Soutenir Djemila Benhabib

Égalité fraternité

Déconfessionnalisation de l'éducation

Tribune libre

http://www.vigile.net/Je-soutiens-Djemila (à lire avant)
Tout simplement incroyable au Québec qu'une cour ait accepté d'entendre cette cause... Depuis quand est-il interdit de parler contre une religion ou bien depuis quand une religion est-elle enchâssée dans une loi?
À mon avis il n'y a même pas de cause...
Et voilà tout l'aspect bon enfant de notre société, notre système de droit et de la perversité de la religion et en l'occurrence l'islam encore...
Il serait temps que quelqu'un fasse comprendre à ces intégristes religieux que la religion ne fait pas loi, n'a pas de place au Québec et surtout dans l'éducation...
Les subventions aux écoles à confession religieuse ne devrait même pas être autorisée...
Immédiatement toutes subventions devraient être retirées à cette école en représailles à son comportement anti-social envers notre société...
Mieux nous devrions arrêter immédiatement l'immigration islamique au détriment de ceux qui comme Djemila Benhabib ont adoptés notre société...
Il y aura des conséquences mais elles seront ailleurs que chez-nous...
Ils feront leur guerre religieuse qui vise à tous nous convertir à l'islam sur un autre continent et laissons-les faire...
Malheureusement vous voyez à quel point cette attitude me fait réagir...
et je ne suis pas le seul.
Moi je le dis tout simplement et savez-vous quoi, je le pense aussi.
L'Islam se met aux bans de notre société, elle-même, en ne se conformant pas à nos valeurs intrinsèques et gagnées non sans misères et peines...
ALLONS-NOUS TRAHIR ENCORE LONGTEMPS NOS ANCÊTRES...
AVONS-NOUS SI PEU DE MÉMOIRE QUE SEULEMENT QUELQUES DIZAINES D'ANNÉES NOUS FONT OUBLIER...
SOMMES-NOUS À CE POINT SERVILES...
NON!
Et ceux, qui comme plusieurs d'entre-nous, voient venir ce qui se produit, ACTUELLEMENT, ailleurs dans le monde et qui ne veulent pas offrir cet avenir à nos enfants, PARTAGEZ VOS IMPRESSIONS IL EST PLUS QUE TEMPS QUE LA PAIX SOCIALE QUÉBÉCOISE SOIT VALORISÉE à sa juste valeur D'ÉGALITÉ ET DE FRATERNITÉ.


Laissez un commentaire



5 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    8 novembre 2013

    M. Tremblay,
    Merci de votre réplique.
    Les Saguenéens sont non seulement pris avec lâ-lâ-Tremblay, mais pris en eux-mêmes avec un réactivisme religieux peu évolutif et pire, fédéraliste et multiculruralisant à travers ce dictateur de maire « Prions touTEs en mairie ».
    Et je rappelle que ce réélu est précisément la bêtise perverse incarnée, celui qui est intervenu en pleine campagne électorale pour dénigrer Djemila Benhabib.
    Jusqu’à quel point les fédéralistes ont mis ce petit Jean en service commandé pour faire un détournement via du racisme : utiliser la religion pour justifier de la petite et illégale politique (sans l’intervention du DGE), à hauteur typique des coups bas fédéralistes.
    Souvenons-nous que c’est sur le crucifix à l’Assemblée nationale que Djemila s’est fait planter, un débat que ne clôt pas le projet de la Charte tel que présenté en projet de loi. Attendons-nous donc à des sorties de ces mé-maireux nombrilistes prochainement.
    Le paradoxe est ce besoin de « s’embusquer » selon l'expression de votre père, s'embrigader gréguerrement (sic) sous une religion, donc sombrer dans un communautarisme à courte vue et revendiquer sa différence et ses droits personnels au détriment de ceux de la collectivité et de sa différence nationale.
    Ces faux dieux élitistes sont bien à l’image de cet égoïsme typiquement hommeresque de la primarité humaine. Rien à voir avec la spiritualité dans ce qu’elle a de développement personnel profond, effort et exigence profondément solitaires dans son universalisation même des valeurs... à partager.
    Il n'y a pas de peuple élu, il n'y a que des religions élitistes.
    Dieu n'appartient à personne et croire n'est pas une faculté à objet défini ou limité.
    Quant aux Bouchard (bis), Taylor et médiacratie associée, ils réduisent le savoir dans l'insolence de leur agir à sa fonction contraire : un instrument de collaboration à la domination des peuples et à l'aliénation des nations, plutôt que voué à la libération d'une intelligence et d'une information plus véridiques.
    Une école qui sert à endoctriner ou interdire la liberté de parole et d'expression ne mérite pas de permis, mais au nom d'un savoir digne de ce nom, doit être prohibée.
    Quand une école veut faire la loi, elle contrevient à son devoir de réserve, son mandat étant d'éduquer, non d'endoctriner et de sanctionner.
    ChristianP

