La France: Pays de rêve pour les djihadistes, le gouvernement complice

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Le gouvernement Hollande de plus en plus empêtré dans ses contradictions


Il est infiniment plus agréable et moins risqué d’être terroriste, islamiste, djihadiste ou salafiste en France que dans les pays musulmans ! Cela malgré les froncements de sourcils, les coups de menton mussoliniens et les déclarations péremptoires de notre premier ministre franco-espagnol (ou hispano-français, ça dépend des jours), parfois relayé par Bernard Cazeneuve.


Florilège…


« Nous fermerons des mosquées s’il le faut« ,


« Nous dissoudrons des associations suspectes de sympathies ou de complicités avec l’islamisme radical et djihadiste, notamment celles qui font appel à la violence« ,


« Le ministre de l’intérieur agit et agira« ,


« Nous nous attaquerons aux commerces qui financent le terrorisme« ,


« Outre les poursuites judiciaires nous procèderons : à des expulsions du territoire, à des déchéances de nationalité française, à des interdictions d’entrée et de sortie du territoire, à des blocages de sites internet, à des suppressions de prestations sociales« .


Après que la France ait eu son premier martyr décapité et la publicité qu’en a fait l’Etat Islamiste grâce un « selfie » envoyée en Syrie par le meurtrier que sa femme, ses voisins et l’imam de sa mosquée ont tous décrit comme « un bon musulman », on est en droit de poser la question : « Si les mesures annoncées par le premier ministre avaient été mises en œuvre par le ministre de l’Intérieur et celui de la Justice, ce drame aurait-il eu lieu ? »


« Nous fermerons des mosquées s’il le faut« .
Les mosquées à fermer sont identifiées : mosquées salafistes et mosquées tabligh, il en aurait 89 en France. Une seule a-t-elle été fermée ? Non, alors il faut croire qu’il n’y a pas de danger puisqu’il ne le fallait pas.
Par contre, en Tunisie, après l’attentat de la plage, 80 mosquées salafistes ont été immédiatement fermées et leurs imams remplacés.


Les associations complices de l’islamisme radical ont-elles été dissoutes ?
Pas une seule, et de plus elles continuent à toucher des subventions de l’État. Certaines continuent à répandre sur les réseaux sociaux le mensonge selon lequel le salafisme ne présente aucun danger alors même que deux musulmans courageux, le journaliste historien Mohamed Sifaoui et le président de « Fils de France » Kamel Bechikh (aussitôt accusé par l’officine de pub-socialo Rue 89 d’être membre du FN), disent tous deux que le salafisme est dangereux par essence, chaque salafiste étant ipso facto potentiellement dangereux.


« Le salafisme désigne un mouvement, principalement sunnite, qui prône un retour à l’Islam comme il était pratiqué à l’époque du Prophète Mahomet… pratiques conservatrices ou extrémistes, au niveau religieux mais aussi social… Cette mouvance reste néanmoins violente et refuse de limiter son action religieuse à la prédication, maisplace le djihad armé comme son activité principale… Les chiffres du Ministère de l’Intérieur français montrent que ses adeptes sont environ 15 000… Entre 100 et 300 salafistes considérés comme violents sont suivis par les autorités françaises » (Geolinks)


Tiens ! Le ministère de monsieur Cazeneuve tient donc des statistiques sur les musulmans ? Faut-il être satisfaits de ce que « entre 100 et 300 » sur 15 000 sont suivis quand on constate comment le tueur salafiste de l’Isère était suivi ?


« Le ministre de l’Intérieur agit et agira« .
On l’a vu à l’œuvre, et le message qu’on retiendra est qu’il n’a aucune intention de sévir contre les dérives de l’islam, puisque, pour lui, le djihad est légitime !


« Nous nous attaquerons aux commerces qui financent le terrorisme« .
Lesquels ?
Il faut dire les noms pour que les citoyens les boycottent tout de suite et, les privant ainsi de chiffre d’affaires, les contraignent à arrêter leurs financements du terrorisme. Mais le gouvernement les connaît-il seulement ?


Des expulsions du territoire ?
On n’en n’a pas vu.


Des déchéances de nationalité ?
Pas plus.


Des interdictions d’entrée et de sortie du territoire ?
Qui le croira quand un député socialiste, Sébastien Pietrasanta, considère que les djihadistes sont des victimes du système et qu’il est nécessaire de les prendre en charge, de les réinsérer, en ouvrant notamment des centres de déradicalisation, c’est-à-dire que les djihadistes soient pris en charge par l’État, donc avec l’argent public, afin d’être rééduqués. Ce naïf croit-il qu’un djihadiste est rééducable ?


Blocages de sites internet.
Ah ! Là oui, le gouvernement agit en faisant fermer les sites et inculper les personnes qui dénoncent le danger islamiste, salafiste et djihadiste.


Suppression des prestations sociales ?
Quand la femme de Merah ou celle de Coulibaly ont continué pendant des mois à toucher leurs allocations, cette dernière se les faisant expédier en Syrie ?


