Un vent de folie sur l'Assemblée Nationale
16 décembre 2013
Monsieur Michaud a toute mon admiration pour le courage et la dignité qu'il a toujours gardé face à cette infamie. L'histoire rendra justice à ce grand patriote.
Gilles Verrier
Entrepreneur à la retraite, intellectuel à force de curiosité et autodidacte. Je tiens de mon père un intérêt précoce pour les affaires publiques. Partenaire de Vigile avec Bernard Frappier pour initier &a...
Entrepreneur à la retraite, intellectuel à force de curiosité et autodidacte. Je tiens de mon père un intérêt précoce pour les affaires publiques. Partenaire de Vigile avec Bernard Frappier pour initier à contre-courant la relance d'un souverainisme ambitieux, peu après le référendum de 1995. On peut communiquer avec moi et commenter mon blogue : http://gilles-verrier.blogspot.ca
Le ballon d'essai de PSPP ne passe pas
Deux expériences peu convaincantes - de qui se moque-t-on ?
Pour la liberté des nations !
Forum des partisans de la lutte contre les pratiques contemporaines du néocolonialisme
Dans la série, ce que l'identité québécoise a coûté aux Canadiens-Français
Pourquoi Lévesque a-t-il planté Johnson ?
Il y a 28 ans commençait la campagne référendaire
L'échec du référendum n'est pas là où l'on pense
Pour comprendre la question nationale
À l'assaut du temps !
Porter notre identité comme la veste du patriote à la pipe
La Confédération et les Accords de Minsk...double duperie ?
Un fédéralisme des nations, l'option traditionnelle des Canadiens-français
Pour mettre fin à une controverse inutile
Article refusé!
Dans vos textes, on retrouve toujours ces éléments de la même rengaine : • un anachronisme et un révisionnisme de projection puisqu’ils sont en fait les vôtres ; • des amalgames échevelés ; • des informations historiques tronquées ; • l’irréalisme constitutionnel fondé sur la prétention stérile de reprendre le Canada malgré sa configuration actuelle, ce qui implique votre rejet de l’indépendance du Québec ; • le mépris du nom Québec sciemment adopté par notre nation dans les années 1960 ; • l’hostilité contre la québécitude, c’est-à-dire notre identité ; • la certitude grandiloquente d’avoir raison malgré tout contre le peuple québécois.
Notre État français c'est celui du Conseil souverain (1663), de Lionel Groulx, de Maurice Séguin et de Daniel Johnson (père)