J'ouvre un débat sur un taux d'imposition unique au Québec de 12% au lieu des taux de 16, 20, 24 et 25.75% actuel et l'élimination des crédits pour les dividendes, les gains de capitaux et le ménage pour réduire les nombreux crédits qui compliquent le système. Nous payons au fédéral un impôt progressif élevé et d'aligner le Québec sur l'Alberta ferait de nous un endroit hautement compétitif.
On pourrait établir le crédit personnel de base pour tous à 12,000$ au lieu des 10,925$ de 2012.
Simplifier la préparation des impôts et faire des économies en faisant le ménage dans les crédits d'impôt trop nombreux.
Ce qui permettrait de sauver du papier, du temps et de garder nos jeunes et cerveaux au Québec en plus d'attirer ici les meilleurs, de motiver les gens à travailler plus et à encourager l'épargne chez une population lourdement endettée et surtaxée.
Le Québec peut le faire maintenant et deviendra déjà plus prospère et cela ira chercher le vote des nationalistes de droite qui pourront être convaincu qu'un Québec indépendant sera un endroit pour prospérer.
Un Québec indépendant pourrait avoir un taux d'imposition maximum de 33% car après cela les recettes du gouvernement baissent à moins de surtaxer les gens ce qui est contre-productif.
Certains diront que les ultras-riches économiseront plus que les classes moyennes et pauvres, je vous répondrai que les très riches ont déjà des fiscalistes pour économiser au max.
Libérons notre classe moyenne du lourd fardeau fiscal du Québec qui entrave nos libertés de faire des choix de vie et d'épargne.
Pour la simplification des impôts
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2 commentaires
Jean-Claude Michaud Répondre
19 septembre 2013@Lagatta,
Il faut d'abord créer de la richesse pour la distribuer. A moins que vous ne payez pas d'impôt une baisse généralisée des impôts provinciaux devrait vous plaire.
Il y a bien d'autres sources de revenus pour l'État du Québec. La TVQ va chercher presqu'autant d'argent que les impôts. En baissant les taux, les gens devraient moins frauder le fisc par le travail au noir et le recours aux paradis fiscaux. De plus, en faisant le ménage dans les crédits et exemptions ont iraient chercher une partie du financement de la baisse + retombée de la baisse qui vont créer du travail et de la richesse pour financer les trois missions sociales fondamentales de notre État national :
1-L'éducation et la culture nationale
2-La santé
3-L'aide aux démunis et invalides
Pour ce qui est du transport que vous parlez ; C'est la compétence des municipalités et j'espère dans un Québec indépendant qu'on pourra leur verser les recettes de la TPS pour financer les infrastructures de transports : autobus, rue, routes locales, métro ou tramway. Un partenariat entre les villes et Hydro-Québec pourrait faire l'affaire pour électrifier les transports en commun et fournir les bornes publiques de rechargement avec aussi la collaboration je l'espère, d'organisme comme Communauto.
Il faut toujours un équilibre entre la distribution de la richesse et la création de cette dernière. Actuellement, la situation est déséquilibrée et le Québec est lourdement endettée et surtaxée.
Bonne journée!
Archives de Vigile Répondre
18 septembre 2013Tout ce que je peux dire, c'est qu'il s'agit ici d'une proposition profondément réactionnaire, eh oui, qui pourrait bien plaire aux "nationalistes de droite", et faire obstacle à tout projet social québécois, comme les transports collectifs et électrifiés, sans compter le financement de notre réseau scolaire et sanitaire.