500 000 immigrants de trop à renvoyer pour régler la crise du logement
22 janvier 2024
Bonjour M. Labrie,
"Xénophobie": est-ce que vous connaissez ce mot?
François Champoux, Trois-Rivières
Le monde devient de plus en plus FAUX, et tristement, Desjardins ne fait plus exception.
«Le roitelet viole les règles de la démocratie? On ne saurait attendre mieux d’un primitif…» André Laurendeau, Le Devoir, 4 juillet 1958.
Le monde devient de plus en plus FAUX, et tristement, Desjardins ne fait plus exception.
Autrefois, c'était la religion qui dirigeait; aujourd'hui, ce sont les financiers
La démocratie ou... encore l'obscurantisme?
La prière de François Legault
Si l'Oratoire Saint-Joseph brûlait...
Sauveur du monde?
Qui peut y prétendre?
Où commencent-elles? Où se terminent-elles?
Au Québec, il faut réinventer la roue
Et s'il vous plaît, pas de "Top Gun"
"L'Homme est la mesure de toute chose" (Protagoras)
Respect de tout un chacun
L'évolution n'est jamais à sens unique
Exigence de vigilance
Les croyances sont trop vivantes
Un sociétaire se bat
Menace de mort contre Paul Saint-Pierre Plamondon
22 janvier 2024
Bonjour M. Labrie,
"Xénophobie": est-ce que vous connaissez ce mot?
François Champoux, Trois-Rivières
19 janvier 2024
Bonjour M. Marineau,
Quand on est jeune, la pratique d’un sport d’équipe se fait dans un esprit de plaisir, de joie: on divise les équipes dans une tentative qu’équité et d’égalité des forces afin que le plaisir ne soit pas gâché. Mais rendu adulte, la rivalité du sport d’équipe prend trop souvent la dimension de violence; et alors le plaisir disparaît laissant place à l’amertume que cette violence cause par son injustice.
Les intentions d’équipes professionnelles sont louables, mais leurs buts demeurent douteux: jusqu’où l’exploitation des joueuses prend le dessus sur de plus nobles intentions?
Il faut souhaiter que le plaisir et la joie soient supérieurs à l’exploitation des athlètes. Mais j'en doute.
Comme disait un ami: "On n'empêche pas le progrès" Quel progrès?
François Champoux, Trois-Rivières
15 janvier 2024
Trois-Rivières, 15 janvier 2024
Bonjour M. Marineau,
Le drapeau du Québec comme tout drapeau de pays doit nécessairement se considérer comme un symbole d’endoctrinement; il est comme la croix de la religion catholique : un symbole de ralliement incontesté et incontestable. C’est pour cela que nous les voyons lors de réunions des gens.
J’ai souvent eu peu de fierté à voir ce symbole accroché n’importe où au Québec alors qu’ils étaient tous effilochés et décolorés par le vent et les intempéries de notre rude climat. Je me souviens d’avoir dû écrire à la direction de mon hôpital pour faire changer ce symbole de fierté tellement il était devenu un vieux chiffon à simplement jeter aux ordures. Quand un drapeau devient comme un vieux chiffon, vous pouvez facilement imaginer depuis combien de temps les autorités n’avaient pas levé les yeux vers ce symbole pour les encourager à bien faire leur devoir de citoyen : travailler et gagner leur pain.
Si un jour, le Québec devait devenir un pays, il serait bien qu’il n’adopte aucun symbole de supériorité, d’endoctrinement, de ralliement ou de distinction quelconque; seul son nom comme pays suffirait à dire au monde entier qu’ici, au Québec, c’est un pays qui se respecte. Pas besoin de devenir un empire qui étale son drapeau à l’américaine partout sur son territoire pour être fier de ce que nous sommes. Soyons-le avec respect, humilité et amour; ça nous permettra de demeurer un peuple en paix et heureux de vivre ici, sur cette terre, sur cette planète.
