourra améliorer la vie en société.
À lire : Immigrés criminels: l'expulsion immédiate à la première offense comme solution
À chacun d'y voir en demandant à nos élus d'effectuer une meilleure sélection des immigrants en fonction des points communs, d'une culture compatible et complémentaire, d'une ressemblance intrinsèque qui respecte notre démographie historique, faisant preuve d'une meilleure volonté et capacité d'intégration, et qui ne cherchent pas à répandre de religion obscurantiste. En ce qui concerne les Québécois, cela se limite à d'autres Occidentaux qui sont ceux qui se rapprochent le plus de ce que nous sommes.
À lire: Non à une société pluraliste au Québec
Il faudrait également qu'Immigration Canada filtre mieux les candidats en écartant ceux qui viennent des pays les plus violents et corrompus de la planète qui représentent trop de danger pour notre sécurité collective.
Il n'est pas dans l'intérêt de la nation québécoise de se laisser tiers-mondiser, déciviliser, dénaturer, par les millions d'étrangers profiteurs venus des pays de misère qui affluent à nos frontières, et qui se fichent totalement que ce soit de manière légale ou non, du moment qu'ils entrent et nous soutirent tout ce qu’ils peuvent. Si on permet à tous d'entrer au pays demain matin, ils vont tous entrer au pays demain matin. Qui tient vraiment à une telle noyade programmée?
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