Il s’exhibe, se pavane, sourit, la vie continue, rien ne l’affecte, le tout-puissant Charest poursuit sa route en puritain, Charest le berger qui dirige son troupeau dans un gouffre sans fond, Gros Jean comme devant, que nous arrive t-il, pourquoi est-il toujours en place avec son équipe, nous le laissons se juger, nous sommes encore sous son joug, nous le laissons conduire avec les facultés affaiblies et nous en serons tous victimes.
Il est évident que nous sommes arrivés a la croisée des chemins, il serait grand temps que nous prenions le volant une fois pour toute, nous sommes aptes pour mener notre destinée, nous devons prendre le contrôle pour sortir de ce marasme, repenser notre avenir, préparer notre relève, unir nos forces et nos compétences, remettre de l’ordre dans nos avoirs, se choisir un chef intègre en qui nous aurons une confiance absolue et qui fera preuve d’une grande transparence.
.Que ce soit par un moyen ou un autre, il faut que cet ogre soit destitué de ses fonctions et que les libéraux cèdent la place, il y a certainement un moyen légal pour que cela se fasse, je ne parle pas de violence, je ne suis pas un homme de droit mais, je suis convaincu qu’il y a sûrement une manière de déloger ce destructeur de rêve et d’avenir, il a déjà causé beaucoup trop de dommages, pensons-y avant que ça devienne irréparable. Unissons-nous et redevenons un vrai peuple.
Christian Lambert
L'ogre de barbarreries
Il est évident que nous sommes arrivés a la croisée des chemins,
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1 commentaire
Serge Charbonneau Répondre
29 avril 2010Je crois qu'il est dangereux de trop "focusser" sur Charest.
Si ce n'avait pas été Charest, ç’aurait été quelqu'un d'autre.
Ce sur quoi nous devons "focusser" c'est plutôt sur les politiques, les privatisations, la vente de nos compagnies, la dégradation des conditions de travail, l'augmentation des tarifs, la liberté des banques et des monopoles à nous plumer.
Il faut "focusser" sur le manque de transparence et sur les lacunes de la démocratie représentative. Une démocratie qui met au pouvoir des gens qui manœuvrent à leur guise avec le consentement négligent de 40% de la population.
Il faudrait avoir une Constitution qui nous permettrait de révoquer les élus-es à mi-mandat s'ils nous mènent sur des voies que l'on refuse.
À trop "focusser" sur Charest, on risque de remplacer le pion par un autre pion qui nous fourrera tout autant.
C'est sur les lacunes du système qu'il faut "focusser".
Sur le manque de transparence, sur le manque de consultation de la population, sur la représentation proportionnelle au vote.
Cela dit, bien sûr que nous devons demander fermement la démission de Jean Charest et de nouvelles élections en tentant de mener l'agenda de la campagne électorale afin d'éviter de trop nous faire endormir ou divertir (sur ce point, les médias, les journalistes, ont une grande responsabilité. Trop souvent ils ne sont que des haut-parleurs, des répéteurs de conneries).
Serge Charbonneau
Québec