Vous avez sans doute remarqué comme tout le monde que les publicités télé font presque toujours appel à des Noirs, mais en disproportion marquée avec leur nombre réel dans la société québécoise.

C'est la même situation aux États-Unis où ils sont par contre cinq fois plus nombreux qu'ici (3% au Québec, dont la moitié sont anglos). Même en France, les gens remarquent cette disproportion (eux on leur montre des africains).

Considérant ces chiffres, si on voulait refléter la réalité de façon exacte et représentative, seulement 1,5% des publicités devraient faire appel à des Noirs sur nos réseaux francophones, c'est-à-dire 1 pub sur 100, alors que c'est pratiquement 100 sur 100 qu'on en montre, c'est-à-dire cent fois plus que dans la réalité. Même qu'il existe maintenant des pubs sans aucun Blancs! Avouez qu'on beurre épais. Pas surprenant que tout le monde s'en étonne et en soit exaspéré. Et on se rend compte que c'est là une déformation délibérée de la réalité.

Comme on l'a déjà vu ailleurs, cela fait partie d'une vaste campagne de propagande diversitaire qui s'attaque à tous les pays occidentaux.

Explications: La diversité, un mal non nécessaire

Certains spectateurs vont se dire: "si on montre autant de Noirs, ça doit être parce que ces pubs viennent des États-Unis". Erreur! La presque totalité des pubs présentées sur nos réseaux sont réalisées au Canada et au Québec.

Plusieurs auront également remarqué que lorsqu'on voit 3 ou 4 annonces d'affilée, toutes contiennent des Noirs, encore des Noirs, toujours des Noirs, et certaines aucun Blanc! Est-ce cela la normalité? Non! Est-ce cela le quotidien des Québécois? Non! Ce que c'est plutôt, c'est de la basse propagande subliminale pour vous reprogrammer l'esprit, vous reformater à zéro. Devez-vous vous laisser faire? Non!

Et si on nous matraque visuellement autant de Noirs, c'est pour se plier docilement aux exigences du Code canadien de la publicité, basé sur l'obligation de la diversité et des minorités plutôt que de refléter la majorité comme cela devrait être. Quoi de plus woke, et donc, de plus condamnable?

Ces dernières années, on a élargi la représentation dans les publicités à d'autres ethnies et races, mais les Noirs restent de loin la principale minorité visible utilisée.

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Comment on s'y prend pour fausser la réalité

Mais comment doit-on s'y prendre pour montrer tous ces Noirs dans la publicité et les rendre acceptables aux yeux du public blanc majoritaire? On comprend qu’ils ne doivent pas faire peur aux gens ni par leur allure, ni par leur attitude extérieure, ne pas effrayer les femmes ni faire pleurer les enfants.

On doit alors exclure beaucoup de figurants noirs qui autrement provoqueraient un effet d'effroi et de recul. Pour arriver à leurs fins, les publicitaires savent maquiller habilement la réalité. Ils connaissent tous les trucs du métier, après tout.

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Caractéristiques communes des Noirs que les publicitaires cherchent à éviter de montrer

- Pas de Noirs au teint noir très foncé ; on ne montre que des bruns pâles ou des métissés. On utilise des filtres de caméra pour les pâlir.

- Pas de figurants noirs au nez très épaté. On utilise des femmes noires au nez étroit refait.

- Pas de lèvres inférieures et supérieures exagérément ourlées

- Pas de coiffure de style afro comme les activistes agressifs des années soixante à la Angela Davis

- Pas de femmes portant robes traditionnelles bigarrées ou coiffes africaines

- Pas d’allure vestimentaire dans le style rappeur misogyne

- Pas de femme noire à l'allure hypersexy qui fait le trottoir

- Pas de jamaïcain barbu avec tresses rastas et verres fumés dissimulant les yeux rougis par l'usage intensif du cannabis

- Pas de gros bijoux en or, colliers, chaînes, bracelets, montres de luxe, dents de devant en or, boucles d'oreilles ostentatoires, pas de faux ongles hyperlongs chez les femmes

- Pas d'hypertatoués

- Pas d’homme noir à l'apparence violente ou brutale de batteur conjugal

- Pas de femmes noires dans le genre haïtiennes hyper-obèses ou d'africaines au fessier rebondi et à la démarche chaloupée

- On ne montre jamais tout un groupe de Noirs ou de jeunes Noirs qui feraient automatiquement penser à un gang de rue

- Jamais d'accent africain ou haïtien; on s'assure de les faire parler à la québécoise. Pas d'argot ébonique.

