« Le but de la constitution de 1982 est de saper les bases de notre existence nationale »
Il faut se désoler de l’isolement du Québec, pas s’en réjouir
André Pratte affirme que le fédéralisme ne nous enferme pas dans le statu quo. Pour lui, le fait que l’on puisse difficilement modifier la Constitution constitue une bonne chose. C’est un gage de stabilité, et cela protégerait nos droits fondamentaux.