Quant à l’hymne nationale chantée debout à toutes les occasions avec une main sur le coeur, je souhaite que nous nous en abstenions : faut-il étaler notre fierté pour l’être? Je ne pense pas. Il faut agir à bâtir pour être fier dans l’humilité; ça suffit. Et c’est moins irritant vis-vis des autres qui pourraient facilement développer une jalousie meurtrière comme nous le voyons partout sur ce globe terrestre.
Finalement, vos témoignages d’altruisme vécu dernièrement sont effectivement légion partout dans le monde; ça n’empêche pas un sain individualisme. L’individualisme pourrait être considéré comme synonyme d’égoïsme, mais c’est à mon humble avis une erreur sémantique qui doit être corrigée. Il est péjoratif de considérer l’individualisme comme un défaut des êtres humains : tout le contraire. Les humains ont cette capacité de se distinguer parmi la foule et c’est ce qui fait la richesse de cet animal pas comme les autres. Il faut encourager l’individualisme qui n’est pas narcissisme, qui n’est pas égoïsme, mais qui est développement de notre individualité.
Encore merci de votre réflexion.
François Champoux, Trois-Rivières
13 janvier 2024
Re-Bonjour M. Marineau,
Comme vous l’avez presque dit, nul ne peut s’engager dans un combat en sachant d’avance qu’il le gagnera : nous nous engageons toujours dans la foi en soi, la seule qui doit nous donner l’énergie à agir. C’est un peu cette volonté de puissance qui est en chacun de nous, jusqu’à mort s’en suive.
J’ai eu la chance de participer à l’éveil de nous tous à cette aide médicale à mourir il y a maintenant plus de 15 ans. L’évolution des mentalités humaines à cette réalité avance et j’en suis fort heureux. Ce combat ne fut pas gagné d’avance et il ne l’est pas encore.
Bon cheminent et bonne lecture à cette fin.
François Champoux, Trois-Rivières
12 janvier 2024
12 janvier 2024
Toujours un merci de votre réflexion qui nous éclaire sur l’état de grande pénibilité au ministère de l’Éducation. Dire qu’au ministère de la Santé cette pénibilité est encore pire!
Je pense que vous confirmez que depuis trop longtemps un manque flagrant de respect mutuel envenime les relations professionnelles de tout un chacun, faisant en sorte que les enfants sont laissés pour compte. Les plus doués s’en sortent bien et les moins chanceux demeurent sur la touche. Il faudra une révolution pour améliorer le tout; pas une réforme; une révolution. Ce sera plus douloureux, mais finalement, il y aura vraiment un changement bénéfique pour la jeunesse qui sera prise en charge par des adultes matures qui voudront le bien des jeunes: leur apprentissage des choses de la vie et des connaissances afin qu’ils sortent de leur ignorance.
Considérant votre santé; je lis actuellement un auteur que j’ai découvert tout simplement par hasard: Jean-Paul Simard, L’autre voie de guérison; voir au-delà de la souffrance et de la maladie». Ce n’est pas un divin ni un devin, mais il écrit bien et est très plausible dans ses explications.
Bon rétablissement, bon cheminement.
François Champoux, Trois-Rivières
11 janvier 2024
Bonjour M. Marineau,
Encore merci de votre réflexion.
Le pire actuellement à mon humble avis c’est que nous avons un ministre de l’Éducation qui est complètement édenté: incapable a-t-il été d’exiger de la part des enseignants qu’ils reprennent à même de journées de non-enseignement à venir (journées pédagogiques, semaine de relâche, Pâques) la perte de temps des journées de semence d’avenir lors des journées de grève. Le tout en dilapidant plus de 300 millions de dollars en faisant croire qu’on va remettre à niveau les plus faibles. Quand ça? Quand les élèves faibles vont dire «d’accord» et à des heures en dehors des heures d’école! Les enfants faibles vont être joyeux (les parents aussi) et vont sauter au plafond, n'est-ce pas?
