Quand le hijab devient bâillon...
12 juin 2014
Au sujet de la poursuite de Dalila AWADA contre Louise Mailloux, Postedeveille et vigile, il serait bon d'identifier qui est son tuteur. Tel que me confiait une ami tunisienne, toute musulmane est coiffée d'un tuteur à partir de sa puberté.
Je reviens sur un commentaire de Francis Déry daté du 9 juin 2014, je cite: «{ La vraie question est de savoir pourquoi nous les avons acceptées comme Québécoises/Canadiennes quand leurs mœurs sont étrangères. »
Concernant la question: « pourquoi nous ... avons acceptés » des immigrants avec des moeurs qui nous sont étrangères ? Honnêtement, cette question nous a-t-elle déjà été posée par nos politiciens ?
Ma réponse: par mon indifférence envers les politiques d'immigration, mon silence a été interprété comme mon consentement à 100% en faveur d'un laisser-faire en immigration. Cette attitude a commencé à changer à compter du lancement d'une Charte de la laïcité du Québec à l'automne 2013.
Après tout, ouvrons toutes grandes nos portes à ces pauvres immigrants. Mais, à ma connaissance, le Québec n'a jamais posé la question en commission publique, savoir: combien d'immigrants le Québec peut-il recevoir chaque année et selon quels critères ?
Les Chambres de commerce ont répondu pour leur part, "le plus grand nombre car on manque de main-d'oeuvre ( ce qu'elles ne précisaient pas, c'est une main-d'oeuvre à bas salaire...)
Il ne faut pas négliger l'action des lobbys en faveur d'une immigration illimitée par les professionnels de l'immigration, conseillers et avocats qui font leur pain et leur beurre avec l'immigration.
Il y aurait tout l'aspect des crédits annuels attribués à l'immigration à Ottawa et à Québec de manière à faire un simple calcul pour répondre à la question: combien nous coûte annuellement chaque immigrant qui s'installe au Québec et cette ponction dans les fonds publics dure combien d'années avant que l'immigrant et sa famille soient productifs pour le Pays du Québec ?
Chaque Québécois doit être informé de l'argent qui sort de sa poche pour pratiquer la charité envers nos immigrants. J'entends les cris des coeurs sensibles. De quels crédits budgétaires dispose le Québec pour accueillir des immigrants chez nous ? On veut savoir.