  • Archives de Vigile Répondre

    7 novembre 2013

    @ Christian P
    Moi, parent avec Jean «Là là» Tremblay? Vous voulez rire? Rassurez-vous. Le ton «folklorique» ne servait qu'à exprimer d'une façon populaire où se situe... le peuple qui n'a pas la belle instruction de Bouchard, Taylor et les autres. Bon, d'accord, une partie du peuple. Quant à mon père, il quitta le Saguenay pour Montréal vers 1944. En son temps, il avait des idées déjà très avancées par rapport à celles défendues par l'orthodoxie catholique de l'époque. Il considérait notamment les curés du séminaires de Chicoutimi comme des «embusqués» (c'est le mot qu'il employait). Il avait les mêmes idées anticléricales à l'égard des Rédemptoristes, des frères et des bonnes soeurs. Il fut un «drop out» qui paracheva son éducation en autodidacte. Il lisait beaucoup, pensait par lui-même et n'avait pas la langue dans sa poche. Il fut hyper-laïc jusqu'à son dernier souffle.
    Il ne faut donc pas demander à ma modeste intervention plus que ce qu'elle dit. En langage simple, les religions des uns et des autres, on veut juste pas être achalés avec. Quant à «Là là» Tremblay, les Saguenéens qui l'ont réélu sont pris avec. À cause de ça ils risquent de passer pour des «habitants». Dommage parce qu'il y a là-bas du bien bon monde.

  • Archives de Vigile Répondre

    6 novembre 2013

    @ M. Jacques Tremblay
    M. Tremblay, j’ose espérer que vous n'êtes pas directement parent avec ti-Jean lâ-là-Tremblay?
    Vous prenez le ton folklorique du grand gaillard québécois à ceinture fléchée, poings sur les hanches, pour dire « Les Québécois disent simplement : « Croyez donc à ce que vous voulez, mais ne venez pas nous achaler avec vos religions ».
    Cette image du peuple québécois, bien mythique, sinon ancestrale, ne reflète pas très bien la triste réalité du Québec à moitié analphabète, au 2/3 non-votants, sans éducation politique, ni par l’école, ni par médias interposés.
    Avez-vous oublié déjà le résultat électoral de la minorité votante au Québec ? Sans vous porter offense à vous ou votre père, précisément au Saguenay, on a voté fort pour le pouvoir religieux mêlé au politique à la mairie, en élisant ti-Jean lâ-lâ-Tremblay, M. Prions en mairie, pour 4 ans d'auto-flagellation !
    C’est pas rien… ou plutôt, c’est rien d’autre que régressif dans mon livre à moi! Pas pour vous ?
    Vous ajoutez même : « Les Québécois veulent que la religion soit une affaire intérieure.»
    Avec la prière imposée à tous et toutes totalitairement à la mairie et au Saguenay, je ne vois pas en quoi il y a volonté d’intérioriser le religieux ?!
    Je partage, par contre, la seconde partie de votre phrase où vous laissez entendre que dans la tête des Québécois flotte un « pays » qui reste inaffirmé.
    Tout flotte au Québec, le peuple ne peut que baigner dans un mutisme fait de réactivisme religieux face à « l’étranger apeurant » et l’affirmation islamique radicale –sans oublier les perturbations des belles-mères ex-premiers ministres et les médias profiteurs à la solde du fédéral qui le culpabilise à coup de « xénophobe » « raciste ».
    Et ce bain d'enlisement à température de multiculturalisme bien entretenu fait que le peuple ne dit rien en lui-même et de lui-même rien du tout : tout le monde parle à sa place sans jamais le sonder à hauteur de citoyens, d’abord en l’informant et l’éduquant.
    C’est le Québec dans lequel je suis né et patauge depuis un bout de chemin avancé, une perception d’un « de souche » comme on dit. C’est pas votre vision ?
    Arrêtons de parler pour le peuple tel un fantôme sans voix, ni pensée propre ou profonde : qu’il soit informé, questionné, éduqué, par tous les moyens de gouvernance en place.
    Peut-on compter sur le gouvernement Marois ? Quand à moi, oubliez les libéraux, la grande noirceur reviendra bientôt, et lâ-lâ-Tremblay, un fédéraste libéral déjà en place, préfigure le pire pour 4 ans d'imbécilité et d'inculture. Vous vous souvenez de ce qu’il avait dit de Djemila Benhabib? : « un nom étranger si bizarre qu’on arrive même pas à le prononcer ! ».
    Votre père aurait dit cela, vraiment ?! Moi, il me fait honte ce maire et ce Saguenay qui l'a réélu.
    Je suis bien d’un autre pays, terre-à-terre, d’une indépendance à venir ou perdue, mais résistant, espérant des citoyenNEs ni mous, ni incultes, libérés sur tous les plans!
    ChristianP