Pendant ce temps-là, le très cher ami de François Hollande, Abdelaziz Bouteflika, faisait prononcer 42 condamnations à mort par les tribunaux algériens contre des assassins djihadistes et salafistes auteurs de meurtres, d’enlèvements et d’attentats meurtriers sur des civils et des éléments de l’Armée Nationale Populaire.
26 condamnés à mort le 27 février dernier, 16 le 30 mai.
Ils n’ont pas eu de chance, s’ils avaient été en France, avec les lois Taubira ils auraient eu droit à des cellules confortables, à la visite de femmes et enfants dont le séjour en France eut été pris en charge par l’État, et à des remises de peine qui leur auraient garanti d’être en liberté pour recommencer leurs crimes dans quelques années.


Nos gouvernants comprennent-ils seulement qu’ils accélèrent l’émergence d’un mouvement révolutionnaire que l’armée, pour le moment divisée sur le sujet, la gendarmerie et les CRS épuisés laisseront se manifester ?
N’est-ce pas la vraie raison pour laquelle certaines unités de l’Armée, les chars notamment, ont été interdits de défilé du 14 juillet ? Car la DCRI (ex-RG) le sait, la colère gronde, des stratèges en guerre civile préparent des actions urbaines contre des sites politiques comme les ministères, et quand ce genre d’actions démarre il est très difficile pour un gouvernement de les arrêter sauf à baisser son slip et à accepter toutes les revendications.


Les gens, beaucoup de gens, y compris une grande partie des Français musulmans, sont excédés du comportement imbécile de trop de ministres et de hauts fonctionnaires de toute évidence incapables de remplir les missions qui sont les leurs. Excédés du comportement radical de certains musulmans, pas tous loin de là, mais ce sont ceux que l’on voit se faire remarquer par des accoutrements provocateurs, djellabas et burkas, ceux qui réclament des menus halal dans les cantines, des salles de prière dans les entreprises et des médecins femmes dans le hôpitaux pour y soigner leurs femmes toujours enceintes. Surtout quand ils affichent ouvertement leur haine de la France et de ses valeurs laïques et républicaines, surtout quand certains, 3 000 quand même selon les dernières estimations, vont faire la guerre en Syrie ou en Libye pour devenir des terroristes aguerris et revenir tuer des Français innocents. L’Etat les accueille à bras ouverts quand ils reviennent en leur redonnant leur RSA si par hasard il leur avait été supprimé.


Que font les pouvoirs publics ? Rien ou pas grand-chose, en tout cas rien de suffisant pour les empêcher de proliférer tant qu’ils sont encore minoritaires. Dans les quartiers dits « sensibles » où la police et les services sociaux ne pénètrent qu’à l’occasion de la visite d’une grosse huile politique, les prédicateurs djihadistes et salafistes se multiplient, prennent les mosquées et réclament d’être salariés par l’État !


Les gens en ont ras-le-bol et dans « les gens », il faut inclure cette majorité des Français musulmans qui se sont intégrés, travaillent, n’affichent pas avec agressivité leur islam, ne demandent qu’à vivre en paix dans ce pays qui les a accueillis et leur permet de vivre bien mieux que dans leurs pays d’origine du Maghreb et d’Afrique sub-saharienne.


Le premier ministre pense qu’il pourra démontrer que l’islam est compatible avec la République et la laïcité.


Mais, observez bien la situation mondiale : les démocraties authentiques se situent dans des territoires traditionnellement chrétiens par leur civilisation et laïcs par leurs valeurs républicaines. Parce que « il faut rendre à César ce qui est à César » et parce que « le royaume du Christ n’est pas de ce monde« .


Dans l’islam, c’est l’inverse, l’État doit être soumis à la charia, la loi d’Allah, et toute la Terre a vocation à devenir Dar el Islam (دار الإسلام) ou « Terre de la soumission à dieu ». Le christianisme aboutit à des États de droit (où la morale précède le droit et ne découle pas de l’application aveugle d’articles de loi), l’islam à des théocraties. En gros, on assiste à un affrontement entre une loi d’amour et la loi du talion. Ainsi, à moins de changer radicalement de paradigme, l’islam ne sera jamais compatible avec la laïcité, la démocratie et la plupart des valeurs républicaines. Quand on écoute les déclarations de Dalil Boubakeur, recteur de la Grande mosquée de Paris, et surtout ce qu’il ne dit jamais, on en est rapidement convaincu.


Toutefois, il faut reconnaître que Dalil Boubakeur est un homme honnête, ou tout au moins très habile. Quand une phrase de lui, tirée de son contexte, a fait croire qu’il demandait que des églises peu utilisées soient transformées en mosquées, messieurs Cazeneuve et Joffrin, le premier étant le maître et l’autre la voix de son maître, se sont aussitôt mis à caresser dans le sens du poil : « voilà une idée qu’elle est bonne » se sont exclamés ces deux christianophobes collabos de l’islamisme et du djihadisme.



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