Édenté notre actuel ministre de l’Éducation. Quand il sera à sa retraite celui-là, son bilan ne sera certes pas très relisant et la semence de l’avenir ne s’"élèvera" pas très haute. Y a-t-il des semeurs d’avenir qui pensent comme ça? Je ne pense pas; ç’aurait été au ministre d’y voir! Édenté et aveugle en plus! Un ministre sans leadership qui fait semblant d’en avoir.
Quant à votre deuil du journal papier, il est très simple de le faire rapidement : vous n’avez qu’à vous rendre à la bibliothèque de votre ville et y découvrir de magnifiques livres de réflexion; je pourrais vous en suggérer des centaines et des centaines qui vont vous faire oublier très vite les publicités insipides et emmerdantes des journaux, lesquels ne sont pas plus importants pour la démocratie que n’importe quelle opinion à analyser du plus chevronné des journalistes. C’est la lecture qui est la nourriture de l’esprit, pas le plaisir de siroter un café en regardant les images. Les journaux ont connu leurs heures de gloire; c’est maintenant terminé. Quant aux livres, il semble qu’ils sont toujours des joyaux à découvrir sans pour autant tous les considérer comme tels.
François Champoux, Trois-Rivières
9 janvier 2024
Rebonjour M. Marineau,
Merci d’avoir répondu à mon commentaire.
À vous lire cependant, je pense que vous confirmez que vous préférez la stagnation à l’évolution, n’est-ce pas?
Je partage avec vous la nostalgie du passé; oui, je suis un nostalgique moi aussi comme vous, mais je m’adapte sinon…
Ça ne m’empêche pas de combattre la bêtise : de tout temps, les humains ont dû la combattre celle-là; et ce n’est pas terminé. Il ne faut pas dire «Après moi le déluge». Il faut plutôt dire «Après moi le meilleur.»
J’ai deux projets pour 2024 : celui de faire enseigner un jour «L’amour, l’art d’aimer» aux étudiants du secondaire du Québec; si vous voulez m’aider dans ce projet, le travail sera immense. L’autre projet : ramener le Mouvement Desjardins dans le coopératisme : à cette fin, je suis en démarche avec la Caisse d’économie solidaire Desjardins pour présenter aux sociétaires (leur assemblée générale des membres : 18 avril 2024) 3 propositions majeures :
1re proposition; Abrogation des règlements de régie interne 4.6 (saine conduite d’un membre) et 4.7 (réprimande, suspension, EXCLUSION).
2e proposition : Limitation des dons, commandites, subventions et contributions à des fonds financiers sociaux décidés par les dirigeants.
3e proposition : Votation par la poste ou électronique des sociétaires sur des propositions aux membres avant l’assemblée générale annuelle.
Là aussi le travail sera immense. Si vous êtes membres de cette coopérative, merci d’assister à cette importante assemblée générale (AGA) et d’appuyer mes propositions si vous les considérez comme conséquentes d’une vraie coopérative.
Avant de disparaître, il faut s’organiser pour tenter de rendre ce monde meilleur; c’est un travail éternel.
François Champoux, Trois-Rivières
P.S.: L'AGA de la Caisse aura lieu à Montréal, Théâtre Paradoxe, 5959 boulevard Monk.
P.S. L'évolution est une sacrosainte réalité cosmique à conjuguer par nous humain, bête imparfaite.
5 janvier 2024
Bonjour M. Marineau,
Encore merci de votre texte du 4 janvier 2024.
Permettez cependant que je ne partage point votre nostalgie des chansons d’antan, surtout celle du «Minuit chrétien» aussi grandiose a-t-elle été chantée par Richard Verreault.
Nous sommes depuis des décennies des sociétés qui ne vivent que dans la nostalgie du passé; il faudrait débloquer cet enlisement afin que l’humanité continue son évolution; nous stagnons depuis trop longtemps et nous continuons de penser que c’était mieux avant. C’est là une erreur grave qui nous fait encore penser que si nous voulons la paix, il faut toujours préparer la guerre! La dégradation de nos sociétés est pourtant un symptôme à mieux considérer.