  • François A. Lachapelle Répondre

    6 novembre 2013

    Félicitations François Marois pour votre texte, pour votre appel pressant de nous réveiller, de réagir contre les actions sournoises de l'islam politique chez nous au Québec.
    Je termine la lecture de mon 3e livre de Madama Benhabib, " Ma vie à contre-coran ", précédé par " Les soldats d'Allah à l'assaut de l'Occident " et précédé par " Des femmes au printemps ". De plus, le 30 octobre dernier, j'ai écouté sa conférence au Centre humaniste de Montréal.
    Ce que cette femme a vécu pour nous, décrit dans la 2e partie de " Ma vie à contre-coran " et intitulé " La flamme de mon Algérie brûle toujours en moi " est d'une actualité toujours plus réelle chez nous au Québec en 2013. À preuve, la conférence de presse tenue par des organismes islamiques de Montréal accompagnés par l'ineffable avocat Julius GREY. La nouvelle dans Le Devoir d'aujourd'hui le 6 novembre 2013 titre, je cite: « Les actes islamophobes se sont multipliés, selon des organismes. » De quoi culpabiliser la société d'accueil pour détourner l'attention des barbaries associées à l'islam politique et contenues dans la charia comme l'amputation, la lapidation, la répudiation, etc.
    Cela est totalement dément avec la collaboration de l'avocat Grey. L'Aut'Journal du 23 octobre 2013 a raison de décrire la poursuite contre Mme Bnehabib en ces termes, je cite: « «Nous devons faire preuve de solidarité envers madame Benhabib car cette affaire dépasse sa simple personne. Ce procès est d’abord et avant tout politique et idéologique. C’est une femme courageuse, une intellectuelle engagée en faveur de la laïcité et des droits des femmes ainsi qu’une farouche opposante à l’islam politique que l’on cherche à atteindre.»
    C'est tout le Québec et ses valeurs historiques et patrimoniales que l'on cherche à raser de la conscience sociale. C'est une infamie sans nom qu'il faut contraindre à retraiter pour toujours chez nous. Et nous ne sommes pas les seuls confrontés à cet islam politique totalitaire et intolérant.

  • Archives de Vigile Répondre

    6 novembre 2013

    Déjà dans les années '40, il y avait au Québec des gens qui contestaient l'autorité religieuse. Rappelons-nous le fameux «Au diable la tuque et le goupillon». Et puis nous avons réussi à mettre à la porte nos imams en soutane qui venaient chaque année nous visiter avec une bénédiction d'une main et une réclamation d'argent de l'autre. Ensuite nous avons déserté leurs églises. Et voilà maintenant que des imams étrangers reviennent avec l'appui d'une élite «de gauche» bien pensante. Dans toute cette histoire, c'est le bon peuple qui a le bon sens et la cohérence de son côté. Xénophobes, islamophobes, sikhophobes, antisémites, les Québécois? Voyons donc... Les Québécois disent simplement : « Croyez donc à ce que vous voulez, mais ne venez pas nous achaler avec vos religions». Comme aurait dit mon père qui venait du Saguenay : «Sacrez-nous patience avec vos histoires». C'est simple, c'est clair, c'est direct. Les Québécois ne veulent pas qu'on les achale avec toutes sortes de demandes. Les Québécois ne veulent pas passer leur temps à se défendre devant des tribunaux genre Commission de ceci ou de cela. Les Québécois veulent que la religion soit une affaire intérieure. Mais si les Québécois veulent vraiment ça, alors il leur faudra être plus cohérents encore et sortir du Canada où règnent Dieu et la reine d'Angleterre.