Observez bien les photos qui accompagnent l'énumération qui précède, et convenez que vous n'avez jamais vu de pubs locales avec une telle présentation visuelle.

Comme on le voit à l'évidence, l'image des Noirs dans la publicité est très édulcorée, très manucurée, non conforme à la réalité, tout cela dans le but de les rendre plus acceptables aux yeux du monde blanc. Au point que ça ne ressemble plus du tout à ceux qu'on rencontre dans la vie de tous les jours. C’est là une distorsion volontaire de la réalité.

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Interprétation psychologique

Si un publiciste commettait l'erreur d'utiliser des Noirs affichant les caractéristiques qu'on vient de décrire, le public-cible de ce matraquage publicitaire réagirait encore plus négativement qu'actuellement. Cette représentation trop conforme à la réalité susciterait un vif tollé de protestations et de rejet. Mais il n'en demeure pas moins que les diffuseurs et publicitaires essaient tout de même de vous manipuler dans le but de vous les imposer. On joue habilement sur votre perception des choses. On enjolive. On cherche à vous reformater l'esprit de manière subliminale.

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Bref, on ne montrera que les Noirs qui ne forment qu'un infime pourcentage des Noirs, ceux qui sont considérés comme plus présentables et acceptables en regard des critères blancs. C’est à nouveau une distorsion intentionnelle de la réalité visant à faire passer un message pas tout à fait vrai, à savoir que la grande majorité des Noirs seraient comme ceux qu'on voit dans les pubs, que vous ne devez pas avoir peur d'eux, encore moins avoir de préjugés envers eux, que vous devez vous en faire de bons amis et idéalement des conjoints, pour finalement avoir des enfants d'eux à leur ressemblance. On travestit les apparences du réel en essayant de vous faire généraliser dans le cerveau qu'ils sont tous comme on vous les montre.

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Faut-il se laisser avoir par toute cette propagande diversitaire imposée? La réponse est bien sûr que non.

Dans la vie, il faut laisser les gens libres d'aller vers ceux qui leur semblent compatibles. C'est normal d'aller vers nos semblables. Cela prend un minimum d'affinités naturelles. On ne peut forcer les choses.

C'est tout ce qu'il y a de plus normal que dans un pays donné, les gens natifs préfèrent se retrouver entre eux et se côtoyer. C'est la base du fonctionnement naturel de toute société. Qui se ressemble s'assemble. Aucune campagne de propagande subliminale n'arrivera à faire changer ce simple état de fait.

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Pourquoi la publicité se plie-t-elle à l'idéologie diversitaire imposée?

Tout simplement parce qu'elle est obligée de se plier au Code canadien de la publicité imposé par le gouvernement fédéral qui impose son idéologie de la diversité multiculturaliste inscrite dans la constitution, mais qui par ailleurs n'a jamais été soumise à l'approbation préalable de la population.

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Ces derniers temps, la publicité s'est mise à utiliser d'autres races et ethnies, mais les Noirs restent la minorité la plus utilisée. Mais depuis que les hindous sont devenus l'ethnie qui entre le plus massivement au pays, on a commencé à en montrer aussi, ce qui produit un choc autant visuel que culturel. L'objectif reste pourtant le même: imposer la doctrine diversitaire pour faire accepter l'idée que le peuple fondateur doit céder sa place et se laisser mettre de côté petit à petit par tous ces étrangers fortement dissemblables sur tous les plans sans rechigner.

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Conclusion

Les médias doivent représenter la majorité comme modèle de société, pour que les minorités s'y conforment.

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