Le «Minuit chrétien», que j’ai admirablement écouté et chanté, nous ordonnait de nous mettre à genoux; faut-il toujours laisser ce diktat nous endoctriner et ainsi croire que nos démocraties ne peuvent plus évoluer vers un meilleur qu’un François Legault au pouvoir? Ou encore que nous devrions retourner à la messe de minuit pour nous ramener à la pratique de la religion? Non merci.
Le changement n’est pas une garantie d’un meilleur monde, mais le piétinement dans le passé n’est certes pas une avancée non plus.
Qu’en pensez-vous?
François Champoux, Trois-Rivières
4 janvier 2024
Bonjour M. Marineau,
« C’est dans l’temps du jour de l’an… »
Depuis la tricherie officiellement reconnue par le premier constructeur automobile au monde, les tricheurs n’arrêtent pas de s’additionner : après Volkswagen, voici Cummins, et maintenant, Daihatsu. Et oui, après les Allemands, voici les Américains ainsi que les Japonais : ils reconnaissent avoir triché eux aussi aux tests de sécurité. L’adage dit bien : «faute avouée à moitié pardonnée»; mais il y a cette autre maxime populaire née probablement au temps des fêtes où nous chantions que c’était «… le bon temps d’en profiter»… La nouvelle règle c’est :
«Tout le monde le fait, fais-le donc!»
Le problème, c’est que ça n’arrive plus qu’une fois par année : c’est maintenant la règle en tout temps de l’année.
Oui, en tout temps maintenant, c’est la règle du «Tout le monde le fait, fais-le donc.».
Si le monde est dirigé par les plus fins, rien ne dit qu’ils ne soient pas les plus fins malhonnêtes au pouvoir. Vous tous qui êtes installés au pouvoir de nos entreprises de tous genres, reconnaissez-vous que vous êtes des tricheurs qui n’ont pas encore été pris la main dans le sac?
Il le faudra bien puisque nos constructeurs de moteurs et de voitures reconnaissent eux-mêmes qu’ils sont des tricheurs et qu’ils suivent depuis déjà un certain temps la règle numéro 1 du pouvoir : tricher. C’est officiellement la règle numéro 1 au monde : pour être au pouvoir, il faut tricher, même si l’on se fait prendre!
Que vous soyez du monde capitaliste ou communiste ou coopératif ou syndical, sportif ou même du bénévolat et des religions, combien de fois sommes-nous restés bouche bée devant l’annonce de tricheries de la part de celles et de ceux en qui nous avions confiance pour leur intégrité personnelle et professionnelle, en qui nous attendions une action irréprochable, et qu’au contraire, on nous révélait des actes illégaux et immoraux?
L’honnêteté semble être le lot des petites gens, des crédules qui pensent qu’on ne doit pas voler ni tricher ni mentir ni abuser…
Aujourd’hui, nous redécouvrons notre naïveté d’antan, encore pire que durant ces siècles de religiosité corrompue, de monarchie profiteuse et grandiloquente, de coopération bienveillante à sens unique pour privilégier une minorité, favorisée par ses dirigeants au discours pompeux, et quoi encore.
Le plus désolant actuellement c’est que les tricheurs reconnaissent leur fourberie, payent les amendes et continuent fièrement d’abuser et de tricher : les lois, c’est bien connu, les tricheurs s’en contrefoutent totalement : leur pouvoir est au-dessus des lois. Ils sont les nouveaux dieux par leur formule divine et céleste de la tricherie haut de gamme.
Vivre en enfer des tricheurs devient de plus en plus la norme, et ce, PARTOUT sur la planète.
Alors, souhaitons-nous la Bonne Année, mais que Donald Trump ne redevienne pas en 2024 le président au pouvoir des tricheurs.
Bonne Année, tout le monde et que les abus des tricheurs cessent finalement pour arrêter cette inflation que nous payons depuis trop d’années.
22 décembre 2023
Bonjour M. Marineau,
Bel effort de synthèse de l’histoire du Québec sous François Legault. Merci et bravo.
Je pense cependant qu’il n’y a pas que M. Legault qui a des torts dans l’actuelle situation de la société du Québec; ne croyez-vous pas que nous sommes toutes et tous un peu,beaucoup très coupables de notre propre dégringolade civile? François Legault n’est qu’un bouc émissaire facile à trouver.
Je pense que nous ne sommes pas encore collectivement assez matures pour dire «Oh! Là patron: ça ne va plus!» quand ça ne va pas. Nous attendons trop longtemps avant de dire que ça ne va plus. Ne trouvez-vous pas? N’est-ce pas qu’il y a un laxisme qui règne depuis trop longtemps, très longtemps? Moi je le pense, et je ne suis pas un partisan ni des syndicats ni de François Legault, loin de là.
Ça fait des décennies que ça ne va plus en Santé, ni au ministère de l’Éducation; que ce soit les gouvernements ou les syndicats, ne trouvez-vous pas que les dirigeants manquent de maturité pour vraiment avoir la volonté de soigner ces embarcations (Santé et Éducation) qui prennent l’eau depuis des décennies?
Pour moi, c’est l’immaturité des dirigeants qui est en cause: leurs intérêts personnels au-delà celui de la société à laquelle ils sont tous les deux redevables. C’est pour cela qu’ils sont fiers tous les deux de nous dire qu’ils travaillent pour la société. Mais nous le savons qu’ils travaillent pour nous depuis toujours; alors, comment expliquer qu’ils nous livrent un aussi déplorable résultat? Sont-ils à ce point aussi incompétents? Il faut le craindre et ne pas les croire matures et compétents à l’emploi qu’ils exercent. Car s’ils étaient matures et sérieux, les lamentables conditions de travail dans lesquelles nous recevons leur qualité de service auraient certes été améliorées depuis très longtemps.
Quand je vois les publicités très onéreuses déployées par les uns et par les autres, quand j’entends certains réclamer des aumônes pour pouvoir survivre durant la grève, quand je constate la piètre responsabilité des dirigeants d’un bord comme de l’autre à assumer leur devoir de négociation quand il faut le faire, comment voulez-vous que je pense que nous avons des gens matures à la direction de notre société? Et ce, que ce soit au niveau du gouvernement, comme du côté de celui des syndicats.
Non, ces gens ne sont pas matures, adultes peut-être, mais assurément immatures. Les preuves ne manquent pas; elles fusent de partout.
François Champoux, Trois-Rivières
14 décembre 2023
N. B. important : À la suite de ce texte, un éditorialiste du journal «Le Nouvelliste» a communiqué avec moi afin de m’informer que les «coopératives de l’information» n’imposaient pas cette règle de l'exclusivité des textes d’opinion à leurs lecteurs. Je l’en remercie de cette précision. Il a de plus précisé qu’il était lui-même «CONTRE» cette directive depuis longtemps! Je lui ai alors demandé si ça ne devrait pas être un débat majeur au sein du monde journalistique?
François Champoux, Trois-Rivières
11 décembre 2023
Bonjour M. Leblanc,
Est-ce tout ce que vous avez à nous dire?
N’avez-vous pas une seule solution à nous proposer pour éviter votre conclusion?
Avoir raison c’est une chose; avoir des idées meilleures pour favoriser la paix, le respect, la vie belle, c’est très difficile pour certaines personnes.
Je vous concède que nous sommes dans la recherche du mieux; mais celle-ci est éternelle et est peut-être là une erreur magistrale.
Ma suggestion : revenir à plus simple, car l’éclatement (votre conclusion) semble actuellement irréversible sans ce constat : revenir à plus simple, à l’essentiel.
Oui, je sais, ce n’est pas très original; c’est peut-être pour ça qu’il faudrait le tenter finalement au lieu de tout compliquer inutilement. L’on dit souvent que ce qui est génial était tout simple et pourtant on ne l’avait pas trouvé, n’est-ce pas?
Merci de votre recension du catastrophisme; cherchons des solutions simples, l’essentiel.
François Champoux, Trois-Rivières